Biologie

Science qui a pour objet l'étude de la matière vivante et des êtres vivants : reproduction (embryologie, génétique), habitat, environnement (écologie), comportement (éthologie).

Pour les punu, il existe deux livre , le livre de Dieu et le livres du travail de Dieu.

Molécules saines à partir d'aliments sains

 La cellule : unité du vivant  Dans la science de la physiologie les notions suivantes cellule, noyau, membrane que nous pouvons considérer comme étude première relève de l'arbitraire, c'est ainsi que noyau peut s'exprimer DURERI (pépin de la calebasse),
2-membrane MUSONI,
3. Protéine NYAME 
4.ADN est ILUNZI(Messager, car elle renferme nos informations).

Comme la notion de l’école est francisée en yipunu ikole,  le cytoplasme peut l'être également en Yipunu,  sitoplasè pour cytoplasme.


A) Des milliards de cellules qui coopèrent
  • dans le corps humain, il y a des milliards de cellules ; elles sont spécialisées dans différentes fonctions vitales
  • on dit que l’humain est un organisme pluricellulaire
  • les plantes vertes, animaux et champignons sont aussi des organismes pluricellulaires
  • dans un organisme, certaines cellules meurent et d’autres apparaissent par division cellulaire
  • tous les organismes pluricellulaires se construisent par divisions successives d’une toute première cellule : la cellule œuf

B) Une seule cellule pour vivre

  • certains êtres vivants microscopiques sont constitués d’une seule cellule ; ils sont unicellulaires et invisibles à l'œil nu
                  ex. : la paramécie, un animal unicellulaire qui vit dans l’eau croupie
  • l’unique cellule se charge de toutes les fonctions vitales (se nourrir, se déplacer, respirer, rejeter des déchets, se reproduire, etc.).

Cellule
Unité de structure et de vie des êtres vivants.

 Cytoplasme 
 Liquide transparent contenu dans une cellule.

Division
En se divisant, une cellule se multiplie. C’est ainsi que se forment les organismes pluricellulaires à partir d’une toute première cellule œuf.  

Membrane
Limite d’une cellule.

Noyau
Élément arrondi et dense contenu dans la cellule. Pluricellulaire

Chapitre 1 - La Terre abrite la vie

Chapitre 2 - Peuplement des milieux de vie : à la découverte des écosystèmes

Chapitre 3 - Matière et énergie : les besoins des êtres vivants - fiche de cours

CHAPITRE 4-Développement et cycle de vie des êtres vivants

Chapitre 8 - Alimentation humaine : besoins et productio

Chapitre 9 - Les micro-organismes et nos aliments


A) Des champignons microscopiques pour fabriquer du pain

  • pour faire du pain, on mélange de l’eau, de la farine et des levures vivantes (champignons microscopiques)
  • à température ambiante (20 à 25°C), la pâte à pain gonfle et les arômes se développent
    • explication : en se développant, les levures transforment les glucides de la farine (ex. : l’amidon) et fabriquent un gaz (le dioxyde de carbone) qui fait gonfler la pâte à pain
  • cette transformation biologique s’appelle la fermentation

B) Des bactéries dans le yaourt




  • pour faire du yaourt, on ajoute au lait plusieurs variétés de bactéries (ces êtres vivants microscopiques sont parfois appelés ferments lactiques)
  • chauffé à 45°C, le lait change de consistance (il devient crémeux ou solide) et développe un goût acide
    • explication : en se développant, les bactéries réalisent la fermentation lactique : elles transforment le sucre du lait en acide lactique
  • avantage : cela limite le développement d’autres micro-organismes, les produits laitiers fermentés se conservent donc plus longtemps





SVT 4ème > Chapitre 9 - Régimes et équilibre alimentaire Équilibrer ses repas
un repas bien équilibré doit contenir des glucides, des lipides, des protéines et des vitamines en bonnes proportions il faut mélanger des aliments provenant de groupes différents pour couvrir ses besoins qualitatifs pour nous aider à respecter ces proportions, des consignes nous sont données : manger 5 fruits et légumes par jour manger un aliment riche en protéines 1 à 2 fois par jour (viande, certains légumes, œufs) limiter les matières grasses la quantité d’énergie apportée par les aliments doit être équilibrée par rapport aux besoins énergétiques des activités effectuées : ce sont les besoins quantitatifs dans une journée où l’on consomme 12 000 kJ d’énergie par l’effort cérébral et les activités physiques, l’alimentation doit apporter environ 12 000 kJ un hamburger dans un fast-food couvre à lui seul 30 à 40 % des besoins quotidiens en énergie d’un adulte type

Les impacts des activités humaines sur l’environnement

L’impact du réchauffement climatique sur la biodiversité A) Des perturbations de la biodiversité les modifications rapides du climat liées aux activités humaines entrainent la migration des espèces et la disparition de beaucoup d’espèces qui ne parviennent pas à s’acclimater une des conséquences est la modification de la biodiversité B) Des mesures pour diminuer cette perturbation quelques exemples de mesures pour atténuer cette perturbation des milieux : limitation de notre consommation d’énergie développement des énergies renouvelables aménagement du territoire agriculture raisonnée parcs naturels sauvegarder les zones humides 2Les espèces envahissantes et la biodiversité locale A) Les espèces invasives (ou envahissantes) une espèce invasive est une espèce introduite dans un milieu, qui nuit à la biodiversité locale ex. : le moustique tigre, présent dans le sud de la France ex. : la renouée du Japon, une plante d’origine asiatique introduite en Europe au XIXe siècle et qui s’est répandue partout en Europe elles sont introduites accidentellement ou volontairement par les activités humaines hors de leur zone de répartition naturelle B) Les espèces envahissantes modifient l’écosystème ces plantes invasives entrent en compétition avec les espèces locales par différents moyens : en les empêchant de se nourrir ou de se reproduire en agissant en prédateur des mesures de lutte active et de surveillance des zones à risque permettent de limiter l’arrivée de nouvelles espèces invasives réglementation de l'import des espèces exotiques surveillance des populations invasives 3Le milieu marin et la surpêche A) La consommation de produits de la mer les ressources océaniques sont exploitées plus vite qu’elles ne se renouvellent : c’est la surpêche la surpêche a pour conséquence de diminuer la biodiversité, de perturber les chaines alimentaires et pourrait poser des problèmes pour nourrir l’humanité B) Des solutions sont envisagées des mesures visant à compenser ces effets négatifs existent : développement de l'aquaculture réglementation mondiale de la pêche (quotas de pêche) création de réserves maritimes protégées interdiction de la pêche en eau profonde SVT 3ème > Chapitre 9 - Des aliments aux nutriments - fiche de cours A) Les aliments et les nutriments les aliments sont composés de grosses molécules complexes formées par l’assemblage de nutriments (« briques » élémentaires) ex. : sucres simples, acides gras, acides aminés sont des nutriments ex. : glucides, lipides, protéines sont des molécules complexes contenues dans les aliments la digestion consiste à décomposer les aliments : les nutriments sont alors sous forme simple et absorbables au niveau de l'intestin ces nutriments, une fois absorbés, peuvent servir à construire de nouvelles molécules complexes impliquées dans le bon fonctionnement de l’organisme ou à produire de l’énergie B) Le rôle des sucs digestifs dans la digestion certains organes du tube digestif libèrent des substances appelées sucs digestifs : la bouche produit de la salive le foie produit de la bile l’estomac produit du suc gastrique le pancréas produit du suc pancréatique le gros intestin produit du suc intestinal ces sucs digestifs contiennent des molécules appelées enzymes qui décomposent les aliments en nutriments chaque enzyme peut décomposer un seul type d’aliment ex. : l’amylase décompose l’amidon qui est un glucide 2L’absorption des nutriments A) Seuls les nutriments sont absorbés la majorité de l’absorption a lieu au niveau de l’intestin grêle la paroi de l’intestin grêle n’est pas capable d’absorber les grosses molécules des aliments, elle n’absorbe que les nutriments : la digestion par les enzymes est donc indispensable B) La surface d’absorption de l’intestin grêle l’intestin grêle est un tube de 6 à 7 m de long et d'environ 4 cm de diamètre, replié sur lui-même la paroi intestinale est une surface d'échanges au travers de laquelle les nutriments passent facilement car : son épaisseur est faible (de l'ordre du millième de millimètre) sa surface est grande grâce à ses nombreux replis (supérieure à celle d'un terrain de tennis) elle contient de nombreux capillaires sanguins 3Le rôle du microbiote dans la digestion A) Les enzymes du microbiote intestinal les microorganismes vivant dans notre tube digestif (microbiote) libèrent elles également des enzymes les enzymes libérées par le microbiote sont beaucoup plus nombreuses et variées que celles libérées par les organes de notre tube digestif le microbiote participe donc beaucoup à la digestion chimique des aliments en nutriments B) Le rôle du microbiote dans l’absorption intestinale le microbiote facilite l’absorption intestinale des nutriments C) L’importance du microbiote pour le bon fonctionnement on observe des différences entre le microbiote d’un individu sain et celui d’un individu obèse des chercheurs essayent donc de lutter contre l’obésité en apportant des bactéries qui vont aller dans le tube digestif des malades il est possible d’ajouter des bactéries au microbiote d’un individu en prenant des probiotiques
CHAPITRE 10

La réponse immunitaire adaptative face aux infections

Les anticorps neutralisent les microorganismes A) Les anticorps sont produits par les lymphocytes B le sang contient des cellules (hématies et leucocytes) et du liquide (le sérum) les anticorps sont des molécules présentes dans le sérum et sont produits par une catégorie de leucocytes : les lymphocytes B chaque type de lymphocyte B ne produit qu’une seule forme d’anticorps après avoir rencontré le pathogène qui lui correspond B) Les anticorps neutralisent les microorganismes pathogènes les anticorps contenus dans le sérum neutralisent les microorganismes et favorisent leur phagocytose les anticorps se fixent à des molécules caractéristiques d’un microorganisme appelées antigènes chaque type d’anticorps reconnait spécifiquement un élément étranger caractérisé par son antigène C) Certaines maladies peuvent être soignées en utilisant des anticorps les anticorps sont très spécifiques de leur antigène (ils ne reconnaissent que leur antigène cible) et sont peu toxiques (ils n’agissent que sur leur microorganisme cible) ces caractéristiques en font des pistes de traitement intéressantes ex. : on tente de développer des traitements à base d'anticorps pour lutter contre les cancers 2Les lymphocytes et les phagocytes coopèrent A) L’élimination des cellules infectées par des lymphocytes les lymphocytes T, autres acteurs de la réponse adaptative, reconnaissent et éliminent les cellules de l’organisme qui sont infectées par un virus chaque type de lymphocyte T reconnait les cellules infectées par un seul type de microorganisme ex. : les lymphocytes T anti-grippe reconnaissent les cellules infectées par le virus de la grippe le Virus de l’Immunodéficience Humaine (VIH) infecte et détruit des lymphocytes T il est responsable du sida (Syndrome de l’ImmunoDéficience Acquise), maladie infectieuse affaiblissant le système immunitaire et qui peut causer la mort B) Les différentes réponses immunitaires la phagocytose est la première réponse du système immunitaire face à une infection, il s'agit d'une réponse rapide et non spécifique si elle ne suffit pas, une deuxième réponse se déclenche : la réponse adaptative la réponse adaptative est plus lente à se mettre en place C) La mémoire immunitaire une partie de ces lymphocytes reste en réserve dans l'organisme et peut rapidement agir contre ce pathogène plus tard : c'est la mémoire immunitaire 3La vaccination : un enjeu individuel et collectif A) Le principe de la vaccination au XVIIIe siècle, on a découvert qu’être exposé à un virus peu dangereux mais qui ressemble à un virus dangereux a un effet protecteur contre ce dernier : c’est le principe de la vaccination un vaccin contient un antigène : il déclenche une réponse immunitaire mais n’est pas dangereux lors de la vaccination, on produit des anticorps et des lymphocytes T contre cet antigène : si l’on rencontre cet antigène plus tard, la réponse immunitaire adaptative est plus forte et plus rapide (mémoire immunitaire) B) L’efficacité de la vaccination les campagnes de vaccination permettent de réduire considérablement le nombre de personnes atteintes par des maladies infectieuses si le nombre de personnes vaccinées pour une maladie est très élevé, il est possible d’éradiquer cette maladie : on ne se vaccine donc pas seulement pour soi mais aussi pour toute la société C) La conception d’un vaccin pour être utilisé, un vaccin doit protéger de la maladie sans la provoquer CHAPITRE 1 L'organisme pluricellulaire, un ensemble de cellules spéc... 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 2 L'ADN 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 3 Le métabolisme des cellules 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 4 Les échelles de la biodiversité 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 5 La biodiversité change au cours du temps 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 6 L'évolution de la biodiversité au cours du temps s'expliq... 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 7 Communication intra-spécifique et sélection sexuelle 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 8 Structure et fonctionnement des agrosystèmes 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 9 L'importance des sols dans la production de biomasse 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 10 Vers une gestion durable des agrosystèmes 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 11 L'érosion, processus et conséquences 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 12 Sédimentation et milieux de sédimentation 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 13 Érosion et activité humaine 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 14 Corps d’homme, corps de femme : de la fécondation à la pu... 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 15 Cerveau, plaisir, sexualité 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 16 Hormones et reproduction humaine 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 17 Agents pathogènes et épidémies mondiales 0 minute 0 0 pts CHAPITRE 18 Microbiote humain et santé

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