Jun 30, 2022

Gibier

Gibelotte de lapin
Lapin au lard fumé
Palombe à la ficelle
Lapin flambé au cognac
Lapin asauté able de la rivière sux poivres Lièvre à la royale

Boeufs légumes

Côte de veau grand mère
Cotelette au chip d' ails
Gigot aux Hari ch ots tarbais
Haricots mouton
Ragoût de mouton
Épaule farcie
Le couscous farcie
La rôtie de coconut tout simple
Filet de coconut à la dijonaise
Carré de cochon en cocotte
Côté Auvergne
Côtée vendéene
Pètit salée as usual lentilles
kig ha fars
Palette fumée su rapport
Côte de cochon charcutière
Surkrüt

Salades

 Salades de champignons 

 Salades de champignons crue a la citronelle

 Salades de champignons sauce yaourt citronné

 Salades de champignons mozza et fumees

coeur de saumon marinée et salade aux champignons pomme de terre

Simple salade de champignon thym citron en trois façon

salade aux champignon aux tofu

Salade aux champignons aux amandes et aux fines herbes

Poulet à la crème au champignons

Queux a la creme aux cwhampignon

Animeaux sauvages

Tableau 12 : Synthèse sur les caractéristiques des animaux sauvages
Animaux
Caractéristiques
Chasse
Eléphant
Haute hiérarchie, roi de la forêt, force
Difficile
Tortue

Sagesse, intelligence, malice

Facile
Panthère
Puissance, force, brutalité, souplesse, agilité, bonne aptitude à la chasse ; gourmandise
Difficile
Ratel
Dangereux, féroce, têtu
Difficile (rare et dangereux)
Céphalophe bleu
Malice et intelligence
Facile
Buffle
Roi des animaux à sabot
Difficile
Python
Roi des serpents
?
Aigle
Roi des oiseaux
?
Crocodile
Roi des reptiles
Relativement facile
Bongo
Beauté
Facile mais devient rare
I.2 Connaissances empiriques sur la faune
L'observation de la faune joue un rôle fondamental dans la tradition africaine. D'une façon globale, les Bakota ont de bonnes connaissances empiriques sur la faune sauvage qui les entoure. Ces connaissances sont acquises tout au long de la vie à travers l'apprentissage (fréquentation de la forêt et des plantations) mais aussi grâce aux contes. Ces derniers peuvent fournir des éléments sur les comportements et l'alimentation des animaux.
Dans le conte n°4, par exemple, on trouve quelques renseignements sur une partie de l'alimentation des animaux cités : l'Eléphant aime les fruits du moabi (baillonella toxisperma) ; le Céphalophe de Peters a un faible pour les atangas ; le Chat doré pour le charbon de bois ; la Nandinie et la Genette aiment les bananes et pour la Tortue et le Céphalophe bleu se sont les champignons. En se renseignant, on se rend compte que ces données sont correctes même pour la Nandinie et la Genette58(*), que l'on classe dans les carnivores, mais qui sont en vérité plus ou moins omnivores, car elles mangent aussi des fruits.
Beaucoup de contes mettent en scène la Panthère souvent reconnue pour ses qualités de chasseuses (conte n°3), son goût prononcé pour la viande et plus particulièrement pour le gros gibier.
A travers les contes, les populations essayent également de s'expliquer le monde et son organisation. En ce qui concerne la faune sauvage, on apprend la conception locale des regroupements ou des séparations d'espèces, pourquoi un tel vit dans les arbres et un autre, qui lui ressemble, au sol etc. C'est le cas notamment de la Panthère et de la Genette dans le conte n°2 qui explique pourquoi la Panthère vit au sol et que de tant en tant elle monte aux arbres, là où la genette vit la majeure partie de son temps. Dans d'autres contes (que je n'ai pas retranscrit) on apprend pourquoi le Gorille ne vit plus en bande avec le Chimpanzé ou pourquoi la Mangouste des marais vit près de l'eau et ne mange que du poisson et non pas de la viande. Bien sur, ce qui importe dans ces récits ce n'est pas seulement l'explication imagée donnée mais l'information finale qui s'en échappe.
Pour ma part, lors de mes entretiens, j'ai posé quelques questions sur les connaissances empiriques que les hommes Bakota pouvaient avoir sur les animaux tachetés. Il est clair que, contrairement à la majorité des populations ouest-africaines, celles des forêts tropicales ont des connaissances plus approfondies sur la faune. Ceci s'explique sans doute par le fait que la faune est encore très présente dans cette zone tropicale du bassin du Congo. De plus, en Afrique de l'Ouest les chasseurs faisaient partis d'une caste spécifique très fermée qui empêchait que les savoirs empiriques sur la faune soient partagés par l'ensemble de la communauté.
La plupart des hommes Bakota connaissent l'alimentation des animaux tachetés59(*), leur comportement nocturne et solitaire, les lieux où ils dorment et le nombre approximatif de bébés par portée. Ils ne savent pas les périodes de mise bas, mais ceci s'explique par le fait que dans les régions tropicales, il n'y a pas réellement de saison spécifique pour les amours, contrairement aux régions tempérées. La plupart des mammifères peuvent donc mettre bas tout au long de l'année.
Si le caractère solitaire est connu des hommes Bakota, il se concentre sur les périodes de chasse de ces animaux. En effet, pour eux, la femelle et le mâle chassent chacun de leur côté, mais le soir, ils se retrouvent dans leur « logis » avec les enfants, or, ce n'est pas le cas dans la nature. Je pense, hormis le fait que ces animaux soient toujours en couple dans la tradition orale, qu'il s'agit là d'une vision sociale du mariage et du célibat dans la société Bakota, plus qu'une croyance en ces contes. Le célibat chez les hommes (encore plus que chez les femmes) est très mal vu et assez mal vécu, d'autant plus que ce phénomène s'accentue à cause de la flambée des coûts de la dot. Il est donc inconcevable pour eux qu'un homme puisse vivre sans femme et ceci même dans le règne animal.
Enfin, les connaissances sur le monde qui entoure l'Homme peuvent être acquises par l'étude de l'univers animal. Ainsi, l'animal peut être l'intermédiaire entre l'Homme et la nature. Beaucoup de peuples africains ont en effet appris depuis longtemps à utiliser la faune comme source d'informations sur leur environnement. Les oiseaux sont notamment beaucoup utilisés de cette manière. Chez les Boran du nord Kenya, les cris aigus du pique-boeuf signifient qu'un gros animal est proche, quant à l'oiseau indicateur, il est un signe infaillible pour qui veut trouver du miel (Isack cité par Chardonnet et al, 1995). Chez nos Bakota, l'arrivée des cigognes60(*) annonce le début de la petite saison sèche qui précède la grande saison des pluies. Une étude plus approfondie sur ce thème serait fort intéressante, en particulier dans le domaine de la chasse.
I.3 Classification locale de la faune sauvage
Bien que la classification des animaux chez les Bakota ressemble à la classification occidentale linnéenne, elle n'est pas basée sur les mêmes critères. La première est essentiellement basée sur les ressemblances physiques et comportementales, ce dernier critère ne rentrant pas dans la seconde classification. Comme pour le reste, on retrouve des éléments d'explication de cette classification, dans certains contes. Je tiens à préciser que la classification qui suit n'est pas exhaustive.
· Les animaux carnivores à griffes 
La plupart des carnivores sont regroupés ensembles et ils font tous partie de la famille de la Panthère. Leurs caractéristiques en commun sont les griffes (critère de base) et leur alimentation à base de viande, même si les fruits et le miel interviennent parfois. Les animaux à la robe tachetée sont considérés comme étant les frères de Ngoye la Panthère, les autres étant leurs cousins.
Famille de Ngoye : la Panthère ; les genettes servaline et tigrine ; la Poiane centrafricaine ; la Civette ; le Chat doré ; la Nandinie ; le Ratel ; les mangoustes et les loutres.
Seule la mangouste des marais61(*) a une place à part dans cette famille, tout en en faisant partie, car elle reste près de l'eau et mange du poisson et non de la viande. Cette séparation est expliquée dans un conte.
· Les animaux à main 
Les singes sont tous regroupés ensembles car ils se ressemblent et ont tous des mains. Les Bakota les distinguent quand même en deux sous-groupes : le premier est celui des singes qui vivent dans les arbres avec une queue, il s'agit de la Famille de Kaku qui comprend le Hocheur ; le Mangabey à joues grises ; le Cercopithèque de Brazza ; le Cercopithèque pogonias ; le Moustac ; le Colobe guereza ; le Colobe noir62(*) ; le Miopithèque de l'Ogooué ; le second regroupe les singes vivant principalement au sol et qui ne possèdent pas de queue, il s'agit de la Famille de Djia avec le Gorille, le Chimpanzé ; le Mandrill.
Je tiens également à signaler que certains de mes interlocuteurs m'ont parlé d'un petit singe Maïko qui se déplacerait toujours avec les chimpanzés mais je n'ai pas pu l'identifier.
Les Galagos et les Pottos sont regroupés dans la même famille. Je n'ai pas pu identifier tous les galagos présents dans la région, mais selon mes notes, les animaux appartenant à cette famille sont : le Potto de Bosman ; les galagos de Garnett, d'Allen et mignon du sud.
· Les animaux à sabot 
Les petites antilopes sont regroupées dans deux familles : la Famille de Zibo avec le Céphalophe à dos jaune, le Céphalophe bai, le Céphalophe de Peters, le Céphalophe à ventre blanc, le Céphalophe à front noir et le Sitatunga ; et la Famille de Héli avec le Céphalophe bleu et l'Antilope de Bates. Les herbivores de gros port avec des cornes font partie de la Famille d'Ezona avec le Bongo et le Buffle. Une dernière famille est la Famille Ekundé avec l'Oryctérope, le Potamochère et l'Hylochère (se sont tous des fouisseurs).
· Les pachydermes 
Les Bakota regroupent ensemble l'Eléphant et l'Hippopotame (qu'ils nomment éléphant de rivière), dans la famille de Zoku. Ceci est dû à la grosseur de ces animaux qui ont une peau épaisse et des empreintes semblables.
· Les reptiles 
Chez les reptiles ont a deux familles : la Famille de Ntotché avec le Crocodile nain ; le Crocidure ; le Faux gavial et le Varan ; et la Famille des Tadji (pl. Batadji) qui regroupe tous les serpents dont les plus connus sont  le Mamba noir ; le Mamba vert ; la Vipère du Gabon et le Python.
Les autres grandes familles d'animaux sont celles des Oiseaux Bonodji dont le chef est l'Aigle mbéla ; des chauves-souris indémé et des écureuils dont les plus communs sont l'Ecureuil nain bwandamwéli et les finisciures rayés hendé et à pattes rouge éboko.
Il existe aussi des animaux qui ne rentrent pas dans une catégorie spécifique soit parce qu'ils peuvent vivre dans des milieux différents, soit parce qu'ils ont des caractéristiques de plusieurs catégories. C'est le cas pour la Tortue, à la fois terrestre et aquatique, du Pangolin qui a des griffes (aux pattes avant mais pas aux pattes arrières) sans être un carnivore et aussi du Daman des arbres qui vit dans les arbres sans avoir de queue, ni de main.
Nous pouvons conclure de cette classification que les Bakota organisent le monde dans lequel ils vivent en basant leur logique classificatoire sur des connaissances approfondies des qualités biologiques et comportementales des animaux.

I.4 Vie Quotidienne et éthique sociale

I.4.1 Evènements importants dans la vie d'un Bakota

La mise en situation des contes met en valeur les pratiques et les évènements importants dans la vie du Bakota. C'est pourquoi, la majorité des contes se déroulent :  
1) lors d'une partie de chasse collective au filet, au campement ou au piége (contes n° 1, 2 , 3) 
2) lors de partie de pêche (conte n°7)
3) lors d'un mariage ou plus exactement lors de la dot de la future mariée (conte n°6) 
4) lors d'une naissance (conte n°1) 
5) lors des circoncisions (conte n°5)
Nous remarquons que tous ces contes se situent dans un contexte traditionnel, où la modernité est absente. Nous pouvons aussi dire que les contes, et sans doute toute la littérature orale, sont à la fois vecteur mais aussi mémoire de traditions qui ont à l'heure actuelle disparu. C'est le cas par exemple de la chasse aux filets, les pièges à fosse ou encore les dots où la viande de brousse a été remplacée par l'argent.
I.4.2 L'éthique sociale
Les contes, comme les proverbes, sont vecteur d'une morale socialement admise par l'ensemble de la société. Comme me le disait un vieux Mahongwé de Zadindoué, « Les contes sont des enseignements qui nous disent comment nous comporter », que cela soit lors de la vie quotidienne ou lors d'événements particuliers. Ils nous permettent de mieux comprendre les problèmes que la société et la vie posent aux membres de la communauté qui les produits. Les solutions proposées à ces problèmes sont soumises au jugement des membres du clan, jugement de la société sur elle-même. Ainsi « les contes sont des témoins de l'intérieur, non des observateurs étrangers » (Lacoste-Dujardin, cité par Chardonnet et al, 1995).
Je ne vais pas m'appesantir sur ce sujet, qui n'est pas l'objet central de ma recherche. J'ai tout de même souhaité mettre en avant la notion de partage qui semble être très importante pour les Bakota, car elle se retrouve dans à peu près tous les contes. En effet, nous voyons que dans les contes n° 1, 2, 3 et 6 le fait de ne pas partager le gibier chassé est stigmatisé. Il est mal vu qu'un chasseur chanceux ne partage pas ses proies avec les autres membres de sa communauté.
Ceci est assez commun dans les sociétés forestières où l'égalité entre ses membres est maintenue principalement par le « nivellement » : qui cherche à changer de statut, à profiter d'une position de dominance politique ou sociale, ou à vouloir s'enrichir au détriment des autres membres de sa communauté, est très rapidement ramené, par le groupe, à un comportement plus modeste, par la critique, l'ostracisme, voire la sorcellerie.
Chez les Baka du Sud-Est Cameroun, Christian Leclerc (2001) explique aussi cette notion de partage à travers l'étude des contes et des mythes de cette ethnie. On y découvre une ambivalente duplicité chez les Esprits qui peuplent la forêt, notamment Kosè, esprits d'approvisionnement mais aussi esprit du sorcier à l'origine de la jalousie. Kosè veut que tous soient égaux, c'est-à-dire que les ressources dont il permet l'accès soient partagées entre tous, et il n'est satisfait que lorsque toute la communauté dispose de nourriture, sans quoi la jalousie survient (Leclerc, 2001 : 295).
Je n'ai pas connaissance d'un Esprit tel que Kosè chez les Bakota. Par contre, il existe bien le « sorcier jaloux » mais qui, là, est un homme et non un Esprit. En fait, il s'agit de sorciers malfaisants et jaloux possédant donc de bonnes connaissances en sorcellerie et qui ont le pouvoir de se métamorphoser en n'importe quel animal pour attaquer ses victimes en pleine nuit. Les Bakota nomment ces sorciers, que personne ne connaît, les « Vampireux » et c'est sur eux (ou en tout cas la peur qu'ils suscitent) que repose l'équilibre social du groupe, car bien que tous les craignent, ils sont les garants de l'équité sociale entre tous les villageois.

Sautés d'epinards

  • 750g de crevettes
  • 3 paquets d’épinards surgelé ( environ 900g)
  • 750g de champignons noirs
  • 1 1/2  tomate coupé en dés
  • 2 c.a.s d’ail haché
  • 1 c.a.s de gingembre
  • 3 c.a.s d’huile d’olive
  • 1/2 tasse d’eau
  • Sel
  • Poivre
DIRECTIONS
  • Faire chauffer l’huile dans une poêle à feu moyen-fort , ajouter l’ail et le gingembre. Faire cuire 2 minutes.
  • Ajouter les crevettes , saler , poivrer ,  faire cuire le tout jusqu’à ce que les crevettes soient cuites.
  • Ajouter les épinards, la tomate et l’eau.
  • Faire cuire 5  à 10 minutes.

Jun 28, 2022

Brochette de poissons


 

Gateau


 

Gateau à l' orange

 


Tarte à l' ananas


 

Gateau aux cérises


 

Mél9n


 

Gateau chocoat


 

Tasses de chocolat


 

Gateau au chocolat


 

Gateau Banane


 

Bannanes

 


Bananes grillées


 

Tarte au pomme

 


Omelette suprise


 

Sorbet goyave


 

Gateau aux rhum


 

Patat douce chips


*

 

Gateaux


 

Gateaux à la banane


 

Donuts


 

Beignets


 

Petits fours


 

Ecorces


 

Tarte blanche


 

Tarte au chocolat


 

Tarte au pomme

 


Flan


 

Gateau


 

Buge


 

Tarte de mangue

 


Gigot de mouton

 


Epices

 


Mouton dans un rouge curry


 

Gigots de mouton

 




Cotis dos du bébé agneau

 


Brochette de moutons

 


Brochettes de poissons et viandes


 

Brochettes de poissons

 


Soupe de manioc

 


Tapioca à la mangue

 


Gâteau aux pruneaux

 


Papillote de calibeaud

 Papillote de calibaud banane plantin, riz à l' eau de coco et sa marinade.



Divogni di pinde

 


Paquet d' arachide avec crevette

 


Paquet de concombre sauvage

 


Liste des recettes en yipunu


APPÉRITIFS

-Musulu Malobi na Pinda

-Bapinde  ba gumughe

PLATS

-Tsari tsi nduli na bukulu mughube mu yambe ngatsi

Mu yambe ghi ngatsi

Tsari na bukulu na niame tsi ghumughe

Dusambu mu bolong

Nyame Isub ji gumuge

yisubu yi ngatsi na matuka

Koku mu teri

Diumbe du tsombi

Moubodi na nyame dissimu dji gumughe

Salade madame dominico

Les paquets, miumbe ou magébu 

  • divonyu di téri na bikundu: le parquet de courges aux carpes à l’étouffée.
  • mutoru bangole: le paquet de silures à l’étouffée.
  • diumbu di tsombi: le paquet des larves de palmiers à l’étouffée.
  • mutoru bukundu na mudike: Le paquet de carpe à l'odika à l’étouffée. 
  •  diumbe di téri na ba nyame ba gumuge: le paquet de courges à la viande fumée.
  • bukulu bu ilotu 
  • ilotu c'est une espèce d'oseille à grandes feuilles qu' on utilise souvent avec tsari tsi minèke mu yambe y ngatsi ou mélanger aux feuilles de taros et les ngola fumés
    • musulu malobi na pind
  • diumbe di téri na ba nyame ba goumoughe
  • moubodi na nyame dissimu dji gumughe
  • mpoghe na mougoube na ba ngotous ba goumoughe
  • ngotou mu diumbe di moudike na mwa boukoulou
  • ngoumbe dji goumoughe mou moudike
  • dissambu na mbologou mu matsi ( poisson salé aux aubergines)
  • koku dimbu mu mudike (le coq de basse court au chocolat "indigène")
  • ngumbe gumughe mu téri (le porc épic fumé aux concombres)
  • tsari tsi nduli na bukulu na mughube mu yambe ghi ngatsi (petites aubergines amères melangées à l'oseille, aux feuilles de tarots au gniemboué) ...
  • Mbome ghumughe mu yambe y ngatsi ( python fumé au gniemboué du gabon)
  • Le machoiron au paquet
  • Le silure au paquet!
  • Téri au poisson fumé aussi , c'est mon plat préféré , quand c'est au paquet cela devient le cordon culinaire entre maman et moi
  • Le bouillon des viscères (intestins) dji tsiesi ou antilope !
  • La peau de l'éléphant pour calmer la faim des enfants !
  • Tsombi (verres à soies) , c'est une denrée rare sa c'est le caviar punu !
  • le yara au paquet !
  • Purée de malobi aux arachides !
    Pangolin a la sauce tomate aux champignons
  • Le pangolin au téri na ditouk di ma langue super
  • Paquets de poisons les petite tomates !
  • La pintade à l'arrachide ! na malobi !ou na téri !
  • Toucan aux nyemboue na ditouke
  • L'oseille avec les aubergines na malobi
  • Poissons sales aux aubergines toujours avec la banana? plutôt verte et un peu mure !
  • Les petites bananes douces dessert
  • Avocat na dilangue !
  • Pâte d'atanga au manioc
    Goyave , mitsoutsibali,
  • La salade de cœur de palmier !
    Les noisettes de brousses (mugumunu)
  • Tsiési dji ghoku
  • Bangoumbe na Majagh
  • Ba niam ba disimu/Ba niam ba mamb na matsi ma ngatsi
  • Musulu malobi na bapindaNgotu na téri, Dituk di mupal
  • Tsari na mipal mi miss
  • Ntsuntsu bal na mwa misungu
  • Tsibisti na ba timb na dunungu du tsoli
  • Poitrine fumé de sanglier
  • bangotu frites et enrobés de jambon de colombe.
  • Poêlée de fusil de chasse.


  • Que du bonheur et c'est loin de finir !avec cela l’hôtel na pas besoin d’étoiles mais de muetse (la lune)

DESSERTS

Tarte na makonzi ,na makoke

Crêpe molvinoises

Malolu

Mavoke

Tsafu

VINS : MALAMU

dingibe

ikumbu

musungu

malamu ma julu

malamu ma milunde

Les secrets de la cuisine punu

 


Les premiers plats punu étaient essentiellement à base d'ignames et de taros. Les pnuu pratiquaient la cueillette, l’agriculture, la pêche et la chasse.


Les ignames
 Il y avait différentes sortes d'ignames , le pumbu et le bungungu étaient des espèces douces et très tendres, tandis que le mutaka présente des caractéristiques très durs à la cuisson.

Les ignames jaunes offres trois caractéristiques différentes : igombi à l’arrière goût amer, pugu qui est aussi tendre que divandi à la particularité d'être sucrée.

Enfin l'igname violette renferme deux variétés de nature douce: iliti et disogu. Mais les ignames violettes punu étaient des aliments secondaires.

Le taro
Les différentes variétés des taros sont :  le taro rouge  kire, le taro blanc: dilang ndibe, ou encore gonge et cange de moins en moins en usage dans l'alimentation punu, enfin le taro violet caractérisé par deux variétés : ibumine et mudangui qui sont en voie de disparition.

La banane
Les differents termes de la variété des bananes sont: didungu, bakemulembu et biri, isieluku, tabe, cas-lange et ireyi.

Le manioc

Les différentes variétés de manioc sont: munyeru, usavu, mutombi, simbu, mombu, dipandu, kwate, ditadi de saveur douce et kunge, ndombi et ibambe se distingue par leur saveur amère.

Les cultures de cases

Ilungu patate douce et pinde arachide sont des cultures qui se plantent autour des cases. Il y avait aussi les  bukulu, musungu, aubergines mbolongo, piments nungu.

Les fruits

 Mivugu,  miduka, kube sont ramassés tandis que migiembi et kasu recevaient des traitements spéciaux car leurs amendes étaient seulement consommés.

Les feuilles

Les feuilles naturels qui entraient dans la consommation des mets sont : durere (Rhektophyllum mirabile N.E.Br.) et de certains fougères. Les feuilles de bukulu bu dijombi.(begonia ariluata h.). La poudre extraites à partir des feuilles de itumbu (pistia stratiotes)  séchées et insérées servaient à relever les gouts en guise de sel avant l'introduction de sel de cuisine. A ces feuilles il faut ajouter la cueillette des champignons par les hommes et les femmes tout le long de l’année.  
Les espèces sont variées : masabe, mugungu, busili, tambale, cinde, ngungu tous ses produits à 90% participaient à la composition des sauces et soupes punu.

A la saison des pluies les hommes comme les femmes cueillaient diverses espèces de safoutier (pacilobus eduli G. son): cafu et masigu n(pacolubus guillaume)mangange, 
Tous ses produits de cueillettes avaient une place importante dans le régime alimentaire punu, et enrichissaient le régime de l’alimentation punu..

Les viandes.
Les punu vivaient en harmonie avec leur environnement ils n’étaient  pas des grands consommateurs de gibier. Ils vivaient de leur pêches, chasses en harmonie avec la nature.

Liste des desserts et pâtisserie punu

Gateau begnets
Glace de papaye à la mangue
Glace d'oranges
Oranges en surprises
Fruit de la passion aux piments
Tarte Tchibangaise
Purée de taro à la briarde
papaye à la vanille
papaye meringuée
papaye flambée

orange à la crème Bananes aux pistaches
brioches
Gâteaux au beurre aux baies et à la crème fraich