La cuisine Punu devrait être intégrée comme une branche de la philosophie Punu "ou ndzil mughangu,". L'une des grandes praticiennes et maitresse de cette discipline fut Monique Tsiembu.La cuisine Punu est saisonnière.
La philosophie Punu est la science de la maîtrise du temps de cuisson, l'art de mélanger les ingrédients et de préparer et décorer les plats.
L'art de faire parler les plats. En effet, il n'y a pas de grands plats sans histoires. Le plat lui-même est un texte sur lequel on vient construire quelque chose.
Ílambu y dùéyí, ígheé nengilí dubognù djabè é djabí nzil mughangù
Pour ma Monique, la nourriture était la médecine du corps et de l'esprit, rien qu'en mangeant de la bonne nourriture, on pouvait guérir la tetiana. Je me souviens dans les années 1990, quand elle s'est occupée d'une tetian qui avait été découverte pour moi.
Les dix commandements de La philosophie de la cuisinepunu
Tu penseras aux pauvres, aux orphelins
Tu respecteras la terre, tu la cultiveras pendant quatre ans et tu la laisseras se reposer
Tu seras reconnaissant à Dieu pour la récolte
Tu ne mangeras qu'après avoir travaillé dur
Tu ne gaspilleras pas la nourritures
Tu respecteras ton matériel
Tu respecteras l'environnement
Tu respecteras ceux qui travaille pour toi, comme les membres de ta propre famille
Tu respecteras les temps de cuisson
Tu trouveras plaisir quando tu cuisines et dans le travail de la terre
Le but ultime de cette cuisine est le bien-être.
Les catégories de cette philosophie sont :
1. Lien avec la terre.
Les Bantous ont une relation étroite avec la terre, et leur cuisine s'appuie souvent sur des ingrédients locaux. Les pratiques agricoles traditionnelles et la récolte de plantes sauvages sont des éléments centraux.
2. Symbolisme et rituels
La nourriture a une signification symbolique. Certains plats sont préparés lors de rituels et de célébrations, symbolisant l’unité, la prospérité et la mémoire des ancêtres. 3. Partage et communauté
La cuisine bantoue est souvent axée sur le partage. Les repas sont des occasions de se retrouver, de renforcer les liens familiaux et communautaires. 4. Simplicité et diversité
La cuisine est généralement simple, avec des ingrédients tels que le maïs, le manioc et une variété de légumes. La diversité des recettes varie selon les régions et les ethnies. 5. Respect des traditions
La transmission des recettes et des techniques de cuisson est essentielle, souvent enseignée de génération en génération. Cela reflète une éthique de respect et de continuité culturelle.
6. Alimentation et santé
Pour ma Monique, la nourriture était la médecine du corps et de l'esprit, rien qu'en mangeant de bons aliments, on pouvait guérir du ténia. Je me souviens dans les années 1990, quand elle s'est occupée du tétnia qui avait été découverte .
10. Rôle des femmes en cuisine
Les femmes jouent un rôle central dans la préparation des repas et la transmission des connaissances culinaires. Leur savoir-faire est valorisé et la cuisine devient un espace d’expression de leur identité et de leur créativité.
11. Plats emblématiques et leur signification
Certains plats, comme le fufu (une pâte à base de tubercules) ou les soupes riches en légumes, sont porteurs de significations particulières. Elles peuvent symboliser la solidarité et la vie communautaire, souvent consommées en groupe. 12. Éducation alimentaire
La cuisine est également un moyen d’éduquer les jeunes générations aux valeurs culturelles et à l’importance du patrimoine. Les enfants apprennent non seulement à cuisiner, mais aussi à comprendre l’histoire et les traditions derrière chaque plat. 13. Alimentation et identité
La cuisine joue un rôle clé dans l’affirmation de l’identité culturelle bantoue. À travers la nourriture, les membres de la communauté renouent avec leurs racines et célèbrent leur héritage face à la mondialisation et à l’homogénéisation culturelle. Conclusion
La philosophie bantoue de la cuisine est donc bien plus que la simple préparation de la nourriture ; elle incarne des valeurs culturelles profondes, des traditions spirituelles et une relation harmonieuse avec l’environnement. Chaque repas parle de l’histoire et de l’identité collectives des Bantous.
Bien sûr, explorons plus en détail la philosophie bantoue de la cuisine. 7. Rituels culinaires et spiritualité
Les pratiques culinaires sont souvent intégrées à des rituels spirituels. Par exemple, certains aliments sont préparés spécifiquement pour honorer les ancêtres ou lors de rites de passage. Ces rituels renforcent le lien entre nourriture, spiritualité et identité culturelle. 8. Adaptation et innovation
Si la cuisine bantoue est ancrée dans la tradition, elle est aussi dynamique. Les influences extérieures, comme le commerce et la colonisation, ont apporté des ingrédients et des techniques qui ont été intégrés de manière créative. Cette adaptabilité témoigne d'une philosophie ouverte à l'évolution. 9. Durabilité et respect de l'environnement
Les pratiques agricoles durables sont souvent mises en avant. La philosophie de la cuisine inclut le respect des cycles naturels et l'utilisation de méthodes qui préservent la biodiversité. Cela reflète une compréhension profonde de l'interconnexion entre l'homme et la nature. 10. Rôle des femmes dans la cuisine
Les femmes jouent un rôle central dans la préparation des repas et la transmission des connaissances culinaires. Leur savoir-faire est valorisé et la cuisine devient un espace d'expression de leur identité et de leur créativité.
11. Plats emblématiques et leur signification
Certains plats, comme la dituka (une pâte de banane) ou les soupes riches en légumes, ont une signification particulière. Ils peuvent symboliser la solidarité et la vie communautaire, et sont souvent consommés en groupe. 12. L'éducation alimentaire
La cuisine est aussi un moyen d'éduquer les jeunes générations aux valeurs culturelles et à l'importance du patrimoine. Les enfants
Mamboudou était un leader politique hors pairs, non seulement en termes de politique économique, d'éloquence ou de sens du débat, mais aussi en termes d'image.Pour beaucoup de politiciens, elle n'est pas considérée comme faisant partie du processus politique (cf. la tenue d'Obama) selon un ancien chercheur en stratégie. "Il y a aujourd'hui un grand intérêt pour le caractère personnel, et la façon dont on s'habille est un accès immédiat à cela. Cela fait partie d'un message global, et d'ue bonne gestion de l'image,
Bien que ce politicien suive localement, Mamboundou dans sa réalité sociale inversée, où M. Mamboundou devient l'exception parce qu'il suit la tradition de l'opposant historique, la cravate rouge symbolisant la révolution,
Les recettes à base de citrouille sont légion dans le monde entier. Les Américains adorent la tarte à la citrouille, les Italiens préfèrent les tortellinis à la citrouille et les gnocchis à la citrouille assaisonnés de beurre de sauge et de parmesan. Mais la citrouille cuite simplement est très populaire partout dans le monde, et la citrouille est suffisamment polyvalente pour pouvoir remplacer d'autres types de courges dans de nombreuses recettes. Elle peut être coupée en tranches et rôtie au four avec juste une pincée de curcuma et un filet d'huile d'olive ; elle peut être servie dans une soupe avec du gingembre, du lait de coco et du poivre noir. Il existe même des recettes inventives de burgers et d'escalopes de citrouille. L'une d'entre elles, ci-dessous : Recette de côtelettes de citrouille
Ingrédients :
500 g de purée de citrouille (ou 1½ boîte de citrouille)
huile d'olive extra vierge
⅔ tasse de farine
1 cuillère à café de moutarde
sel
romarin
sauge
chapelure
Méthode :
Si vous utilisez de la citrouille fraîche, coupez-la en tranches et faites-la cuire au four avec un filet d'huile à 190 degrés pendant 25 à 30 minutes jusqu'à ce qu'elle soit tendre. Jetez la peau. Écrasez la pulpe avec un presse-purée. Lorsqu'elle est froide, ajoutez la farine, la moutarde, le sel et les épices ; mélangez bien jusqu'à ce qu'une pâte se forme Formez des escalopes et enrobez-les de chapelure des deux côtés Faites cuire au four ou à la poêle jusqu'à ce que la chapelure soit dorée
Randonnées guidées : Participer à des randonnées guidées pour suivre les gorilles dans le parc national de Moukalaba-Doudou est un incontournable. Les gardes forestiers donnent souvent des informations sur le comportement et l'habitat des gorilles, ce qui en fait également une expérience éducative.
Photographie animalière : De nombreuses visites s'adressent spécifiquement aux photographes animaliers, offrant des conseils sur les meilleures pratiques pour capturer ces animaux incroyables dans leur environnement naturel.
Observation des oiseaux :
Diversité aviaire : Avec plus de 700 espèces recensées au Gabon, l'observation des oiseaux à Ngounié est un délice. Recherchez des espèces uniques comme le perroquet gris d'Afrique, la pintade casquée et divers rapaces.
Guides ornithologiques : l'embauche d'un guide ornithologique local peut améliorer l'expérience, en vous aidant à repérer des espèces insaisissables et à comprendre leurs habitats.
Observation de reptiles et d'amphibiens :
Espèces uniques : la région abrite divers reptiles et amphibiens. Des promenades nocturnes guidées peuvent offrir l'occasion d'observer ces créatures, notamment des caméléons et des rainettes.
Hébergements
Eco-lodges :
Moukalaba-Doudou : il existe des éco-lodges à proximité du parc qui mettent l'accent sur la durabilité, offrant un hébergement confortable tout en minimisant l'impact environnemental.
Maisons d'hôtes locales : envisagez de séjourner dans des maisons d'hôtes ou des familles d'accueil gérées localement pour mieux comprendre la culture et la cuisine locales.
Expérience en plein air : certains parcs autorisent le camping, offrant une expérience plus immersive dans la nature. Cela peut être une excellente option pour les voyageurs aventureux qui cherchent à se connecter avec la nature sauvage.
Hôtels à Mouila :
Confort urbain : dans la capitale, Mouila, il existe plusieurs hôtels et lodges qui offrent des équipements de base et un séjour confortable tout en explorant la région.
Région de Nyanga
Rencontres avec la faune
Parc national de Loango :
Safaris sur la plage et la faune : ce parc est unique pour sa combinaison d'écosystèmes de plage et de savane. Des visites guidées peuvent vous emmener à travers le parc pour observer la faune, notamment les éléphants, les buffles et les hippopotames.
Observation des oiseaux : les zones côtières sont également excellentes pour l'observation des oiseaux, avec des espèces comme le héron de nuit à couronne noire et divers oiseaux migrateurs.
Faune marine :
Plongée avec tuba et plongée sous-marine : explorez les récifs coralliens au large de la côte de Nyanga. Les excursions guidées de plongée avec tuba peuvent offrir des opportunités d'observer des poissons colorés, des tortues de mer et d'autres espèces marines.
Activités écotouristiques :
Projets de conservation :
certains écolodges et voyagistes s'engagent dans des efforts de conservation locaux. Participer à ces initiatives peut fournir une expérience pratique et contribuer positivement à l'environnement.
Hébergement
Hotel Modibotie Relais de la Nyanga 4.0 (1) · Hotel Tchibanga, Gabon · +241 11 82 02 67
(14) · Hotel BP 254
Logements en bord de mer :
Plage de Loango : recherchez des lodges en bord de mer qui offrent une vue imprenable et un accès direct à l'océan. Bon nombre de ces lodges proposent des équipements tels que des piscines et des visites guidées.
Camping dans le parc national de Loango :
Expérience en pleine nature : vous pouvez organiser du camping dans le parc, ce qui vous permettra de découvrir de près les sons de la faune et la beauté de la nature.
Hébergement communautaire :
Séjours en famille locale : interagissez avec les communautés locales grâce à des séjours chez l'habitant, ce qui permet une immersion culturelle et la possibilité d'apprendre directement des familles locales leur mode de vie.
Logistique de voyage pratique
S'y rendre
Vols :
Accès à Libreville : la plupart des voyageurs internationaux atterriront à Libreville. De là, des vols intérieurs ou des voyages en voiture peuvent vous conduire à Ngounié et Nyanga.
Vols intérieurs : recherchez les options de vol intérieur vers Mouila (pour Ngounié) ou Tchibanga (pour Nyanga) pour un accès plus rapide à ces régions.
Français:Voyage sur route :
Conduite autonome : louer une voiture permet de découvrir des zones reculées avec plus de flexibilité. Assurez-vous que votre véhicule est adapté aux terrains accidentés.
État des routes : préparez-vous à des conditions routières variables ; certains itinéraires peuvent être difficiles, en particulier pendant la saison des pluies.
Transports locaux
Taxis bantous : dans les grandes villes, les taxis partagés sont un mode de transport populaire. Ils peuvent être bondés, mais ils constituent un moyen de transport économique.
Taxis moto : dans les zones rurales, vous pouvez trouver des taxis motos capables de circuler sur des routes difficiles, offrant un moyen rapide de se déplacer d'un endroit à un autre.
Communication et connectivité
Langue :
Maîtrise du français :
bien que de nombreux habitants parlent un peu anglais, la maîtrise du français améliorera considérablement votre capacité à communiquer. Apprendre quelques phrases clés peut vous être très utile.
Connectivité mobile :
Cartes SIM locales : envisagez d'acheter une carte SIM auprès d'un fournisseur local pour accéder à Internet. Cela est particulièrement utile pour la navigation et pour rester connecté.
Conseils supplémentaires
Engagement culturel :
Participez aux événements locaux : soyez à l'affût des événements ou des festivals locaux pendant votre visite. Participer à ces célébrations peut vous permettre de mieux comprendre la culture gabonaise.
Tourisme responsable :
Bien sûr ! Voici un aperçu encore plus approfondi du tourisme à Ngounié et Nyanga, en mettant l'accent sur des activités spécifiques, des hébergements, des rencontres avec la faune et une logistique de voyage pratique pour vous aider à maximiser votre expérience dans ces régions.
Contacts d'urgence :
Connaissez les numéros d'urgence locaux : familiarisez-vous avec les contacts d'urgence locaux, y compris l'hôpital ou la clinique la plus proche, et ayez un plan en cas d'urgence.
Conclusion
Voyager à Ngounié et Nyanga offre un mélange unique d'aventure, de culture et de nature que l'on trouve rarement dans les destinations touristiques plus traditionnelles. Avec une faune riche, des cultures dynamiques et des paysages époustouflants, ces régions sont parfaites pour les voyageurs en quête d'expériences authentiques. En vous immergeant dans les coutumes locales, en explorant la beauté naturelle et en vous rapprochant de la faune, vous pouvez créer un voyage vraiment mémorable. En explorant ces joyaux moins connus du Gabon, vous trouverez d’innombrables opportunités de découverte et de connexion avec la nature et la communauté locale.
Phytothérapie : discutez avec des guérisseurs locaux pour en savoir plus sur les pratiques de médecine traditionnelle. De nombreuses communautés utilisent des remèdes à base de plantes pour traiter divers maux et vous pourrez découvrir leurs vastes connaissances des plantes locales.
Suivi des gorilles :
Une aventure unique : participer à un suivi guidé des gorilles dans le parc national de Moukalaba-Doudou peut être une expérience palpitante. Cela demande de la patience et une bonne forme physique, mais la récompense d'observer ces animaux majestueux dans leur habitat naturel est inoubliable.
Circuits photographiques :
Focus sur la nature : rejoignez des circuits photographiques spécialisés destinés aux photographes animaliers et de paysage. Les guides peuvent vous aider à trouver les meilleurs endroits et moments pour capturer des images époustouflantes.
Points forts à ne pas manquer
Parc national de Pongara :
Écosystèmes côtiers et forestiers : situé près de la côte, ce parc offre un mélange d'expériences de plage et de forêt. Vous pouvez observer la vie marine le long des plages et faire de la randonnée dans des forêts luxuriantes.
Mouila :
Pôle culturel : La capitale de la Ngounié propose des marchés et des expériences culinaires locales où les visiteurs peuvent déguster des plats traditionnels, tels que la « soupe de poisson » et des plats à base de manioc.
Région de Nyanga
Expériences uniques
Surfer sur les vagues :
Plage de Loango : connue pour ses excellentes conditions de surf, en particulier entre juin et septembre. Vous pouvez louer des planches ou prendre des cours avec des instructeurs locaux si vous êtes débutant.
Tourisme communautaire :
Vivre avec les locaux : Certains villages proposent des séjours chez l'habitant, permettant aux visiteurs de découvrir la vie quotidienne, de partager des repas et de participer à des activités communautaires. Cela favorise une meilleure compréhension de la culture locale.
Cours de cuisine :
Cuisine locale : Participez à un cours de cuisine pour apprendre à préparer des plats traditionnels gabonais. Cela peut être une façon amusante de s'immerger dans la culture locale et de ramener à la maison de nouvelles compétences.
Points forts à ne pas manquer
Parc national de Loango :
Observation de la faune : Passez une journée ou deux à explorer le parc national de Loango, où vous pourrez voir des éléphants errer sur les plages et des hippopotames se prélasser dans les lagons. Des visites guidées peuvent enrichir votre expérience grâce à une connaissance approfondie de la région.
Gamba :
La porte d'entrée de l'exploration : cette petite ville sert de base à de nombreuses aventures, notamment des excursions dans les parcs et les plages à proximité. Gamba possède des éco-lodges qui s'adressent aux touristes à la recherche d'expériences immersives dans la nature.
Delta de la rivière Nyonie :
Aventures en kayak : explorez le delta en kayak. Cette zone regorge d'animaux sauvages, notamment de diverses espèces d'oiseaux et de crocodiles. Le kayak offre une perspective unique sur la beauté naturelle de la région.
Informations pratiques
Transports
Transports locaux :
Taxis bantous : les taxis partagés (connus localement sous le nom de « taxis bantous ») peuvent être un moyen pratique et économique de se déplacer entre les villes et les attractions. Ils ont souvent des itinéraires fixes mais peuvent être moins confortables que les véhicules privés.
Location de voiture : La location d'une voiture peut être nécessaire pour les zones plus éloignées. Assurez-vous d'avoir une carte ou un GPS fiable, car certaines régions ont une signalisation limitée.
Santé et sécurité
Recommandations de vaccination :
Outre la prévention du paludisme, envisagez la vaccination contre la fièvre jaune et la typhoïde, car ce sont des problèmes de santé courants dans la région.
Conseils de sécurité :
Restez conscient de votre environnement, en particulier dans les zones surpeuplées. Il est conseillé de garder vos objets de valeur en sécurité et d'éviter de voyager seul dans les zones éloignées après la tombée de la nuit.
Connectivité
Accès Internet :
Bien que les grandes villes puissent avoir le Wi-Fi dans les hôtels et les cafés, l'accès à Internet peut être limité dans les zones rurales. Téléchargez des cartes et des guides avant de voyager pour vous assurer d'avoir accès aux informations nécessaires.
Considérations supplémentaires
Étiquette de la faune :
Maintenez toujours une distance respectueuse avec la faune. Suivez les instructions de votre guide pour éviter de déranger les animaux, en particulier pendant les saisons de nidification ou de reproduction.
Conservation de l'environnement :
Soutenez les initiatives respectueuses de l'environnement et séjournez dans des hébergements qui privilégient la durabilité. Cela contribue à préserver la beauté naturelle et la biodiversité du Gabon.
Sensibilité culturelle :
Respectez les coutumes locales et habillez-vous modestement lorsque vous visitez les villages. La compréhension des normes sociales améliorera vos interactions et vos expériences.
Période de votre visite :
Meilleures saisons : La saison sèche (de juin à septembre) est idéale pour la plupart des activités de plein air, tandis que la saison des pluies (d’octobre à mai) peut apporter de fortes précipitations, mais c’est aussi la période où les paysages sont luxuriants et dynamiques.
Conclusion
Les régions de Ngounié et de Nyanga au Gabon offrent des expériences de voyage riches et diverses qui vont des rencontres culturelles immersives aux aventures naturelles à couper le souffle. Avec la possibilité de côtoyer la faune, d’en apprendre davantage sur les pratiques traditionnelles et de profiter de paysages époustouflants, ces régions promettent une expérience de voyage unique et mémorable. En planifiant à l’avance et en respectant les cultures et les environnements locaux, vous pourrez tirer le meilleur parti de votre visite dans ces belles régions du Gabon. Que vous soyez un passionné de nature, un chercheur de culture ou un amateur d’aventure, il y en a pour tous les goûts à Ngounié et à Nyanga.
Religion Bwiti : La religion Bwiti est pratiquée par de nombreux habitants de la région de Ngounié. Elle comprend des rituels, des danses et l'utilisation de la plante iboga. Les visiteurs peuvent assister à des cérémonies traditionnelles, qui incluent souvent de la musique, de la danse et des contes, offrant un aperçu de cette pratique spirituelle unique.
Religion catholique
Artisanat et art : Les artisans locaux produisent de magnifiques objets artisanaux, notamment des objets en bois sculpté, des textiles et des bijoux. Visiter les marchés ou les ateliers peut être l'occasion d'acheter des souvenirs authentiques et de soutenir les économies locales.
Activités supplémentaires
Observation des oiseaux :
Diversité des espèces : Avec ses habitats variés, Ngounié est un paradis pour les ornithologues amateurs. Des espèces comme le perroquet gris d'Afrique et de nombreux souimangas peuvent être aperçues. Des visites guidées d'observation des oiseaux peuvent améliorer l'expérience.
Exploration botanique :
Diversité de la flore : Les forêts tropicales de la région abritent une grande variété de plantes, notamment des herbes médicinales. Les visites guidées peuvent renseigner les visiteurs sur la flore locale et ses utilisations en médecine traditionnelle.
Sports d'aventure :
VTT et tyrolienne : certaines zones peuvent offrir des possibilités de faire du VTT ou de la tyrolienne à travers la canopée forestière, ajoutant un élément d'adrénaline à l'aventure.
Région de Nyanga
Points forts culturels
Techniques de pêche traditionnelles : dans les communautés côtières, les visiteurs peuvent en apprendre davantage sur les pratiques de pêche traditionnelles, notamment l'utilisation de filets et de pièges faits à la main. Participer ou observer ces pratiques peut donner un aperçu du mode de vie local.
Musique et danse : la région de Nyanga possède un riche patrimoine musical. La musique traditionnelle accompagne souvent les cérémonies culturelles et les danses locales sont une expression vibrante de l'identité communautaire. Assister à un événement ou à un festival local peut être un moment fort de votre voyage.
Activités supplémentaires
Visites de la faune marine :
Observation des dauphins : les eaux côtières abritent diverses espèces marines, notamment des dauphins et des lamantins. Les excursions en bateau peuvent offrir l'occasion d'observer ces créatures dans leur habitat naturel.
Randonnée et trekking :
Sentiers avec vues panoramiques : il existe de nombreux sentiers dans la région de Nyanga qui mènent à des vues panoramiques sur la côte et les forêts environnantes. Les itinéraires populaires incluent souvent des arrêts aux cascades ou aux points de vue.
Ateliers culturels :
Expériences pratiques : participez à des ateliers qui enseignent l'artisanat local, comme le tissage ou la poterie. Cela permet non seulement de soutenir les artisans locaux, mais aussi de nouer un lien plus profond avec la culture.
Défis potentiels
Infrastructures : certaines zones de Ngounié et de Nyanga peuvent avoir des infrastructures limitées, notamment des routes accidentées et des transports publics limités. Il est essentiel de planifier à l'avance et de faire appel à un guide local pour vous aider à surmonter ces défis.
Barrière linguistique : bien que le français soit couramment parlé, certaines langues locales peuvent être prédominantes dans les zones rurales. Connaître des phrases de base en français ou utiliser des applications de traduction peut être utile.
Considérations relatives à la santé : outre la prophylaxie contre le paludisme, il est sage d'emporter une trousse de premiers soins de base et d'être prudent avec la nourriture et l'eau pour éviter les problèmes gastro-intestinaux.
Recommandations pour une expérience complète
Restez plus longtemps : si possible, passez quelques jours dans chaque région pour vous immerger pleinement dans la beauté naturelle et la richesse culturelle. Si vous vous précipitez, vous risquez de manquer des trésors cachés.
Préparez vos bagages en conséquence : apportez des vêtements légers adaptés au temps chaud et humide, ainsi que des chaussures robustes pour la randonnée. N'oubliez pas la crème solaire, l'insectifuge et une bouteille d'eau réutilisable.
Échangez avec les habitants : prenez le temps de discuter avec les habitants locaux. Cela peut conduire à des expériences inattendues, telles que des invitations à des rassemblements communautaires ou des informations sur l'histoire et la culture de la région.
Pratiques durables : soyez conscient de votre impact sur l'environnement. Restez sur les sentiers balisés, évitez de jeter des déchets et soutenez les entreprises locales en achetant des produits artisanaux au lieu de souvenirs fabriqués en série.
Étiquette photographique : demandez toujours la permission avant de photographier des personnes ou leurs maisons, car cela témoigne du respect des coutumes et des pratiques locales.
Conclusion
Ngounié et Nyanga offrent aux voyageurs une expérience riche caractérisée par une beauté naturelle à couper le souffle, une faune diversifiée et des cultures locales dynamiques. Avec un peu de préparation et de respect des coutumes locales, les visiteurs peuvent vivre une aventure inoubliable dans ces magnifiques régions du Gabon. Que vous exploriez des forêts tropicales denses, que vous vous détendiez sur des plages immaculées ou que vous vous impliquiez auprès des communautés locales, il existe une multitude d'expériences à découvrir.
Attractions de la région de la Ngounié Parc national de Moukalaba-Doudou : Biodiversité : Ce parc est l'une des zones protégées les plus vastes et les plus importantes du Gabon, connue pour ses forêts denses et sa faune diversifiée, notamment les gorilles des plaines de l'ouest, les chimpanzés et diverses espèces de singes.
Activités : Les randonnées guidées et les expéditions de suivi de la faune sont populaires. Le parc offre également des possibilités d'observation des oiseaux, avec de nombreuses espèces endémiques à observer.
Rivière Ngounié : Kayak et pêche : La rivière offre un cadre tranquille pour le kayak et la pêche. Les visiteurs peuvent profiter des paysages sereins tout en explorant les voies navigables.
Villages locaux : Visites culturelles : Visitez les villages Bwiti locaux pour en savoir plus sur leurs traditions, leurs rituels et leurs croyances. Participez à des danses culturelles et goûtez aux plats traditionnels.
Activités Visites photographiques : Les paysages luxuriants et la faune diversifiée offrent de nombreuses possibilités de photographie, ce qui en fait un paradis pour les photographes de la nature.
Promenades guidées dans la nature : Des guides compétents peuvent améliorer votre expérience en vous montrant diverses espèces végétales et animales et en partageant des informations sur l'écosystème local.
Attractions de la région de Nyanga Parc national de Loango : Habitats divers : Ce parc présente un mélange unique d'écosystèmes côtiers et de savane, ce qui en fait l'une des zones les plus diversifiées écologiquement du Gabon.
Faune
: Il est connu pour ses grandes populations d'éléphants, d'hippopotames et de vie marine. Vous pourrez même apercevoir des tortues de mer nidifiant le long des plages.
Activités nautiques
: Participez à des activités comme la plongée avec tuba et la plongée sous-marine pour explorer la vie marine dynamique.
Cascades de Tsogo
: Site pittoresque : Situées dans la région de Nyanga, ces cascades sont une attraction naturelle époustouflante. La randonnée jusqu'aux chutes offre la possibilité de découvrir la beauté des paysages du Gabon.
Activités Surf et sports nautiques
: Le littoral près de Nyanga offre des possibilités de surf, de jet ski et d'autres sports nautiques
Camping et pique-nique
: De nombreux parcs et espaces naturels permettent de camper, offrant une chance de s'immerger dans la nature et de profiter du ciel étoilé la nuit.
Conseils de voyage
Comment s'y rendre?
Transports : La principale ville de la région de la Ngounié est Mouila, accessible par la route depuis Libreville, la capitale. On peut se rendre dans la Nyanga par la ville de Mouila, avec des options de voyage telles que les taxis privés ou la location de voitures.
Guides locaux
:
Pensez à engager des guides locaux pour une expérience plus enrichissante, en particulier dans les zones reculées. Ils peuvent fournir des informations et assurer la sécurité.
Santé et sécurité Vaccinations
Assurez-vous d'avoir des vaccinations à jour et envisagez une prophylaxie contre le paludisme, car ces régions se trouvent dans des zones tropicales.
Assurance voyage
Il est conseillé d'avoir une assurance voyage qui couvre les urgences médicales et les changements inattendus dans les plans de voyage.
Considérations culturelles Respectez les coutumes locales:
Lorsque vous visitez des villages, soyez attentif aux coutumes et traditions locales. Il est poli de demander la permission avant de prendre des photos de personnes ou de leurs maisons.
Langue
: Bien que le français soit la langue officielle, certaines langues locales sont parlées dans les zones rurales. Apprendre quelques phrases de base en français peut améliorer vos interactions.
Résumé
Les régions de Ngounié et de Nyanga offrent une riche tapisserie de beauté naturelle, de faune et de flore et d'expériences culturelles. Que vous partiez en randonnée dans des forêts tropicales luxuriantes, que vous vous détendiez sur des plages immaculées ou que vous vous impliquiez auprès des communautés locales, il y a quelque chose pour chaque voyageur. En respectant l'environnement et les cultures locales, vous pouvez contribuer aux efforts de tourisme durable dans ces belles régions du Gabon.
Pour comprendre l’évolution du mujag moderne, il faut se débarrasser de stéréotypes profondément ancrés et s’intéresser de plus près à la réalité de cette culture historique. Quand on pense aux bajags d’Afrique, on pense souvent à des hommes robustes, féroces, obscènes, danseurs d’ikokou et buveurs de musungou. Mais derrière ces images se cache une histoire riche que peu de gens comprennent pleinement.
La naissance Bajag
Une femme mujag
Le bajag classique tel que nous le connaissons est né au cours de l’occupation portugaise, lorsque les peuples d’Afrique centrale se regroupaient pour combattre le nouvel occupant portuguais, bataille pour conserver les positions stratégiques des mines de bukmeal mais aussi l'exode de ses peuples vers l'ouest, l'océan Atlantique.
Au 21e siècle, l'essence de ces pratiques classiques demeure, et le mujag s'est adapté et a évolué pour rester pertinent à l'ère moderne. Les mujags passent désormais une grande partie de leur temps au volant d'une camionnette, pu fourgonette se déplaçant entre les pâturages de vastes ranchs et transportant de la nourriture et du bétail. Même les plus grands ranchs du Nyangou nécessitent très peu de mains pour les gérer. L'élevage est devenu une science et un art qui bénéficient de nouvelles technologies et pratiques telles que les crédits carbone, l'élevage durable et même la technologie de prévision météorologique qui apporte de la commodité aux tâches quotidiennes.
Peugeot 404
Et tout comme les techniques d'élevage ont connu une évolution, la tenue vestimentaire a également évolué. Les Mujag de l'Ouest moderne ont échangé les chemises et les culottes contre des marques de travail robustes comme Carhartt , Wrangler et Deluth. Mais ne vous laissez pas tromper : le chapeau, la centure et les boutes bajag restent aussi emblématiques que jamais.
Le Bajag moderne : un aperçu détaillé
Le mujag d’aujourd’hui est une figure familière, mais très différente de l’image transmise de génération en génération. Ce qui peut surprendre beaucoup de gens, c’est que la culture bajag est toujours active et, à bien des égards, prospère dans des endroits comme Mouila, Ndéndé, Moabi ,Tchibanga et Mayoumba.
Une journée dans la vie d’un mujag moderne
La journée d’un mujag moderne commence à l’aube, où on peut le voir, limer son couteau de chasse, coupe coupe, arborer son douk douk , café à la main, inspecter son bétail. Le ranch, après tout, nécessite un entretien quotidien. Il conduit une solide camionnette pour couvrir rapidement le vaste territoire, mais le lien inné entre un mujag et sa camionnette reste inébranlable. La dépendance et l’affection du mujag envers sa famille, sa camionnette, son douk douk , son chien sont toujours aussi vitales au 21e siècle qu’elles l’étaient dans les années 1900. Garder son bétail sur un enclos n’est plus la norme, mais conduire le bétail d’un pâturage à l’autre dans un ranch ou participer à des rassemblements de bétail locaux continue d’être une partie importante de leur routine.
L’infusion de la culture Mujag dans la jeunesse gabonaise
L’entrée d’une personne plus jeune dans la vie de mujag renouvelle la culture mujag. De nombreux jeunes adoptent le style de vie mujag, y insufflant leur personnalité et leurs idées innovantes. Il n’est pas rare de voir de jeunes mujag diplômés des Universités ou d’autres grandes institutions africaines s’engager à maintenir et à moderniser les opérations de ranch. Et ne vous en faites pas, beaucoup d’entre eux savent chasser, conduire un bétail.
liona Blanc la star Punu aux USA
Iliona Blanc artiste punu
Le mujag moderne : la tradition rencontre l’innovation
En plus de leur travail au ranch, des événements publics comme les fêtes locales jouent un rôle important dans la mise en valeur de leurs compétences et le maintien des traditions bajag en vie. Bien que le style de vie du mujag moderne conserve des éléments essentiels du mujag traditionnel, il est important de comprendre comment ils ont évolué. Le mujag moderne est adaptable et prêt à adopter de nouvelles pratiques, un trait clé qui passe souvent inaperçu et qui semble aussi ancré en eux que la poussière des pâturages ouverts. Jetons un œil à certaines des nouvelles pratiques que les mujag ont intégrées à leur style de vie.
Nouvelles technologies
Le mujag moderne a intégré de manière transparente les nouvelles technologies dans les traditions ancestrales de l'élevage, créant un mélange qui respecte le passé tout en embrassant l'avenir. De l'utilisation de drones pour surveiller de vastes étendues de terre et suivre le bétail, aux systèmes sophistiqués de marquage GPS et RFID pour une gestion précise du troupeau, ces avancées ont révolutionné la façon dont les mujag travaillent. Les applications mobiles aident désormais à prévoir la météo, à surveiller la santé du troupeau et même à négocier sur le marché, permettant aux bajags de prendre des décisions éclairées en déplacement. Cette transformation numérique a non seulement rendu les opérations de ranch plus efficaces, mais a également amélioré le bien-être des animaux dont ils s'occupent.
Crédits carbone
Dans un contexte de préoccupations croissantes concernant le changement climatique et la durabilité environnementale, les mujag modernes deviennent des héros improbables dans la lutte contre les émissions de carbone. En adoptant et en promouvant des pratiques qui séquestrent le carbone, telles que le pâturage en rotation et les techniques améliorées de gestion des terres, ils transforment leurs ranchs en puits de carbone vitaux. La participation aux marchés des crédits carbone offre une source de revenus innovante aux bajags, les récompensant pour leur gestion environnementale. Grâce à ces marchés, le carbone séquestré par leurs pratiques durables peut être quantifié et vendu sous forme de crédits à des entreprises cherchant à compenser leur empreinte carbone. Cela contribue non seulement à l'effort mondial de lutte contre le changement climatique, mais souligne également le rôle que les modes de vie traditionnels, adaptés aux réalités contemporaines, peuvent jouer dans la création d'un avenir plus durable.
Le style Bajag
Le rôle de la culture pop dans la représentation des bajags modernes
La culture pop a laissé une marque indélébile sur la perception mondiale des mujags, impactant considérablement la croissance et l'évolution de la vie des bajags modernes. Des séries télévisées comme Où vas tu koumba? Dallas dépeint la vie du mujag moderne, ont amené l'idée de l'élevage contemporain dans les salons du monde entier. Elles ont dressé un portrait saisissant du mujag moderne : brut mais sentimental, endurci par la nature, mais suffisamment intelligent pour s'adapter aux changements du XXIe siècle.
Des chanteurs comme Styley Syon et NGa Kumb ont également infusé la culture du mujag dans leur musique. Leurs chansons rendent hommage au mode de vie du mujag, alimentant l'idéal romantique de liberté depuis Mavurulu jusqu’au non du référendum , de résilience et de liberté. Il y a quelque chose dans le mode de vie du bajag qui déclenche en nous la nostalgie et un désir de liberté.
Le bajag moderne représenté par la littérature
La littérature moderne, elle aussi, utilise l'image et le mode de vie du bajag comme métaphore de la résilience et de la survie face aux difficultés. Les nouvelles et les romans décrivent des histoires de luttes, d'affrontements et de couchers de soleil, alimentant encore davantage notre fascination collective pour le mode de vie du Mujag. Parmi les auteuers Kassa Bonaventure, Divassa Nyamat, Moudjiegou. Auguste Moussirou,MOUCKAGA Hugues , Jean Divassa Nyama, Magang-Ma-Mbuju Wisi et Mbumb Bwas Florent, Nding Dyatelm, Mbadinga-Moundounga Joseph, Monsard Yves, Nguimbi Bissielou
Préparez le bouillon riche en ajoutant les cocktails avec le reste de la viande et laissez mijoter pendant 3 heures. Filtrez le bouillon dans une casserole propre, remettez sur le feu et ajoutez le madère, la pâte de tomates et la quenellea. Laissez mijoter pendant 10 minutes, puis servez.
1/2 tasse de bouillon de bœuf riche
3 queues de bœuf, coupées en morceaux
11/2 cuillères à café de pâte de tomates4 cuillère à soupe de Madère
200 g de biscuits spéculoos (biscuits épicés hollandais)
80 g de beurre non salé ramolli
500 ml de lait de coco
100 g de riz long grain étuvé
3 c. à soupe de sucre
1 gousse de vanille
40 g de chocolat blanc
½ grenade
½ mangue
¼ d'ananas
Zeste de citron vert finement tranché
Petites fleurs comestibles, comme des fleurs de coriandre ou des pensées
PRÉPARATION
Écrasez les biscuits spéculoos dans un bol, ajoutez le beurre ramolli et mélangez bien. Presser le mélange de biscuits dans des cercles à tartelettes pour faire les bases. Réserver.
Mélanger la moitié du lait de coco dans une casserole avec le riz et le sucre. Fendre la gousse de vanille dans le sens de la longueur et gratter les graines dans la casserole, puis ajouter la gousse vide. Porter à ébullition, puis réduire le feu à doux et cuire en remuant constamment, jusqu'à ce que le riz ait absorbé tout le lait de coco. Ajouter progressivement le reste du lait de coco et cuire jusqu'à ce que les grains de riz soient pâteux.
Ajouter le chocolat blanc au riz chaud et remuer jusqu'à ce qu'il soit complètement fondu. Retirer la gousse de vanille et laisser refroidir.
Retirer les graines de la grenade. Peler et couper en dés la mangue et l'ananas. Mettre les graines de grenade et les fruits en dés dans un bol, ajouter le zeste de citron vert (en réservant un peu pour la décoration) et mélanger le tout.
Assembler le dessert comme un cheesecake en garnissant les bases de biscuits avec le riz à la noix de coco froid. Décorer avec les fruits en dés, le zeste de citron vert et quelques fleurs comestibles. Servir frais.
L'ASTUCE DU CHEF ANTO
Le riz au lait est appelé « sombi » au Sénégal et au Mali. Il peut être préparé avec du maïs. Vous pouvez également flamber les dés de fruits avec du rhum ou un autre alcool, ou les faire mariner avec de la cannelle, de l'anis étoilé ou d'autres épices. Ce dessert peut également être servi avec un coulis de fruits ou une sauce caramel ou chocolat.
Mélangez le sucre, le sucre vanillé et le jus de citron vert dans un bol et remuez jusqu'à ce que le sucre soit dissous. Ajoutez le lait évaporé.
Battre le mélange au batteur électrique pendant 20 minutes (il deviendra une mousse crémeuse). Incorporer le zeste de citron vert.
Versez le mélange dans une sorbetière ou un récipient et congelez pendant au moins 3 heures.
Servez la glace dans des bols, décorés de noix de coco grillée.
conseil du chef Anto
Pour un résultat optimal, faites tourner la mousse au citron vert dans une sorbetière avant de la congeler. Cela donnera à la glace un goût encore plus crémeux. Si vous n'avez pas de sucre vanillé, utilisez 1 cuillère à café d'extrait de vanille et 1 cuillère à café de sucre.
Préchauffer le four à 300°F (150°C). Tapisser un moule à cupcakes de caissettes
en papier.
Battre les œufs avec le sucre jusqu'à ce qu'ils blanchissent. Incorporer le beurre fondu, la vanille et la cannelle. Incorporer la farine de sorgho et le bicarbonate de soude.
Remplir à moitié les moules à cupcakes avec la pâte. Cuire au four pendant 15 minutes ou jusqu'à ce qu'ils soient dorés. Réserver pour refroidir.
Pour la ganache fouettée, chauffer la crème jusqu'à presque ébullition, puis retirer du feu. Ajouter le chocolat blanc et remuer jusqu'à ce qu'il soit complètement fondu. Laisser refroidir à température ambiante, puis placer au congélateur pendant 1 heure.
Fouettez la ganache froide au batteur électrique.
Glacez les cupcakes avec la ganache fouettée et saupoudrez de cacahuètes concassées.
LE CONSEIL DU CHEF ANTO
Le sorgho est une céréale riche en fibres et en protéines. C'est un aliment intelligent - il est bon pour les consommateurs en raison de ses qualités nutritionnelles, bon pour les producteurs en raison de son rendement élevé et bon pour la planète car il ne nécessite pas beaucoup d'eau pour pousser.
1/2 tasses (50 g) de garri (manioc fermenté, séché et moulu)
½ tasse (50 g) de farine tout usage
½ tasse (50 g) de pistaches africaines moulues (voir conseil p. 116) ou de citrouille crue graines
3½ c. à soupe (50 g) de beurre ramolli
1½ tasse (50 g) de sucre BRUNE clair
PRÉPARATION
Éplucher l'ananas et le couper en quartiers, dans le sens de la longueur, sans retirer le cœur.
Pour le caramel, éplucher le gingembre et le couper en fines lamelles. Fendre la gousse de vanille en deux dans le sens de la longueur et gratter les graines.
Verser le sucre dans une casserole à fond épais et cuire à feu moyen jusqu'à ce qu'il caramélise. Ajouter délicatement le beurre et remuer pour mélanger, puis retirer du feu. Ajouter la cannelle, les lamelles de gingembre, la star ante et la gousse de vanille et les graines, puis mélanger à nouveau. Ajouter le morceau d'ananas et cuire 10 minutes de chaque côté.
Déglacer le caramel avec le rhum et le flamber (en l'allumant délicatement) puis verser le jus d'ananas. Cuire à feu doux en retournant régulièrement les morceaux d'ananas pendant 45 minutes.
Préchauffer le four à 350°F (180°C). Chemisez un moule à pâtisserie de papier sulfurisé.
Pour réaliser le crumble, mélangez tous les ingrédients dans un saladier, étalez le mélange sur le moule à pâtisserie chemisé et enfournez pour 15 minutes. Laissez refroidir et réservez.
Répartissez le crumble dans les assiettes, puis déposez un morceau d'ananas chaud sur chacune d'elles et arrosez de caramel.
.gif)
.jpeg)
