L'Amère saveur de la liberté





 Pays concerné : Gabon
 Edition : Ndzé
 Pays d’édition : Cameroun
 ISBN : 9 78 2 911464 61 4
 Genre : roman
 Prix : 15.00

 Parution : 02 Mars 2013

Synopsis général : Le héros principal du roman est Mavouroulou, chef de la révolte du Mocabe entre 1904 et 1913. Le narrateur des chapitres est Ulabe, étudiant gabonais en histoire qui vit de nos jours. Entre les chapitres, des intermezzi constitués de dialogues entre les responsables français de la colonisation du Gabon. Ce qu’ils se disent est directement inspiré des rapports de cette époque. Le récit sous-titré « LA RÉVOLTE » couvre la période 1904-1908.

Prologue : Ulabe découvre dans les Archives nationales d’Outre-mer à Aix-en Provence, des milliers de documents originaux qui traitent d’une rébellion dans le Sud-Gabon.

Chapitre 1 : La jeunesse de Mavouroulou (1880-1904). De retour à Moabi où il est né, Ulabe prend contact avec les rares témoins de cette période, ou leurs descendants, et il confronte ses découvertes théoriques avec la tradition orale.

Intermezzo 1 : Les prémices de l’insurrection vus par le colonisateur. Dialogue entre Savorgne, Chef de bataillon des armées du Gabon, et Laborde, Administrateur civil de Tchibanga.

Chapitre 2 : La révolte dans sa première phase (1804-1907). Ulabe se trouve mystiquement transporté auprès de Mavouroulou dont il devient le compagnon et le confident. Rencontre entre Mavouroulou et Bombè, chef Tsogho qui a lancé depuis deux ans une insurrection. Première attaque d’une factorerie à Mourindi.

Intermezzo 2 : Une des deux causes principales de la révolte, l’attitude des société concessionnaires. Altercation entre M. Bonhomme, administrateur de Setté-Cama, et M. Demouzon, directeur de la factorerie.

Chapitre 3 : Le premier grand fait d’arme de Mavouroulou (1908). Le pillage de la factorerie de Mongo- Nyanga.

Intermezzo 3 : La deuxième des causes principales de la révolte, l’impôt de capitation. Dialogue entre le nouveau gouverneur du Gabon, M. Telle et M. Louard son adjoint pour les affaires indigènes.

Chapitre 4 : L’opération de police du lieutenant Chaix chargé de réprimer les révoltés du Mocabe (1908), et la victoire de Mavouroulou sur sa colonne.

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La Bataille de Fort-sampic, Malaga et Kembele par nos frères Mitsogho




Les français marchèrent sur l'un des villages Tsogho, Malaga, qu'ils prirent d'assaut et surnomerent fort Sampic avant de reprendre Kembele,. Malgré les promesses et cadeaux les Mitsoghos refusèrent résolument de rentrer en contact avec les francais,

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LA bataille des Jagas à San Salvador




Il serait intéressant de connaître toute l'histoire des Bajag, groupe originaire des Punu, malheureusement ignorant comme beaucoup de peuples Africains l'Ecriture, ils ne se sont faits connaître que très tard à travers leurs luttes contre l'hégémonie Européenne. Ainsi les Bajag sont mention nés dans l'histoire dès le XVè siècle. Tout ce que nous savons, c'est qu'on leur attribue les premières incursions des barbares dans le Nord du royaume Kongo. Ensuite on les voit s'activer dans les diverses relations de commerce des commerçants très actifs, des guer- riers intrépides formant le mercenariat des chefs de la cuvette congolaise, voire des Portugais de l'Angola. Du Xllè

(1) MAGANG-MBUMB - :O Les Bajag du Gabon, ,o-.Óp. cit. p. 15.

au XIXè siècle, plusieurs auteurs leur attribuent le monopole des transactions commerciales entre les côtiers et les Batékés. D'après BALANDIER qui note qu'en février 1906, le rapport du chef de poste de Tchibanga indiquait : "depuis des années les tribus Bayaka ne vivaient que de leur commerce d'intermédiaires. Lasuppression de la traite des esclaves, la fer- meture des cases à sel du littoral e t l a pénétration des com-merçants Européens ont complètement changé la situation(1). Ce commerce d'intermédiaire d'après VAN WING existe depuis le XVIlè siècle(2). Au XlXè siècle en fait les Bajag seront les premiers dans le bassin du Congo à prendre les armes pour repousser l'invasion Européenne. Mais la question est, qui sont-ils ? D'après Avelot "les Bajag seraient issus de.la race guerrière nilotique KWAFI-MASAI du haut Zambèze" (3) Plusieurs auteurs soulignent que les Bajag ou Jaga portaient déjà leur nom dans leur pays d'origine lehaut Congo. La question de leur migration  en direction Nord est mal connue. On s'accorde à dire qu'ils se virent obligés de s'expatrier soit sous la pression de leurs congénères,


(1) BALANDIER(G) Sociologie Actuelle de l'Afrique Noire, Paris 1971, p.44. (2) VAN WING ; Etudes BAKONGO, Sociologie, Religion et Magie, Bnuxelles, 1959, p.22. (3) AVELOT op. cit. pp.75-216.

soit à la suite d'une peste bovine. Privés de leurs terres, ils se virent contraints d'attaquer le royaume de KONGO. "En 1558, ils envahirent la Province du Nord Est, Mpata et Mpangu. Divisés"en compagnies ayant chacune un chef, les Bajags marchaient sous la conduite de ELEMBE-ZIMBO aidé de sa femme TEMBA-NDUMBA. Dans une poussée formidable, ils franchirent le Congo moyen envahirent MPATA, MPANGU, MPEMBA, et s'avan-cèrent jusqu'à SOGNO"(1). Ils mirent le royaume à feu et à sang et définirent toutes les troupes envoyées contre eux. Deux souverains du KONGO tombèrent sur le champ de bataille en 1567(2). ALVAROT 1er qui monta sur le trône de KONGO en 1568, fûtvaincu aux abords même de sa capitale, contraint de se retirer dans la ville avec de lourdes pertes. Les BAJAG mirent le siège devant la ville qui fût prise et livrée au pillage. Le Roi réussit à s'enfuir avec sa cour et quelques ressortissants portugais. Après le sac de la ville royal< les différents groupes BAJAG se répandirent de par le royaume. Les BAKONGO des plaines s'enfuirent dans les montagnes et une grande famine s'abattit sur le pays ; des milliers de personnes moururent de faim. Au désastre militaire s'ajouta

(1) VAN WING : Etudes BAKONGO p.22. (2) BALANDIER(G) :

La vie quotidienne au royaume de KONGO du XVlè siècle au XVIIlè siècle, Paris, 1965,p.57. donc la famine et l a peste. Tirant profit de cette situation les Portugais accentuèrent le trafic des esclaves, les Bakongos se vendirent les uns les autres sans excepter des membres de la famille royale et des principales familles du royaume. Les Portugais n'eurent plus aucune peine à charger leurs cargaisons pour ravitailler la métropole. La victoire des BAJAG sur le Roi de Kongo ne fut point définitive : celui-ci noua des relations diplomatiques avec le Portugal, entretenant à sa cour des conseillers Portugais, fit appel à l'armée du roi du Portugal. Dom Sébastien, Roi du Portugal ne se fit pas prier, il dépêcha le général FRANCISCO de GOUVEIA à la tête de six cent soldats Espagnols et d'un grand nombre de mercenaires assoiffés d'or. En 1574, DE GOUVEIA arrive au Kongo avec ses hommes et attaquent les BAJAG qui résistèrent farouchement à la coa- lition de DE GOUVEIA et des troupes de Kongo. Malgré la bravoure et l'ardeur des combattants, les Bajag furent vaincus à plusieurs reprises grâce à des bombardes et des arquebuses. En 1578, les coalisés vinrent à bout du dernier détachement des Bajag qui occupaient l'ile de LOANDA, centre principal des Portugais. Victoire chèrement payée par les Portugais, con- séquence désastreuse pour les Bajag ; état détruit, armée désorganisée, chaque compagnie ou groupe essaie alors de se tailler un territoire par la force des armes. L'unité des Bajag était compromise pour de longs siècles. La défaite va émietter le groupe ethnique. Les Bajag des compagnies de l'Ouest franchirent le fleuve Congo au Nord de SAN SALVADOR et s'établirent en plusieurs groupes distincts dans la vallée/du KWILU-NYARI, Ce sont les Ancêtres des Bavili, Bayombe, Bakunyi. VAN WING affirme qu'ils s'y fixèrent et finirentpar adopter des moeurs plus humaines transforment ainsi la société Loango. Cependant certains d'entre eux poursuivent leur marche jusqu'au delta de l'Ogowè. Ce sont les BAVAREM, mentionnés sur les cartes du XVIlè siècle sous le nom de BRAHAMAS. D'autres, après avoir suivi les plaines de la NYANGA et de la NGOUNIE, s'établirent dans les régions montagneuses et dans la partie Nord de la savane de Tchibanga, ce sont les Bapunu, Batsangi, Banzebi, Massangu, Balumbu, Gisir et Bavungu.

Autre livre:

The Tio Kingdom of The Middle Congo: 1880-1892

Mocabe-Digayi notre Alamo

Mocabe-Digayi Nziengui Fundu était le chef du pays, il a eu une grande bataille entre Punu et combattants français, jusqu'à ce que la dernière force de guerriers punu se batte contre la France, renforcée par des tirailleurs sénégalais, après plusieurs tentatives d'associations, les résistants punu repoussaient les militaires français les forces.

Vous souvenez-vous que de simples villageois ont résisté à l'occupation coloniale française?  Des hommes et des femmes avaient sacrifié leur vie pour retrouver notre liberté. Mocabe représentant aux yeux des punis leur Alamo. Alamo est une petite ville de San Diego où les Américains ont résisté aux Mexicains et les ont arrachés à la moitié de leur territoire. Mocabe soustrait un symbole de fierté et de résistance à la mémoire des Punu et à l'histoire du Gabon. Mocabe marque un tournant important dans les relations franco-gabonaises La politique de la taxe coloniale appliquée par Emile Gentil et les atrocités des gardes coloniaux sénégalais qui torturaient les paysans, violaient les femmes et snobaient les personnes qui étaient à l'origine de cette révolte.







Fig. 2 Emile Gentil

Les hostilités ont commencé en mai 1907 et se sont terminées en 1912. Le capitaine Conrad, le chef de 200 hommes, a été attaqué 11 fois par les guerriers punis.

Impossible de mettre fin à une armée disciplinée et déterminée, dirigée par son légendaire chef Mavurulu ma Nziengui surnommé Nyondat ma Kita. Les Français lanceront une nouvelle campagne en 1909, renforcée par un bataillon Sicre et une troupe sénégalaise.




Fig. 3 Tirailleurs Sénégalais

Les troupes quittèrent Libreville le 14 juin 1909 et arriva le 1 juillet à Moabi où étaient concentrés plus de de trois cent dix militaires. Mavurulu Nyonda fils Nziengui fut un guerrier vaillant, il combattu une armée de plus de quatre cent personnes avec un armement moins sophistiqué que les autres.

Les troupes de Nyonda résistaient à la brutalité et à la barbarie de la garde coloniale, en opérant dans une tactique de guérilla très efficace.

Les troupes de Nyonda résistaient à la brutalité et à la barbarie de la garde coloniale, en opérant dans une tactique de guérilla très efficace.



Fig.4 village incendié
Ce n'est qu'au bout de cinq ans que les Français ont finalement pris le dessus sur Mavurulu et ses troupes grâce aux alliances qu'ils ont forgées avec les autres tribus du sud du Gabon.
Figure.5 Perte de la garde royale
Notre souveraineté nationale avait commencé à Mocabe..

Nous n'étions pas orphelins.






L'homme punu  veut dire  celui  en qui l’énergie du feu réside combattu âprement les portugais et les français, L'homme punu  n’était pas seul dans sa lutte contre la puissance coloniale française, Nzambi Pungu les accompagnait.

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Comment faire de la farine de manioc?




La farine de manioc est faite de morceaux de manioc qui ont été séchés, puis écrasés. Pour produire de la bonne farine de manioc, le manioc utilisé doit être bon et assez vieux. Le manioc qui a récolté après 6 mois de culture a encore une eau très élevée de sorte que la substance de la farine est seulement un peu. La farine de manioc est couramment utilisé comme ingrédient pour faire de nombreux types d'aliments.

La farine de manioc de haute qualité est une farine de manioc simple non fermentée. Le processus de production de l'IITA minimise les exigences d'investissement en capital pour la production de farine en utilisant l'équipement simple déjà utilisé pour le traitement des gari.
Production de farine de manioc non fermentée de haute qualité
 Au Nigeria.
Cette technique convient pour préparer la farine de manioc des variétés douces et amères.

Les mini-broyeurs ont également été essayés à la place de la râpe mécanique, mais se sont révélés inadéquats pour les variétés amères, car la concentration de glucosides cyanogènes n'a pas été suffisamment réduite pendant le traitement.


Équipement
Râpe
presse
Séchoir
Broyeur
Machine à couper
ou Couteau
Bol ou poêle
Chopper (planche à découper)
Winnowing
Tamis
Pilon (mortier et pilon)

Comment faire la farine de manioc?
Éplucher le manioc, laver et sécher au soleil
Mettez le manioc séché dans le mortier, puis écrasez
Ensuite tamiser avec un tamis fin
Mâchez le reste du tamisage une fois de plus et tamisez le dos jusqu'à consistance lisse
Sécher la farine au soleil. En cas de pluie, le séchage se fait dans une pièce avec chauffage artificiel, tel que l'utilisation de cuisinières ou four.

Dans des conditions optimales (temps sec et ensoleillé pour le séchage au soleil), la technique IITA permet aux petits transformateurs primaires de produire une farine de manioc non fermentée de haute qualité qui répond aux spécifications des utilisateurs industriels en une journée.
Le séchage a été identifié comme l'outil principal pour l'expansion de la transformation du manioc en farine de manioc de haute qualité.
Diverses options ont été envisagées jusqu'ici dans le projet de manioc de l'IITA.

Séchage naturel


 Les transformateurs locaux exposent la purée de manioc sur une feuille de polyéthylène directement au soleil. On parle de "séchage au soleil". Le projet a observé que le séchage aux niveaux rural ou domestique ne peut pas être fait artificiellement en raison des investissements de capital élevés dans l'équipement et l'énergie exigés et donc, le séchage naturel de soleil est fait.

Le séchage au soleil est assailli par plusieurs inconvénients inhérents, tels que la sensibilité aux dommages dus aux intempéries, aux taux de séchage lents et à la contamination. En raison de ces limitations et du coût élevé et de la faible utilisation de séchoirs traditionnels plus efficaces, l'adoption d'un processus de séchage solaire modifié, le séchage solaire, a été envisagé pour sécher HQCF dans les zones rurales.

Séchage artificiel
 Si une source d'énergie contrôlable est utilisée pour les opérations de séchage, le procédé est appelé un séchage artificiel ou mécanique. Il existe une classification supplémentaire dans laquelle l'air utilisé pour le séchage est chauffé, soit par des moyens solaires, soit par des moyens contrôlés tels que l'électricité, les carburants renouvelables ou les combustibles fossiles. Ces procédés sont appelés séchage hybride.

Séchoir rotatif
 L'IITA met en place une coalition de fabricants locaux pour fabriquer en série un séchoir rotatif local déjà mis à l'essai et utilisé par les transformateurs ruraux de farine de manioc de haute qualité. Le séchoir peut être chauffé au charbon de bois ou au gaz et entraîné par un moteur diesel. Le séchoir se compose d'une chambre de séchage isolée (en forme de tambour). La sécheuse est rentable et conviviale.

Séchoir instantané
 IITA a modifié la conception et la fabrication d'un séchoir instantané fabriqué localement avec Peak Products, Abeokuta, Nigeria. Le séchoir éclair (capacité 3 t / jour) est bien isolé avec la surface de contact du produit en acier inoxydable et un alimentateur semi-automatique. Il pourrait être utilisé avec du kérosène combiné / huile usée. Le séchoir est convivial et encouragera une plus grande production de farine de manioc.

Usages de la farine de manioc


Industries alimentaires
Les industries alimentaires sont l'un des plus gros consommateurs d'amidon et de produits amylacés. En outre, de grandes quantités d'amidon sont vendues sous forme de produits vendus en petits emballages pour la cuisson domestique. Le manioc, le sagou et d'autres amidons tropicaux ont été largement utilisés pour la nourriture avant la Seconde Guerre mondiale, mais leur volume a diminué en raison de la perturbation du commerce mondial causée par la guerre. Des tentatives ont été faites pour développer du maïs cireux en remplacement des amidons non céréaliers normaux; Mais la production d'amidon de manioc a considérablement augmenté ces dernières années.

L'amidon non modifié, l'amidon modifié et le glucose sont utilisés dans l'industrie alimentaire pour un ou plusieurs des objectifs suivants:
A) directement sous forme d'aliments cuits à l'amidon, de crème anglaise et d'autres formes;
(B) un épaississant utilisant les propriétés pâteuses de l'amidon (soupes, aliments pour bébés, sauces et sauces, etc.);
(C) une charge contribuant à la teneur en solides des soupes, des pilules et des comprimés et d'autres produits pharmaceutiques, la crème d'honoraires, etc .;
D) liant, pour consolider la masse et l'empêcher de se dessécher pendant la cuisson (saucisses et viandes transformées);
(E) un stabilisant, en raison de la grande capacité d'absorption de l'eau de l'amidon (par exemple, en crème de prix).

L'industrie du glucose
Selon Whistler et Paschell, Abu

Queue de boeuf du ranch de Moutassou au tubercules doux de Mouila.



TOtal Durée 1 h 30 min
Ingredients

2 KG de queue de bœuf (demandez à votre boucher de le préparer)
1 KG de manioc
1 gros oignon
4 gousses d'ail
Céleri au goût (facultatif)
2 feuilles de laurier
1-2 L de bon bouillon de boeuf
2 cuillères à soupe d'huile d'olive
Sel et poivre noir au goût

Instructions
-Prenez votre grand cocote marmite, ajoutez l'huile d'olive et mettez-le à feu vif.
-Ajouter la queue de bœuf, laisser les morceaux cuire pendant un moment, tournez-les donc jusqu'a ce que le côté devient doré. Obtenez une bonne couleur car cela aidera avec la saveur.
- 5-10 min de cuisson.
-Ajouter les oignons hachés, l'ail et le céleri, faire cuire assez longtemps pour ramollir les oignons,
-Ajouter 1 1/2 L du bouillon de boeuf.
-Mettre le couvercle et laisser cuire pendant 45 min à 1 heure sur la cocote-marmite.
- Vous aurez à vérifier que les plus gros morceaux prendra plus de temps à cuire.
-La cuisson doit être douce.
Si vous faites cuire avec la cocote marmiter, après 45 min à 1 heure de cuisson, retirez-le de la chaleur, laissez la vapeur s'échapper (faites-la passer sous un robinet froid) et vérifiez la viande.
 Il devrait être doux et sortir de l'os, sinon cuire pour 10 minutes supplémentaires et  continuer à vérifier.
Ajouter le cassoulet et le manioc coupé à la poêle
Ajouter le reste 1/2 L de stock
remettre le couvercle sur et cuire encore 15 minutes.
Mettez  la chaleur, laissez la vapeur, vérifiez le manioc il devrait être très doux.
J'aime mon ragoût de boeuf très épais, alors je vais  le cuire a fru doux pendant encore 15 min sans le couvercle
vérifier l'assaisonnement, le sel et le poivre noir.

Remarques:
Marmite standard: jusqu'à 3 heures de cuisson
La procédure est la même, juste le temps de cuisson change.
Cuire la queue de boeuf pendant 2 à 3 heures, en vérifiant la rencontre toutes les 30 min, la cuisson doit être douce et sortir de l'os. Vous devrez recharger le stock de temps en temps.
Ajouter la tibercule épluché et haché dans la casserole et faire cuire encore 30 minutes, vérifier la tiberculedevrait être très doux et le liquide dans la casserole devrait être épais.
Par Andre Queiroz

Il est conseillé d'utiliser un autocuiseur pour cela, sinon il faudra jusqu'à 3 heures jusqu'à ce que la queu soit doux.

Gateau au gari punu



 Avec une texture douce et spongieuse, parfumée de noix de coco et de lait condensé, puis recouverte d'une crème à la vanille crémeuse - vos papilles vont danser avec joie à chaque morsure de cette délicatesse philippine préférée.

 Ingrédients
Beurre pour graisser la casserole
1 lb de manioc râpé (s'il est congelé, décongeler d'abord)
1 laiton condensé sucré de 14 oz 1
14 oz de lait de coco
 2 gros oeufs 1/4
- 1/8 cuillère à café de terre Cardamome (en option mais fortement recommandé)
 Pour la crème glacée 1/2 a 14 oz de lait condensé
1/4 tasse demi-n-demi (crème simple)
2 gros oeufs
1 cuillère à café d'extrait pur de vanille
 1-2 cuillères à soupe de sucre brun

 Instructions 

Glace punu au coco



 Ingrédients 

3 cuillères à soupe de Coco 1
1/2 tasse de sucre 2
2 cuillères à thé de vanille 3
 300 Millilitre de lait de coco
3 jaunes d’œufs
 1 cuillère à thé de gélatine
 300 Millilitre Crème
 1 tasse de noix de coco

Instructions 

Tamiser le cacao. Mélangez-le avec du sucre, de la gélatine, des jaunes d'œufs, de la vanille, du lait de coco et de la crème, dans une poêle, sur une double bouilloire. Placer sur l'eau mijotante. Remuer constamment jusqu'à ce que le mélange soit épaissi. Verser dans une casserole peu profonde. Refroidir, incorporer la noix de coco et congeler. Lorsque la moitié se. Le sortir, mélanger dans un mixeur jusqu'à ce que la crème glacée soit lisse et crémeuse. Remettre dans le bac et congeler.

Salade de fruits au lait de coco.

La chimie de nos mamans punu



 Ingrédients 
pour 4 personnes
 • 300 g de fraises
• 2 kiwis
• 8 litchis au sirop
• 40 g de sucre en poudre
 • 30 g d’amandes effilées
• 40 cl de lait de noix de coco
 • 1 cuil. à café de quatre-épices
• 1 cuil. à café de cannelle en poudre
• 3 belles noix de coco
• 3 brins de menthe

Calories = Moyen

Etapes de préparation
1 Rincez, épongez et émincez les fraises en lamelles épaisses. Pelez et coupez les kiwis en rondelles. Egouttez les litchis et coupez-les en morceaux.
 2 Faites légèrement dorer les amandes effilées à sec dans une poêle antiadhésive. Réservez.
3 Versez dans un saladier le lait de coco et mélangez-le avec le sucre, la cannelle et le quatre-épices. Ajoutez les fruits et les amandes effilées. Mélangez délicatement. Réservez au frais jusqu’au moment de servir.
4 Dégustez dans des noix de coco coupées en deux ou dans des coupes parsemées de noix de coco râpée. Décorez de menthe

Le caïman dan sa zone de contrôle

 

Ingrédients
Bois d'oigons indigène
ail
2 Citrons
jus de citrons

Préparation
 Simple et facile.après que les hommes aient finit de dépecé le crocodile.

Prendre les morceaux et bien nettoyer dans l'eau chaude,dans une passoire égoutté la viande,ajouté selon la quantité, un ou deux citron,bien imprégné les morceaux avec le jus de citron pour tué l'odeur forte.

Dans une casserole mettre le tout,salé,un petit morceau de bois d'oignon indigène, l'oignon coupé,l'ail pilé,ou écrasé, trois gros piment vert reconnu pour l'odeur agréable qu'elle distille.un peu d'huile.fermé la marmite au feu de bois ou gazinière. laisser le jus de la viande sortir,jusqu'à ce que son jus tarisse,après cette étape rajouter maintenant un peu d'eau et laisser cuire toujours la marmite fermé pendant 30 et plus selon la quantité. Bon appétit. On peut aussi cuisiné dans le niemboué ,mais c'est une autre recette. Pour les femmes qui aiment le cube je vous conseil le Maggie poulet pour son goût unique.
Recette de Gabrielle Moussavou

Meilleure clip punu 2016

Crabe farcis A la Gabonaise


Ingrédients :

– 4, beaux et gros, crabes
– 250g de crevette, déjà décortiquées ce sera plus simple
– 1 oignon
– 2 tomates
– 2 gousses d’ail
– 1 piment
– 1 citron, ou tout du moins le jus d’un citron
– 2 cuillères à soupe de persil haché
– 2 cuillères à soupe d’huile
– une pincée de safran, si vous en avez sous la main
– Sel et poivree

Préparation :

1. Commencez par faire cuire vos crabes, dans une grosse marmite d’eau bouillante, pendant environ 15 minutes, puis vous les retirez, les égouttez, et les laissez refroidir
2. Alors vient ce qui est peut-être la partie la plus ennuyante… ou la plus amusante, c’est à vous de voir : décortiquez les crabes ! Mais faites tout de même attention à ne pas trop endommager les carapaces, elles nous resserviront plus tard.
3. Mondez vos tomates… il s’agit de les plonger brièvement dans de l’eau bouillante, afin de pouvoir les peler plus facilement, puis hachez-les. Hachez également les crevettes, l’oignon, l’ail, le piment, et le persil.
4. Il s’agit maintenant de mélanger tout ce que vous venez de hacher (tomates, oignon, crevettes, persil, ail, piment) avec le jus du citron, le safran, l’huile, le sel et le poivre. Vous avez maintenant votre farce.
5. Qui dit farce, dit farcir, récupérez donc vos carapaces que vous aviez mises de coté, et… farcissez ! Vous pouvez également allumer votre four, pour le faire préchauffer à 180°C (thermostat6).
6. Il ne reste plus qu’à enfourner vos crabes farcis, à la gabonaise, et c’est parti pour 15 minutes de cuisson. Puis servez bien chaud !!
7. Envoyez-nous les photos de vos créations, nous les publierons !!

Bon Appétit !!


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L'histoire des jagas

Le terme Bajaga par lequel on désigne le groupe ethnique constitué par
les Bakunyi, Balumbu, Bangubi, Banzebi, Bapunu, Batsangi, Bavarama, Bavili, Bavungu,
Gisira et Masangu, est le nom originel de cette entité ethnique.
Maganga ma Buju et Mbumba Bwasa (Les Bajaga du Gabon, 1974, pp. 6-10),
déclarent qu'il semble que des motivations obscures ont amené des administrateurs
coloniaux à écarter la dénomination de Bajaga chargée de sens au profit de noms
de clans ou de devises guerrières. Cette politique tendait à effacer de la mémoire
des hommes un nom qui incarne l'attachement à l'indépendance nationale,
la résistance à l'oppression et à l'exploitation. Elle cherchait à diviser, puis
à opposer les populations les unes aux autres pour essayer de mieux les dominer et Oleux les exploiter. Certes, il n'existe plus des Bajaga purs de tout mélange
; d'ailleurs, les Bajaga ont toujours incorporé à leurs familles, les femmes
et les enfants des tribus vaincues. C'est bien de ce mélange que sont nés les
Bajaga de nos jours. Cette constatation n'a pu empêcher certains auteurs de réduire
l'appellation de Bajaga à quelques groupes comme les Bayaka de SibitiKomono
ou les Bajaga de Ndendé, Mwabi et Tchibanga. Ces derniers sont de plus
en plus appelés Bapunu. Cette tendance restrictive se remarque souvent chez
les missionnaires et les sociologues. Ainsi Raponda Walker (1967, p. 63) affirme
à propos des Bapunu que "le nom Bayaka, sous lequel on les désigne-parfois,
donnerait à penser qu'ils sont des descendants des féroces jaga d'au-delà du
Congo, qui terrorisèrent longtemps la contrée aux siècles passés. Leur humeùr
batailleuse semblerait confirmer cette hypothèse, d'autant plus qu'eux-mêmes
s'inti tulent bcftù èd. d!béf.di "gens de guerre". Par ailleurs, il affirme (1962,
p. 15) que "les Bayaka de la Chute Labo à Mouila sont appelés Bapunu".
si pour Raponda Walker l'identification des Bapunu aux Bayaka relève
de l'hypothèse, le R.P. Bonneau pense autrement. Dans la préface à sa Grammaire
Pounou.e, il écrit notamment : "Les Pounous ou Ya\:.as habitent les régions de la
Nyanga'et de la Ngounié au Gabon; les districts de Divenié et de }~ssendjo au
Moyen-Congo", (1956, p. 7). Commentant un ouvrage de l'abbé Proyat (un missionnaire
du XVllè siècle), il ajoute que les Bajaga s'enfuirent du Congo après
avoir été battus par le général portugais Gouveia qui leur infligea de grandes
pertes. "Une partie de la tribu retourna alors dans la région du Kassal. ; les
autres qui nous intéressent spécialement (c'est-à-dire les Bapunu) mettant le
Congo entre eux et leurs ennemis remontèrent vers le Nord et s'enfoncèrent dans
la forêt équatoriale. De là, ils se répandirent dans les régions qu'ils occupent
actuellement. Plus tard, ils prirent le surnom de Pounou qui signifie "les tueurs"
(1956, p.7)~ Les rapports militaires et politiques ayant trait à la résistance
des Bayaka du Gabon contre la pénétration française de 1906 à 1,913, ,ne désignent
sous ce vocable que les populations de Mwabi-Tchibanga (Nasanga) , alors
que celle de Mouila sont appelées Bapunu.
Le commandant Le Testu, qui n'abuse pas de cette appellation, identifie
aussi les Bayaka aux Bapunu ; il en va de même de Balandier. En somme, comme
l'écrit Deschamps "seuls les Bapunu de ~10ssendjo, Divenié, Ndendé, Hoabi et
Tchibanga sont considérés généralement co~e d'authentiques Bajaga"; les
autres groupes à savoir Balumbu, Batsangi, Bavungu, Banzebi, Bavili, Bakunyi,
Bangubi, Bavarama, Gisira et l·lasangu, à l'exception des Bayaka de Sibiti-
Komono, ne sont plus désignés que ?ar leurs surnoms ou le nom du clan dominant.
Gênés par l'importance et le dynamisme du groupe, certains ont
crée de micro-groupes ethniques. Ainsi Raponda Walker (1962, p. 29) place
les Batsangi et les Banzebi dans un groupe qu'il appelle ~fuédé. Le Service
National de la Statistique du Gabon a pour sa part inventé un groupe
Banzebi dans lequel il inclut les Batsangi, Banzebi, Bakinini et Bawandji.
Binet rapporte que certains observateurs évoquent un groupe mérié qui réunirait
Banzebi, Bawumbu, Batsangi, avec les Bawungu, Gisira èt éventuellement
les tiasangu. Bouquet, dans son étude sur les féticheurs et la médecine
traditionnelle dans la République Populaire du Congo, considère les Bavili,
Bakunyi et Bayombe comme un sous-groupe Kongo ; quant aux Bayaka de Sibiti-
Komono, il les rattache aux Batékés et pense que Balumbu, Bapunu et Babwisi (3)
fotment un groupe autonome qu'il dénonnue PlJNU.
Cette classification fondée uniquement sur la pharmacopée et
l'habitat ne rend pas compte des données historiques, ethnologiques et linguistiques
des groupes considérés. Il faut noter aussi que la parenté des
Batéké et des Bayaka est une parenté de voisinage. Déjà, à la fin du XVllè
siècle, rapporte Avelot, Drapper avait de la peine à distinguer les Bayaka
des aborigènes Batéké. Sautter estime, quant à lui, que les Banzebi, Batsangi,
}Massangu et Gisira sont semi-autochtones du }Massif du Chaillu, alors que tous
les autres groupes viennent; àu Congo et sont apparentés aux Bajaga. Ainsi les
Gisira, Masangu, Batsangi et Banzebi ne seraient pas 1es Bajaga. Ce qui paraît
curieux, c'est que par ailleurs le même auteur, sans voir qu'il se contredit,
rapproche comme par hasard les Bavungu des Gisira et des Bapunu.
Une autre tendance qu'on relève chez les auteurs qui se sont interessés
à l'ethnie jaga consiste à vouloir remplacer le nom Bajaga par des dénominations
issues de leur imagination. C'est pourquoi on refuse de ménager les
s'.lsceptibilités "micro-ethnistes" en rejetant certaines dénominations pour le
moins ridicules connue les termes "Fiottes, Nérié" par lesquelles on désigne
vulgairement des éléments du groupe jaga. L'un des premiers termes fut le mot
"Fiotte" déjà employé pour désigner les Bavili, les Baloango et les Bayombe.
Face à l'identité d'orgar.isat:on classique et donc sociale et politique des
peuples du Sud-Gabon et du Loango, Le Testu (193ü, p. 13) se demande si ces
peuples ne constituent pas une entité ethnique: "Ne faut-il pas voir là, dit-

Les Babwisi ne constituent pas un sous-groupe en SOI comme on veut nous le
faire croire ; ce sone des riverains du fleuve Bwisi constit~és tous par
des éléments des sous-groupes Bapunu et Balumbu.


En 1636, une, invasion des Jaga (Djaga ou Njagga), peuple de l'intérieur ruina la ville et marqua le terme de la domination portugaise qui ne se maintint qu'en quelques points de la côte (enclave de Cabinda, et Angola

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MOUSSE AVOCAT ET AUX MANGUES DE LA MUKALABA



INGRÉDIENTS
MOUSSE AVOCAT ET MANGUE

2 avocats
4 mangues
12 crevettes roses cuites
le jus de 2 citrons verts
le jus de 1 citron jaune
30 cl de crème liquide très froide
2 feuilles de gélatine (2 x 2 g)
2 cuil. à soupe de graines de sésame
6 feuilles de basilic
sel poivre

ÉTAPES

MOUSSE AVOCAT ET MANGUE
1. Pelez et dénoyautez les avocats.
2. Mixez la chair avec le jus de citron vert, salez et poivrez.
3. Versez cette purée dans une jatte.
4. Fouettez la crème liquide très froide en chantilly.
5. Salez et poivrez-la et incorporez-en la moitié à la purée d’avocat.
6. Réservez au frais.

7. Faites ramollir la gélatine dans un bol d’eau froide.
8. Epluchez les mangues, éliminez les noyaux fibreux et mixez la chair.
9. Versez cette purée dans un saladier.
10. Faites chauffer le jus de citron jaune.

11. Hors du feu, faites-y fondre en fouettant la gélatine essorée entre vos mains.
12. Versez dans la purée de mangue. Incorporez délicatement le reste de chantilly.
13. Répartissez un peu de mousse de mangue dans le fond de 6 verres hauts.
14. Placez au frais 10 min puis versez par-dessus la mousse d’avocat.
15. Remettez au frais 10 min.

16. Terminez ensuite de remplir les verres avec la mousse de mangue.
17. Décortiquez les crevettes et répartissez-les sur les mousses.
18. Poivrez, parsemez de graines de sésame et décorez d’une feuille de basilic.

19. Mettez au frais jusqu’au moment de servir.

Taro et Tapioca au lait de coco : Musulu malangue




Taro et Tapioca au lait de coco (Serves 8-12)

Ingrédients:

1 sachet (16 oz). Frozen pelées morceaux de taro, ou 1 lb taro frais (trouver sur les marchés asiatiques)
3/4 tasse de mini-tapioca sec
2 boîtes (14 oz. Chaque) de lait de coco non sucré (pas de crème de la crème de noix de coco ou de noix de coco)
1/2 tasse de sucre granulé ou sucre de roche
Facultatif: haché frais ou conserves de fruits
Indications:

1. Porter une casserole d'eau à ébullition et ajouter le taro congelé à ébullition pendant 5-7 minutes, jusqu'à ce que, tendre (20 minutes si vous utilisez taro frais). Les égoutter et les écraser légèrement, laissant de nombreux morceaux de bouchées Comme souhaité.

2. Entre-temps, dans une casserole, porter l'eau à ébullition et ajouter le tapioca et faire bouillir pendant 5-6 minutes, puis un éteindre pot de chaleur et de la couverture, lui permettant de se reposer pendant 10 à 15 minutes. Le tapioca est prêt quand il est complètement translucide. Égoutter l'excès d'eau et rincer rapidement sous l'eau froide. Assurez-vous d'utiliser un grand pot assez, comme le tapioca élargira un peu après l'ébullition.

3. Au cours de moyenne à feu moyen-bas, lait de coco chaud avec le sucre candi, en remuant pour aider à dissoudre la faq fréquemment sucre. Ne laissez pas manger du lait de coco à ébullition. Quand le sucre est complètement dissous, le goût du lait de noix de coco pour la douceur, et d'ajuster si nécessaire. Il devrait être plus doux que votre résultat final désiré.

4. Ajoutez le tapioca et le taro dans le lait de noix de coco et bien mélanger pour se fondre ensemble. Ajouter plus de lait / lait de coco et d'ajuster la douceur si nécessaire pour une plus grande cohérence et la saveur atteindre souhaité.

5. Laisser reposer au réfrigérateur avant de servir, et ajoutez haché de ajouter des fruits FACULTATIVEMENT (comme jacquier, litchis, kumquats, ou mangue).

Glace punu fruit à la passion



Ingrédients

2 onces de lait condensé
13 onces d'ananas
3 onces de jus d'orange
2 onces de pâte fruit de la passion
  1/2 tasse d'eau
8 onces de sucre
8 onces de glace
Une pincée de sel
mesures

 Étape 1

Mélanger tous les ingrédients sauf la glace

Gâteau de manioc Biale , le Roi en Yipunu


Préparation : 20 min
cuisson: 1h05
12 personnes


Ingrédients
900 g (2 lb) de manioc râpé
3 oeufs
440 g (15½ oz / 2 tasses) de sucre en poudre (superfin)
190 ml (6 ½ fl oz / ¾ tasse) de lait évaporé
310 ml (10½ fl oz / 1¼ tasse) de lait de coco
60 g (2 oz) de beurre non salé fondu
Garniture de caramel de noix de coco

2 c. Une pe de farine tout usage
400 g (14 oz) de lait condensé
80 ml (2½ fl oz / ⅓ tasse) de lait de coco
2 jaunes d'oeufs


Instructions

Préchauffer le four à 180 ° C (350 ° F / Gaz 4). Graisser légèrement un plat allant au four de 22 cm (8¾ pouces) d'environ 7 cm (2¾ inch) de profondeur.

Pour faire le gâteau, placez tous les ingrédients dans un bol. À l'aide d'un mélangeur électrique, battre jusqu'à bien combiné. Verser dans le plat préparé et cuire au four pendant 1 heure, ou jusqu'à ce que ferme au centre. Retirer du four et laisser refroidir légèrement.

Pendant ce temps, pour faire la garniture de caramel de noix de coco, placez la farine et la moitié du lait condensé dans une casserole et remuez pour combiner. Ajouter le lait de coco et le lait condensé restant, et cuire à feu doux pendant 10-15 minutes, en remuant constamment jusqu'à épaissir à une consistance de confiture. Retirer du feu. Battre légèrement les jaunes d’œufs dans un bol, puis mélanger dans le mélange de lait condensé jusqu'à bien combiné.

Verser la garniture sur le gâteau et répartir uniformément. Utilisez un chalumeau de cuisine pour cuire la garniture jusqu'à ce que légèrement caramélisé. Alternativement, faire cuire sous un grill chaud préchauffé (poulet à griller) pendant 3-5 minutes; Soyez prudent car il is se carmelise rapidement. Mettre de côté à température ambiante jusqu'à ce que la garniture est réglée et le gâteau est complètement frais, puis tourner le gâteau pour servir.




Koku mû yambe y ngatsi Na dituka di tsangue tsi kir ( boulette de taro rouge) ou Na dituka di mipale.

Ingrédients pour 6 personnes :
- niemboué
- poulet fumé
- 2 ou 3 feuilles de laurier
- 2 petits piments gabonais
- 1 cube MAGGI au poulet
- 2 oignons
- 3 ou 4 gousses d'ail
- sel
-Poivre noir

Préparation :
 Découpez votre poulet, mettez les morceaux dans une jatte, assaisonnez avec un mélange de poivre, cube et moutarde. Graissez une poêle et faites revenir les morceaux de poulet jusqu’à ce qu’ils soient dorés (environ 10 minutes.), réservez. Dans une marmite, faites chauffer à feu doux l’huile rouge, et faites-y revenir les oignons préalablement hachés.  Ajoutez ensuite les tomates et les gombos émincés. Ajoutez la purée de noix de palme , mélangez. Ajoutez l’eau et le cube, augmentez le feu et couvrez jusqu’à ce que la sauce s’épaississe. (L’huile rouge va apparaître à la surface). Ajoutez le poulet frit , le sel et le piment selon votre goût. Laissez la sauce mijoter 20 min environ. Servez chaud avec le ditouka.

La gagnante de la Femme punu entrepreneure de l'annee 2016 est Thérèse Moussounda Matassa

Entrepreneur, femme au foyer et mère de trois enfants, Thérèse Moussounda Matassa est l’exemple palpable de réussite de l’auto-emploi. Son entreprise, Mimeny Multi-Service spécialisée au départ dans le placement des véhicules de transport et du personnel, tient la route, et ce, grâce à Olam Gabon qui sous traite avec elle dans le cadre du projet Mboukou, situé à quelques kilomètres de la ville de Mouila, dans le sud du Gabon. A 38 ans, Thérèse Moussounda Matassa, une gabonaise originaire de la province de la Ngounie tâte sa première expérience entrepreneuriale au sein du projet Olam Palm Mouila. 

Le flan punu à la papaye

INGRÉDIENTS
  • Lait : 34 c. à soupe
  • Farine : 50 g de farine
  • Beurre : 1 noix
  • Parfum
  • Oeufs : 2
  • Sucre : 7 c. à soupe
  • Papaye : 1 belle pas trop mûre
PRÉPARATION

ÉTAPE 1 :

Éplucher la papaye, la couper en gros dés. Cuire à l'eau bouillante à peine salée. Égoutter longtemps, réduire en purée.

L'homme punu le plus rapide

Nguetsaaa!!!


Safou, atanga en Yipunu

L'atanga safoutier est un arbre fruitier qui se rencontre en Afrique Equatoriale et dont les fruits deviennent violets quand ils sont mûres.



"Bàwénde, bàwénde, bàwénde, bàwénde,  bàwénde. Batoole va diràgu di musafu.
Musafwenyi gureleme va mugulu ndungu"


Extrait des contes punu.

Le Meilleur website punu en 2016

Le website Murime de l'association MURIME: clique sur l'image.


L'art oratoire punu

Une femme punu s'exprimmant en yipunu, location Mabanda.

Le Meilleur activiste punu en Bung Pinz

Il a été choisis pour son action sur le terrain et il fait l'objet de poursuites intenses.

Biologie punu lexique des maladies en yipunu.


-SIDA:  simbu,
-RHUMATISME= ngodju,
-LA TOUX= icotsulu,
-LA VARICELLE= pelembague,
-LE PALU= duvali,
-LE GONO= sute,
-LES MAUX DE TÊTE= muru ghomine,
-LA ROUGEOLE= itutu/mudji niambi,
 -LA TEIGNE= maghoghe,
-LA RATE= divesi,
-LA CONJECTIVE= macape,
-LA CARIE= dikéku,
-LA TUBERCULOSE= muvite,...

généalogique d'Alain Roger Moussavou

L'arbre généalogique consiste à remonter vers ses origines lointaines, jusqu'au dernier ancêtre connu. Voici le mien : *Côté Paternel (Dibambe kadi): Mussavu Bignumb, Bignumb bi Mundung, Mundung Mombu, Mombu Mussavu, Mussavu Nzamb, Nzamb Bussugu, Bussugu bu Kontsu, Kontsu Migueli, Migueli mi Ibuane, Ibuane y Maghantse, Maghantse ma Buasse, Buasse bu Mabunde, Mabunde ma Lili..............*Côté Maternel (Badumbi): Mussavu Bignumb, Mussund Mussavu, Mussavu Maghossu, Maghossu ma Murènde, Buang bu Kass, kumb Nzighu, Nguembi Murènde, Mughéngu Kuande, Bwabele bu Murènde, Mbumb Mulungui, Ndombi Maniégui, Mbonzi Mussavu, Mulungui Buandu...