Sondage: parlez vous yipunu?

Sondage: parlez vous yipunu, répondez à la question à votre droite.....Merci.

Structrures associatives

Il faut encourager ce genre de structures associatives.......Si vous êtes une associations ou ONG œuvrant pour le développement durable, voici mon émail, mujabitsi@hotmail.com

Association Muyissi
MOUILA (AGP) – L’Organisation non gouvernementale « Muyissi » a organisé samedi à Mouila (sud), une opération de lutte contre l’insalubrité, procédant au nettoyage du marché central de la localité avec le soutien des clubs environnementaux de quelques établissements scolaires.

Munis des pelles, râteaux, machettes et brouettes, les membres de « Muyissi environnement » et les jeunes des établissements secondaires, notamment ceux de la coopérative du collège Saint Gabriel et lycée public Jean-Jacques Boucavel (LPJJB) se sont déployés dans tout le marché situé dans le premier arrondissement, se débarrassant des ordures, mauvaises herbes, de nombreux sachets et autres détritus à l’origine de l’insalubrité.

L’opération a été conduite par le secrétaire général de « Muyissi environnement », Jean Christophe Mbina. Au cours de cette opération, il a sensibilisé les commerçants de ce plus grand marché de la ville sur l’état d’insalubrité qui s’y installe chaque jour. ’’L’insalubrité est une affaire de tous, nous devons mener des actions de lutte communes’’.

Cependant, si les commerçants ont salué cette action à laquelle les a déjà habitués cette jeune ONG, ils ont dit regretter le manque d’action hebdomadaire de la part de la municipalité concernant le nettoyage dudit marché. Alors que depuis deux ans, l’ONG « Muyissi environnement » interpelle les autorités municipales sur le ramassage des ordures dans les marchés de la commune et leur entretien.

En revanche, « Muyissi » souhaite que le premier magistrat de la ville, Christian Kombila Kombila trouve un endroit approprié pour recevoir la décharge publique qui, jusqu’à ce jour, n’est pas encore déterminée. Malgré la nonchalance de la municipalité, le maire de la ville a motivé les membres de « Muyissi » en leur offrant des sandwiches et rafraîchissements après l’opération d’insalubrité.

’’C’est notre modeste participation, mais à l’avenir, je vous promets une meilleure collaboration’’, a déclaré le maire Kombila Kombila.

Créée en 2008, « Muyissi environnement » est une ONG locale qui milite pour la préservation de la nature, l’écotourisme et la lutte contre l’insalubrité. Chaque année, cette jeune structure qui vient d’obtenir son récépissé (en avril dernier) mène plusieurs actions autant à Mouila que dans quelques autres localités de la province.

LDN/JPM/IM

Nzale Dimbu
06/06/2010
NDENDE (AGP) – La fin de l’année scolaire au lycée Paul-Marie Yembit de Ndendé a été couronnée samedi dernier par la remise des prix offerts par l’ONG « Nzale Dimbu », amour du village en langue Ipunu, parlée dans le sud du Gabon aux meilleurs élèves dudit établissement en présence des autorités locales, notamment le préfet du département de la Dola, Delphin Mouity Yembit, du maire de la commune, Dieudonné Ibiatsi (ancien élève du lycée) et des parents d’élèves.

C’est environ plus de deux cents lots qui ont été distribués au cours de cette cérémonie organisée dans l’enceinte du lycée. Les prix d’excellence ont été obtenus par une vingtaine d’élèves de la 6ème en 2nde.

Le premier prix d’excellence est revenu à l’élève de 5ème, Jospin Mabicka Mabicka, avec une moyenne annuelle de 14,33, suivi de Brel Mongo Assiana de la classe de 6ème avec 13,71 et en troisième position l’élève Florian Césaire Ibouili de la classe de 4ème avec 13,65.

Outre les prix de l’excellence, une vingtaine de prix d’honneur ont été également distribués, ajoutés aux récompenses dans chaque matière. Avant la remise de ces distinctions, deux allocutions ont été prononcées, celles du proviseur et du président de l’ONG « Nzale Dimbu ».
Le proviseur, Ernest Pambou s’est dit satisfait du geste et a encouragé les membres de cette jeune ONG à continuer d’œuvrer dans cette voix. Aussi, en a-t-il profité pour lancer un appel à l’endroit des élèves d’être reconnaissants des actes posés par les membres de « Nzale Dimbu », composés essentiellement des anciens élèves du lycée et fils originaires de Ndendé.
’’C’est louable ce qu’ils font et je vous invite à suivre leurs pas pour que demain vous en fassiez autant’’, a-t-il dit.

Pour sa part, le président de « Nzale Dimbu », tout en remerciant le proviseur et les autorités locales pour leur accueil, a adressé des sages conseils aux élèves qu’il a invités à plus de travail, de concentration dans les études, mais aussi à mieux respecter les parents, aimer, aider dans la mesure du possible.

’’Vous êtes l’élite et l’espoir de demain. Ne vous laissez pas distraire par la boisson, la cigarette qui causent les maladies, mais consacrez l’essentiel de votre temps à des activités saines tels que le sport, la lecture ou la pêche’’, a-t-il ajouté.
Jean Claude Kombila, également enseignant au département d’Etudes ibériques à l’Université Omar Bongo s’est engagé, au nom de l’ONG, à répondre toujours aux sollicitations de ceux qui ont la volonté de réussir, c'est-à-dire de ceux qui fournissent des efforts.

’’Nous envisageons organiser un soutien pédagogique en faveur des classes d’examen. Si nous parvenons à trouver les moyens, nous pourrons apporter notre contribution dans l’équipement de la bibliothèque du lycée’’, a-t-il promis, dans le cadre des perspectives des actions inscrites à leur programme.
Pour ces vacances déjà entamées, l’organisation de deux opérations « Ville propre », afin de contribuer à rendre salubre la ville de Ndendé a été soulignée, la mairie ne pouvant assurer l’entretien des artères seule. De même, l’idée de l’organisation d’une coupe de football en mémoire à un ancien de cette discipline, Mihindou alias « Zizi » décédé depuis pratiquement un an (a été l’un des plus grands footballeurs de sa génération que Ndendé ait connu) a été retenue.

’’C’est notre façon à nous de rendre hommage à un homme ayant porté haut le flambeau de notre département, notre province, voire de notre pays’’, a-t-il conclu.
Les parents présents au cours de cette cérémonie n’ont pas manqué d’adresser leurs félicitations aux initiateurs de cette œuvre et les ont encouragés à étendre leurs actions sur d’autres activités.

Quant aux élèves récompensés, ils ont marqué leur gratitude et promis de gagner d’autres prix l’année prochaine.

L’ONG « Nzale Dimbu » est une structure apolitique militant pour le regroupement de toutes les personnes de bonne volonté exerçant une activité à même de contribuer au rayonnement de la ville de Ndendé et des villages de son département, selon ses promoteurs satisfaits de cette première descente dans la ville de leur enfance.

LDN/JPM/IM
21/06/2010

Dibure-Ngudji

L’Association « Dibure-Ngudji », structure à caractère humanitaire et agricole de la Commune de Tchibanga (sud-ouest) a fêté samedi dernier ses 7 ans d’existence. Le président de cette association à caractère humanitaire et agricole de la Nyanga, Jean François Koumba Mabicka, a fait le bilan des actions menées sur le terrain avec les 195 membres [...]


Parcs Nationaux
Les acteurs de la conservation des parcs nationaux, notamment ceux de Waka et des Monts Birougou ont assisté jeudi à l’ouverture par le directeur technique de l’Agence nationale des parcs nationaux, John Michael Fay, à un atelier portant sur la mise en place d’un Plan de travail annuel (PTA) des Parcs nationaux, rapporte l’Agence de presse gabonaise (AGP).

Collectif d'associations Ngounie.

Après deux jours de travaux (du 3 au 4 avril 2009),les Journées de la Société Civile (JSC)organisées par le Programme de renforcement des acteurs non Etatiques(PROGREANE), antenne provinciale de la Ngounié, à Mouila (sus)ont adopté samedi une recommandation appelant les autorités locales à faire légaliser les Associations et ONG à partir des Préfecture ou du Gouvernorat. « Conscients de l’apport de la Société Civile dans le développement du pays et vu la nécessité de se mettre en réseau », les participants ont mis en place « une plateforme légale des Associations et ONG pour faciliter les échanges et instaurer un dialogue permanent dans la province de la Ngounié ».
« Mais pour cela, il faut que des facilités soient accordées aux initiateurs d’associations notamment leur légalisation sur place », a rappeler le représentant de PROGREANE, également élu président du conseil d’administration du bureau de l’antenne provinciale de la plate forme des associations et ONG de la Ngounié qui compte en son sein une coordonnatrice, un secrétaire général et son adjointe, une trésorière et son adjointe et une chargée des activités.

Agriculture
Une équipe de consultations multidisciplinaires en matière de sécurité alimentaire conduite par le Coordonnateur national adjoint du Programme spécial pour la sécurité alimentaire au Gabon (PNSA-PSSA), M Voga Moudoubou a tenu des séances de travail samedi et lundi avec les représentants des élus locaux, ainsi que ceux des associations à vocation agricole, pour constituer un document qui reflète des informations sur les nouvelles zones productives et activités à intégrer dans le PNSA.
L’Etat gabonais par le truchement de son ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et du Développement rural, s’est associé aux partenaires du développement, à savoir l’Organisation des Nations unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO) et, dans le cadre de la coopération Sud Sud, la République populaire de Chine, pour faire avancer ce vaste Programme dont la finalité est d’atteindre l’ autosuffisance alimentaire.
’’Il s’agit d’installer des petits paysans pour contribuer à réduire notre dépendance alimentaire vers l’extérieur’’, a dit M Voga Moudoubou, rappelant que ’’le Gabon importe plus de 80% de son alimentation, une tendance à renverser en produisant suffisamment mais localement’’.
Donc à Mouila dans la province de la Ngounié, les représentants des élus locaux, en l’occurrence au niveau de la Commune, le maire adjoint du 2ème arrondissement, Charles Magaya Bouando et au département de la Douya-Onoye, le président du Conseil, Marcel Nzikoué puis quelques représentants des associations à vocation agricole, ont été consultés pour identifier avec d’autres personnes ressources les zones et cultures potentielles à valoriser et développer dans le cadre du PNSA, en s’assurant de la ’’disponibilité en terre cultivable’’.
’’Car, a expliqué le Coordonnateur national adjoint pour la sécurité alimentaire, les questions de sécurité alimentaire sont transversales, en ce sens qu’elles impliquent tous les partenaires pour la réussite du Programme’’. Pour M Voga Moudoubou, la sécurité alimentaire est l’association des mots « qualité » et « quantité », cela veut dire qu’ ’’il n’y a pas sécurité alimentaire lorsqu’il n’y a pas suffisamment à manger pour satisfaire les besoins de l’organisme. De même, lorsqu’on ne mange pas de bons produits (qualité), on est en insécurité alimentaire’’, d’où cet intérêt du gouvernement à l’endroit des populations paysannes.
Après la première phase de projet pilote par le PSSA qui s’achève en fin octobre en cours, le Programme national seconde pour consolider et étendre celle mise en place dès sa conception par les Nations unies, visant à aider les pays à faibles revenus ou déficits vivriers à accroître leurs production et productivité locales, en même temps pour régler le problème de la pauvreté en milieu rural.
Déjà en réunion, quelques zones cultivables ou cultivées étaient citées pour la culture des aliments tels que le manioc, tarot, l’igname, la banane, patate, canne à sucre, l’arachide, de l’élevage (moutons, bovins, volailles) ou de la pêche.
M Voga Moudoubou est accompagné dans cette mission, entre autres, d’un consultant de la FAO, M Diallo Mamadou Tolo.

Conjuguaison punu

Pour bien parler une langue il faut maitriser sa conjugaison.

Présent

sing.
- nyidoguli màlaàngà "je déterre les taros"
- widoguli malanga "tu déterres les taros"
- edoguli malanga "il déterre les taros"

plur.
- twidoguli malanga "nous déterrons les taros"
- dwidoguli malanga "vous déterrez les taros"
- bedogulli malanga "ils déterrent les taros"


Présent accompli:
- tumadogula "nous avons déterré"
- tumadogula malanga "nous déterrerons les taros"
- tumamadogula "nous les avons déterrés"
- tumamudogulila malaanga "nous avons deterré les taros pour lui"

Futur ordinaire
- tudogula "nous déterrerons"
- tudogula malaanga" nous déterrerons les taros"
- tumadogula "nous les déterrerons"
- tudogulila malanga "nous déterrerons les taros pour lui"


Future immédiat
:
- tukidogula "nous allons déterrer"
- tukidogula malanga "nous allons déterrer les taros"
- tukimadogu "nous allons les déterrer"
- tukimudogulila malanga "nous allons déterrer les taros pour lui"

Passé lointain
- tumadogula "nous avons déterré"(il y a longtemps)
- tumadogula malanga "nous avons déterré les taros"
- tumamadogula "nous les avons déterrés"
- tumamudogulila malaanga "nous avons déterré des taros pour lui"

passe indéterminé
- tutsidogula "nous avons déterré"
- tutsidogula malaanga "nous avons déterré les taros"
- tutsimadogula "nous les avons déterrés"
- tutsimudogulila malanga "nous avons déterré les taros pour lui"


Subjonctif
- tudoguli: "que nous déterrions"
- tudoguli malanga: "que nous déterrions des taros"
- tumadoguli" "que nous les déterrions"
- tumudogulili malanga"que nous déterrions des taros pour lui"

Impératif
- dogula "déterre!"
- dogula malanga "déterre des taros!"
- madogula. "déterre-les!"
- mudogulili malanga "déterre des taros pour lui!"


... voici les négatifs

Présent
- tugedoguli "nous ne déterrons pas"
- tugedoguli malanga "nous ne déterrons pas des taros"
- tugemadoguli "nous ne les déterrons pas"
- tugemudogulili malanga "nous ne déterrons pas les taros pour lui"

Futur ordinaire
- tugodogula "nous ne déterrerons pas"
- tugodogula malaanga" nous ne déterrerons pas les taros"
- tugomadogula "nous ne les déterrerons pas"
- tugodogulila malanga "nous ne déterrerons pas les taros pour lui"

Passé lointain
- tusamadogula "nous n'avons pas déterré"(il y a longtemps)
- tusamadogula malanga "nous n'avons pas déterré les taros"
- tusamamadogula "nous ne les avons pas déterrés"
- tusamamugogulila malaanga "nous avons déterré des taros pour lui"

passe indéterminé
- tugadogula "nous n'avons pas déterré"
- tugadogula malaanga "nous n' avons pas déterré des taros"
- tugamadogula "nous ne les avons pas déterrés"
- tugamudogulila malanga "nous n' avons pas déterré les taros pour lui"


Subjonctif
- tuyadogula: "que nous ne déterrions pas"
- tuyadogula malanga: "que nous ne déterrions pas des taros"
- tuyamadogula" "que nous ne les déterrions pas"
- tuyamudogulila malanga"que nous déterrions pas des taros pour lui"

Impératif
- uyadogula "ne déterre pas!"
- uyadogula malanga "ne déterre pas des taros!"
- uyamudogula. "ne les déterre pas!"
- uyamudogulila malanga "ne déterre pas des taros peur lui!"

Contact

Pour me contacter voici mon émail:

Guimbij@yahoo.com





Participez à nos différents concours sur la promotion de la culture punu.
Envoyez nous vos photos:
  • Tenue traditionnelle,

  • Coiffure traditionnelle Mabouda ( nattes, civiles, bipunu).

  • Les recettes de cuisine du terroir de vos grands-parents. Juste le nom de la recette pas besoin d'une grande description.
Participez et gagnez de nombreux prix.

Envoyez vos recettes, photos par fichier attaché
émail:

dungandzinews@hotmail.fr

Crocodile aux macabos


1 kg de crocodile à faire mariner
20 cl d'huile
1 petite boite concentrée de tomate
3 oignons
5 macabos
thym
laurier
sel poivre
piment

Ingrédients pour la marinade

15 cl de vin rouge
10 cl d'eau
1 gros d'oignon
1/4 de litre de bouillon

coupez la viande en morceaux, puis disposez-les dans une marinade pendant 24 heures.
Le lendemain égouttez les morceaux de crocodiles et faites- les revenir, sur toutes les faces , dans l'huile de palme très chaude. Réservez la marinade.

faites dorer les oignons émincés grossièrement ; ajouter un litre de marinade filtre, ajoutez les condiments , le concentre de tomates et laissez cuire à feu doux pendant 3 à 4 heures.

une heure avant la fin de la cuisson , ajoutez les macabos(taros). Servez très chauds.

Envoyez-nous vos recettes.


Autres recettes punu

La définition des bipunu

Par définition, les bipunu sont des nattes tressées sur votre cuir chevelu, laissés par nos ancêtres et c'est une part de notre identité.

Les femmes punu ont commencé ce style, parce c'était l'un des meilleurs moyens de garder leurs cheveux contre la pluie , le vent et la poussière. Les nattes étaient utilisées pour des occasions spéciales lors des réjouissances, décès d'un parent etc.

Bipunu de massanga


Aujourd'hui, les hommes et des femmes utilisent ses coiffures et elles sont devenues très populaire aux USA. Pour les réaliser vous pouvez aller chez plus proche coiffeur ou en faire vous-même.

Les bipunu sont les nattes punu ou encore appelées les civiles, parfois plaits, cornrows aux USA. Les nattes permettent aux cheveux de pousser, l'utilisation des produits chimiques finissent par abimer les cheveux et à causer leurs pertes, d'où l'importance des nattes punu pour entretenir les cheveux.

Les traditionnels nattes punu se tressent de l'avant du front vers l'arrière. Il existe plusieurs variations de nattes, en résumé les tresses sont le nouage de trois différents cheveux. Les nattes punu peuvent se décliner en plusieurs types : le traditionnel comme mabouda style, les anglaises, les françaises , les américaines, et en plusieurs autres formes géométriques tels que les convexes ,les zig zag, la mohawk, ou les deux tons . Votre imagination est la seule limite.

Contact

Jean Manola

mujabitsi@hotmail.com

Les tresses punu , bipunu

Par définition, les bipunu sont des nattes tressées sur votre cuir chevelu, laissés par nos ancêtres et c'est une part de notre identité.

Les femmes punu ont commencé ce style, parce c'était l'un des meilleurs moyens de garder leurs cheveux contre la pluie , le vent et la poussière. Les nattes étaient utilisées pour des occasions spéciales lors des réjouissances, décès d'un parent etc.

Bipunu de massanga


Aujourd'hui, les hommes et des femmes utilisent ses coiffures et elles sont devenues très populaire aux USA. Pour les réaliser vous pouvez aller chez plus proche coiffeur ou en faire vous-même.

Les bipunu sont les nattes punu ou encore appelées les civiles, parfois plaits, cornrows aux USA. Les nattes permettent aux cheveux de pousser, l'utilisation des produits chimiques finissent par abimer les cheveux et à causer leurs pertes, d'où l'importance des nattes punu pour entretenir les cheveux.

Les traditionnels nattes punu se tressent de l'avant du front vers l'arrière. Il existe plusieurs variations de nattes, en résumé les tresses sont le nouage de trois différents cheveux. Les nattes punu peuvent se décliner en plusieurs types : le traditionnel comme mabouda style, les anglaises, les françaises , les américaines, et en plusieurs autres formes géométriques tels que les convexes ,les zig zag, la mohawk, ou les deux tons . Votre imagination est la seule limite.
Denise Boukandou dans les bipunu pony

Bipunu de massanga


Bipunu mont Tchad.


Bipunu convexe et traditionnel.

Bipunu chignon.
Nelson dans les bipunu convexes


Turiaf dans le traditionel bipunu.


Bipunu samurai. Les bipunu au style.



Bipunu les dérivés ou rive gauche.



Bipunu tradditionel.


Bipunu dirembu.

News de Pierre Mamboundou.

Des informations alarmistes circulent à Libreville concernant la santé de Pierre Mamboundou, président de l’Union du peuple gabonais (UPG) et candidat arrivé deuxième à la présidentielle d’août dernier. Depuis quatre jours, les ragots de bistrot font état de la mort de l’opposant historique.

Il n’en est rien selon l’UPG. «Pierre Mamboundou se porte comme un charme », affirme Fidèle Waura, hiérarque de l’UPG joint au téléphone. Il affirme également avoir eu une conversation téléphonique avec un proche parent du président de l’UPG qui était à son chevet. Même son de cloche du côté du secrétariat général de l’UPG où l’on affirme être agacé par cette rumeur qui fait sonner interminablement les téléphones au siège du parti.

Si elle affirme que Pierre Mamboundou est bel et bien en vie, la hiérarchie de l’UPG se montre toutefois peu diserte sur la maladie dont souffre le leader de l’opposition. Celui-ci s’est d’ailleurs montré très furtif depuis la fin de la dernière présidentielle dont il était sorti physiquement blessé après une charge des Bérets rouges, le 3 septembre 2009.

Dans sa livraison du 1er juin dernier, le bimensuel gabonais "La Démocratie" affirme que Pierre Mamboundou aurait été interné au Centre hospitalier de Libreville (CHL) avant d’être évacué sur Paris où il a subi un check-up. Il aurait souffert d’une forte asthénie et d’une hausse de tension artérielle qui aurait pu lui être fatale s’il n’avait subi les premiers soins au CHL.

"La Démocratie" affirme en fin d’article que Mamboundou est convalescent dans la capitale française où il serait tout de même « allé au rapport dans les officines bien connues » et aurait rencontré quelques amis de longue date.

Selon certaines indiscrétions, Pierre Mamboundou préparerait une sortie médiatique sur une chaîne de télévision française. L’émission pourrait être diffusée la semaine prochaine.

Source: Gaboneco

Concours :préservons notre identité

Préservons notre identité:
Concours de la meilleure coiffure de la femme portant les tresses traditionnelles appelées Mabouda.

Les mabouda ce sont les civils , trois tresses généralement décorées par des cauris ou perles.

Gagnez de nombreux prix.

Envoyez nous vos photos:
mujabitsi@hotmail.com

Un frère, un fils nous a quitté :Oliver Ngoma


Les punu, les vili et les lumbu ont une grande mère commune Kakamueka .
LIBREVILLE (AGP) – L’artiste chanteur gabonais, Oliver Ngoma est décédé tôt lundi à Libreville, de suite d’une maladie, a-t-on appris de source digne de foi.

La nouvelle est tombée comme un couperet à la rédaction de l’AGP lors de la conférence de rédaction, plongeant les journalistes dans l’émoi.

L’homme a véritable quitté la scène samedi dernier lors de son spectacle, le dernier d’ailleurs de sa longue carrière musicale. Un spectacle qu’il a donné à l’occasion de la sortie d’un livre consacré à son œuvre musical écrit par l’universitaire gabonais, Sylvain Nzamba.

Oliver Ngoma s’était fait connaître au plan international en 1991 grâce à son album ‘’mythique’’ Bané qui avait fait le tour des hits parades à travers le monde. Un album arrangé par le musicien Capverdien, Mano Lima.

Hormis la chanson, Oliver Ngoma était un homme des médias. Il occupait les fonctions de directeur des programmes télévision à la deuxième chaîne de télévision gabonaise.

Source: AGP

Coiffures punu femmes

Qui sait encore de nos jours tresser les Mindassas?
Concours de coiffures traditionnelles punu envoyez nous
vos photos, décrivez le nom de votre coiffure
et gagnez de nombreux prix?
mujabitsi@hotmail.com



1 Chignon anglais 2. Les serrés-serrés, tresses aux fils ou chicottes 3. Nattes 4. Torsades 5.Mèches 6. shabat grosses graines 7. Civils punu 8.Emo 9. Afro 10. Les arcs 10. Les zulus 11. Les mindassas.

Les coiffures d'hommes



1.Enroulés 2.Afro brown 3.Youle 4.Kojak 5.Cornraw 6.Tyson 7.Afro 8.Diminué 9.Dreadlocks, 10.Nattes 11.Nattes 12.Couettes avec titans 13.Bakékolo 14.Yembi 15.Mouloungui Tiger 18. Mohwak.

La calebasse





Trois romans pleins d’humour qui, sous la forme d’une chronique, transforment des villageois modestes, profondément humains, en héros d’une épopée moderne.
Pourquoi ce titre : La calebasse? Les personnages principaux de ces trois textes appartiennent à la même lignée, fondée par une femme née dans une calebasse, sa mère étant inféconde.

Jean Divassa Nyama ou

la réappropriation des cultures endogènes

Par Jeanne-Marie Clerc* (Professeur de littératures comparées émérite à l'université Paul- Valéry de Montpellier qui a publié une étude remarquable sur Jean Divassa, dans "Cultures sud" N° 170, septembre 2008).

Extraits :

(...). L'écriture est pour Jean Divassa Nyama une façon de signifier qu'il est « la trace » de son père et de sa mère. Mais, simultanément, elle représente la correspondance qu'il adresse à « son frère jumeau, né prématuré et qui n'a pas survécu! » : « Mes romans sont des lettres que j'envoie à mon frère jumeau mort prématurément. Il s'appelait Ugule, c'est-à-dire entendre, comprendre, et moi je suis Ulabe, c'est-à-dire voir, observer, témoigner. Mon frère jumeau n'a pas voulu venir parce qu'il a appris la misère que vit notre société et les malheurs qui frappent notre continent. Il m'a demandé de venir et de lui faire de temps en temps le point de notre vie quotidienne. Divassa en ypunu signifie un seul jumeau : mes parents n'ont pas voulu me donner le nom d'Ulabe pour ne plus vivre cette émotion de la perte de mon frère jumeau. »
Ainsi, l'œuvre littéraire est-elle bien à ses yeux le symbole d'un héritage à transmettre, témoignant pour ce frère jumeau qui se confond avec ses semblables, ses frères, mais aussi les nouvelles générations qui auraient pu naître de ce frère. Ainsi se trouve déterminée la personne du protagoniste majeur de sa trilogie, l'Oncle Ma.


Le roman de Jean Divassa recourt à la parabole pour exposer un enseignement relevant d'un ailleurs des évidences sensibles et des certitudes rationnelles propres à l'Occident. Il est largement explicatif et démonstratif, s'affichant comme transmetteur d'un savoir en voie de disparition. La parabole y est présente comme récit déguisé, démonstration indirecte d'une vérité essentielle pour laquelle il est nécessaire d'« habiller les mots ». Les relations humaines perverties ont remplacé les liens de la lignée, et la ville nous est montrée comme ne connaissant plus que le profit ou la misère. Les unes engendrent le silence, l'autre le bruit, mais ce dernier n'a plus rien à voir avec celui de l'héritage. En témoigne le retour au village de Mouyendi, qui est allé faire des études de droit en France et qui consacre sa première visite à l'Oncle Ma : « Il revoit avec plaisir celui qui a bercé sa jeunesse d'histoires merveilleuses, qui lui a appris à écouter l'inaudible, à voir l'invisible, à sentir l'impalpable. »
Dimungue, qui a fréquenté l'école des Blancs, explique à l'enfant la différence avec l'école de Muile, L'école de Muile est celle, originelle, de la tradition. À l'Oncle Ma échoit cette responsabilité primordiale d'être le transmetteur de cette connaissance. C'est pourquoi il est appelé « le maître de la parole ». Parole enracinée dans le sacré, précédée des libations aux Ancêtres dont il faut convaincre les Mânes de suivre la lignée dans les nouveaux lieux où elle se trouve «déguerpie». Les mots s'organisent, après « habillage », en un langage parabolique qui tire sa pleine signification de son intégration à un milieu ambiant où les bruits de la nature, mêlés à ceux des hommes, se transforment en une sorte d'harmonie syncrétique imprégnée de présence spirituelle. Les esprits des ancêtres constituent la tradition qu'il est nécessaire de transmettre. Et l'on peut penser que la véritable histoire contée par ce livre est celle de cette tradition, des modalités de sa transmission et de la responsabilité des hommes face à ce devoir de mémoire que le choc des cultures, né de la colonisation, puis de la modernité postcoloniale, met à mal, menaçant l'identité profonde du peuple gabonais.

Jeanne-Marie Clerc est notamment l'auteur, en collaboration avec Liliane Nzé, de "Le roman gabonais et la symbolique du silence et du brait" (Paris, L'Harmattan, 2007).


Source:édition Ndze

Poésie: Tadji na mwan’ andi

Tadji na mwan’ andi
Bake vanguene mulingu
Ô bulongo bu tandu,
Ô mu ba ya pili na ba ya mbome.
Mune kedi, mwane na komi va wusu,
Tadji na dikongu va nzime.
Ike kumu be rali,
Be we, be vosi,
Be we, be vosi.
Mwendu u nobe va ghari,
Be toli va dira di mwiri,
Tadji no sume dikongu vane pedu mwiri,
Iku va mwane I mate!
Tole ne mune mata’ma mwiri,
We ghenguile na ko’na kodu,
Tuke djab’ a be tu duki, na be run’ a wusu,
Mwane no mate, duvungh’a o tsinga o mudji,
A ma tole o mata’ma mwiri.
Vike va dira di mu muvengui,
Tsike tadji a niangule mumbe ma mirondu na dituke,
Ike mo mia, mia mimi.
Hedji, hebia ma ghebu ô mu mwane,
Itsotsoki I ma muranghe,
Mwane no bwa misu ô tsi,
Kengusu tsiowu tsike bengunu,
Tadji nofu na isogni, ike tsune mwane:
tsie wunu ?
Mwane I â tate !
Mbek’ aghu tu ruli naghu tu wendi u gha diambu,
Bulongu bu polu,
Tu tate ! diambu di na bivile,
A vane dira di mwiri.
Mwane no kalile tadji nana, tsike mwuiri na mundugue,
Ô tandu durembu,
Bake mu loghe. Ake mane mognu idjolu.

Moralité: les génies et les ancêtres ne tolérant point qu’on ridiculise un aîné.

Texte tiré des traditions orales punu, traduit par Maurice Mouckagni Mouckagni,
Inspecteur pédagogique Histoire-géographie.
(Un père et son fils entreprennent un voyage, arrivés au pied d’un arbre, le père sort un de ces stratagèmes pour tromper la vigilance de son fils, alors l’heure du repas approchait. Mal lui en a pris).
poèmes

La littérature

Littérature punu

A ce titre, les Bapunu, comme les autres peuples à tradition orale, possèdent une littérature orale. La littérature orale punu comprend les genres: kûmbu, dûmbu, nôngu, duyungu et dusavu. Ces genres se distinguent par leur forme, leur contenu et leur rôle. Vansina écrit à ce sujet: «Les genres littéraires se basent sur la structure interne du texte oral, sur son style et parfois sur le sujet même qui est traité). Il ajoute: «Les classifications de genres littéraires ne sont jamais fondées exclusivement sur la forme mais tiennent également compte du contenu de l’œuvre...
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 De l’oralité localisée dans la littérature écrite africaine par Pierre Monsard

L’héritage de l’écriture et des littératures écrites a transformé les rapports que pouvaient entretenir le créateur africain avec son peuple. Le choix de la langue reste l’un des problèmes essentiels dans la création littéraire en Afrique noire. Nous essayons de cerner, dans ce travail, la corrélation des quatre éléments suivants : langues, littératures écrite, culture traditionnelle et sujet écrivant. Comment les écrivains transmettent et expriment le dire africain dans leur texte narratif?...
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Pierre Monsard, Les aspects de l’oralité africaine

L’héritage de l’écriture et des littératures écrites a transformé les rapports que pouvaient entretenir le créateur africain avec son peuple. Le choix de la langue reste l’un des problèmes essentiels dans la création littéraire en Afrique noire. Nous essayons de cerner, dans ce travail, la corrélation des quatre éléments suivants : langues, littératures écrite, culture traditionnelle et sujet écrivant. Comment les écrivains transmettent et expriment le dire africain dans leur texte narratif ?... 
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Maghène na tsiési de Ginette Mackossot

Umabè, bambatsi babédji ba néni, maghène (Django) na tsiési (maviangu) ba matsana o mwa dimbu. Maghène ama tsana na mughatsiandi na bane, tsiési amabe bwa na ngudjiandi ama ronda puèla. Mutsanu wogu umabe uboti bilime na bilime. Bilime na bilime bike vioga, dinong diogu dimabe ignung kwang na ilumbu yo nzal djima yi dimbinine o dimbu.
Miwèli na miwéli mike vioghe, nfûl djisa ma mwé noghangue, biriri bisama mwé benda, miri ufû. Midjamb mike bande ukamughe. Bambatsi babédji bake kéwivula yi : ike uka tudilile bigudji, ike tsiè tuke bungulili bifumbe ?
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Le résumé de l’œuvre du Mumbwanga

Papa Nzambi et Maman Pungu mettent au monde une très belle fille. Ils l'appellent Marundu. Le moment de son mariage arrive et de nombreux prétendants se présentent. Les parents ne réclament pas de dot mais promettent de marier leur fille à celui qui soulèvera le paquet de joncs qui est sorti du ventre de sa mère en même temps que Marundu. Ce paquet est inexplicablement lourd. Tous les prétendants échouent excepté Diyéverekèsa. Ce monstre réussit à soulever le paquet de joncs. On lui remet sa femme et tous deux s'en vont au village du mari, là où se trouve l'arbre muteli en pays ngosi. Maman Pungu tombe de nouveau enceinte. C'est une grossesse très difficile. On fait venir les initiés du Bwiti et du Nyemba, les adeptes du Malamu et du Mukuji. Ils ne peuvent rien pour elle. C est finalement Mwiri qui trouve le traitement et maman Pungu se met à accoucher de nombreux enfants. Mumbwanga refuse de sortir par là où les autres sont sortis. Il sort par l'oreille. A peine né, Mumbwanga demande, avec insistance, à son père où se trouve sa soeur Marundu. Après maintes hésitations, le père finit par dire ce qui s'est passé et ce qu'est devenue sa soeur. Mumbwanga se prépare et se met en route pour rechercher Marundu. En chemin, il rencontre de nombreux obstacles qu'il parvient à surmonter. Il arrive finalement à l'endroit où se trouve sa soeur. Pour délivrer Marundu, Mumbwanga doit livrer un dur combat contre Diyéverekèsa.ll vainc son monstre de beau-frère et ramène sa soeur au village.
Kwenzi Mickalat.

Autres ouvrages.
Le détour de Nza Mateki
Le juste milieu entre tradition et modernité.Premier roman de cet auteur, diplomate à la retraite, nous intrigue et nous transporte dès la première page.
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Le cri du crime de Maurice Mouckagny

Entre meurtres en série et crimes d’état, Maurice Mouckagni Mouckagni signe le combat perdu d’avance d’un David contre Goliath. Thriller nihiliste, roman d’aventure, ou encore critique sociopolitique, "Le Cri du crime" est tout à la fois. Une enquête désespérée pour la justice et la liberté qui trouve son point d’orgue lors d’un final glaçant…
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Contes autour du feu, de NZA-MATEKI

Éd. du silence, Libreville, 2004, ISBN 2-912123-22-4


Les larmes de tsiana de Sylvain Nzamba
Orpheline de mère dès l'âge de quatre ans, maltraitée et transformée en esclave par sa belle-mère, c'est à neuf ans que Tsiana découvre tout sur sa mère. Elle doit sa libération de cet univers carcéral à un général de police, alors neveu de son père qui viendra, tel un messie, donner une nouvelle destinée à sa vie.
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Fouzhia
Scolarisée dans une petite école d’un village où les moqueries entre élèves sont fréquentes, Fouzhia, apprend de son maître qu’elle fait partie de ceux qu’on appèle les « enfants de la honte ».
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Le supplice d'une veuve
Ndakyssa est une élève infirmière courageuse et combative qui n’aime pas le mot « échec ». Lorsqu’elle rencontre Moussavou, un jeune étudiant qui deviendra plus tard son mari, elle ignore encore que la vie ne l’épargnera plus jamais de sa distribution d’épreuves diverses.
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De l’oralité localisée dans la littérature écrite africaine par Pierre Monsard
L’héritage de l’écriture et des littératures écrites a transformé les rapports que pouvaient entretenir le créateur africain avec son peuple. Le choix de la langue reste l’un des problèmes essentiels dans la création littéraire en Afrique noire.Lir plus
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Le bruit de l'héritage.
La réappropriation des cultures endogènes : comment adapter la culture bantu au modernisme ? Chacun, au village comme en ville est confronté à cette contradiction : le respect de la tradition, et l'assimilation d'une culture étrangère.
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Le bourbier d' Armel GUIMBI BISSIELOU
L’œuvre d’Armel NGUIMBI BISSIELOU retrace l’échec du voyage de MOUKAGNI dû au bourbier dans lequel l’ensemble des voyageurs sera victime.Lire plus

La vocation de Dignité de DIVASSA NYAMA
Une petite fille quitte son village pour aller faire ses études en ville, dans une Mission religieuse. Au contact des Soeurs, dont elle admire le dévouement, une vocation naît en elle, au grand désespoir de ses parents au village, qui voient là une atteinte à la tradition.
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Parole de vivant d' Auguste Moussirou-Mouyama
Rentré dans son pays pour se faire soigner, l’étudiant James Ytsia-Moon est arrêté à l’aéroport de Suakopmund, la capitale du Demi-pays. Ce pays est dans un état d’urgence depuis qu’un nganga (un sorcier) avait dit au leader qu’un complot était ourdi contre lui de l’étranger.
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Port du ngombu: Raphia