Les peuples natifs
La préhistoire
Il y avait autrefois une grande civilisation qui vivait sur les montagnes , aux abords des cours d'eaux. Ces gens étaient géants, comme nous confirment les vestiges de la lopé, du lac noir de Ndendé et à Mayoumba. Selon la tradition dzego orale les tous premiers habitants au gabon seraient aux nombres de quatre, l’ancêtre de la vannerie(art), l’ancêtre des noix (agriculture), l’ancêtre de la chasse, puis le dernier celui du feu. L’ancêtre du feu apporta la guerre.
Les premiers hommes qu'on trouve dans l'Estuaire, la Ngounie et la Nyanga sont des tshitolien selon les travaux par Digombe, Locko et Jiegou ils vivent autour du lac noir et du lac bleu. Ces homnes de la préhistoire utilisaient des fourneaux de fer, vivaient de pêches et de chassent sur les montagnes.
L'arrivée des bantous
L’arrivée des bantous s'est faite successivement à la recherche d'espaces cultivables et giboyeux et de points d'eau, certains tribus avaient été conduits par les pygmées.
Les pygmées
Les pygmées sont détenteurs des savoirs médicinales, initiatiques et auraient initié les bantous dans la pratique du bouété, ceux qu'on appelle aujourd'hui le bwiti.
L'administration africaine
Il y avait bien des chef de t de contrées qui dirigeait plusieurs villages, mais ses villages avaient une administration autonome, ensuite il y avait un chef de la terre , suivi d'un chef du village. D'une manière générale le village étaient dirigé par les lois de la société secrète du mwiri, justice, préservation de la nature et de la faune.
Il y avait une institution royale
Les Kongo porteur de la civilisation du fer illustré par le mythe du roi forgeron. Le fer reste l'apanage du roi, ce sceptre sous la forme d'une cloche"kendo". Le pouvoir du royaume celui-ci est d'essence clanique et spirituelle-ci fondeée sur le rite Nki-si. Le roi se devait être beau et se tenir loin des hommes, sage , noble et prolifique.
Le Loango organisation se traduisait par le commandement politque suivant:
Buvandji: la tribu guerrière
Le mamboma: le premier ministre
Le mafouque: Ministre de l'économie
Le mankhaka: sorte de ministre de ka guerre
Bunzi: prêtre
Punu: mercenaires
Le clan Imondo est le clan du roi, le roi porte tooujours trois pompons
la premiere , la deuxieme, la troisieme femme quatre pompoms
Ces correspondent aux clan bumwele, mitsumbo et ukomgou
Bumwele sont les imondo, sous clan de bumuélé serait les bagambu et fournissaientt les conseillers aux rois. La terre baloumbou est commandes par les Imondo ainsi que les embouchures de la Nyanga et de la lagune Banio. Sur la rive droite de la Nyanga le Mayumbe, tchibanga est commande par mitsoumba en terre punu.
La terre villi est commandé par les bayengui
Chez les eshira
La terre tandou est imondo, l'ancien chef habitait a nboukou, le nouveau Idouma
La terre danda est ukongou
La terre de la dubanga est bayengi
La terre de Nandji est badumbi
C'est Muyungu qui commandait Moabi. maintenant le commandement est passé au Badumbi.
C'est Bayengi Passi pili qui commande les Bayengi les hommes de la vipere.
Sous le chef principal la terre est representée entre differents clans.
Il faut peut etre analyser la legende sur les quatre grands frère Mitsogho: Nsobé,Mogangé,Mohené et Mobintsé.
Lhefs de clans portent trois pompons sur leurs bonnets tissées en lianes.
Le triangle le signe de l'homme et le carré le signe de la femme.
"Lika: da likoko lisimba Mbota sambwali"
Le mapili capitale Diosso Bwali
Le Loandjiri region de pointes noires ou sont inhumees les depouiles royales
Le Manganga qui separe le Mampili du Mayombe ne sont peuples que de villi
Tchiloango qui separe le Mampili du Makanku qui comprend lui meme Mayoumba.
Le roi Mayombe Ignoundrou
Goufilla Ngoma commandait aux vili de Mayoumba
Sambe pongo
Chaveponso Chavepongo
Avandji = buvandji
bracelets, bonnets et sceptres
Le roi porte le bonnet princier en fils d'ananas, un grand manteau, de beau drap noir son jete sur son pagne blanc borde de rouge lui meme serres sur une peua de panthere. gros anneaux d'argent sur ses chevilles.
On pourrait situer le royaume Loango au Gabon et au Congo-Brazaville actuel. Il a souvent été dominé par le royaume du Congo et devrait lui payer tribut. Ce royaume s'etendait du Kouly jusqu'au fernand vaz.
Au 17es le royaume du Loango est indépendant avec 4 provinces dirigées par les princes Mani.
La succession passe à tour de rôle à chaque province. C'est un système politique bien équilibré.
Personne ne doit voir le roi du Loango pendant ses repas, il est très respecté.
La femme de sang royal la plus âgée exerce la fonction de reine mère ou Mahunda. Elle est très influente. Les fonctionnaires Mfumu sont des nobles.
La succession passe à tour de rôle à chaque province. C'est un système politique bien équilibré.
Personne ne doit voir le roi du Loango pendant ses repas, il est très respecté.
La femme de sang royal la plus âgée exerce la fonction de reine mère ou Mahunda. Elle est très influente. Les fonctionnaires Mfumu sont des nobles.
Le royaume loango était dans le district Chilongo. Il y avait quatre clans principaux dans le clan Maloango . Selon le prêtre Meyer, ses quatre clans avaient accès à "la terre" dans la région de la Nyanga. L’appellation d'origine était le clan Imondo dont le totem est le léopard et désigne la position du roi dans le royaume Maloango.
Le clan Ukonge dont le symbole est la perdrix représente la position de la "première femme". Le bayengi dont le totem est le perroquet, représente la "seconde femme". Le badumbi dont le totem est le colibri, représente le "jeune frère". Il est important de souligner que "l'aigle pêcheur" est le totem des Bumueli.
Le clan royal avait le pouvoir de garantir les droits individuels ou temporaires, sur la terre tel que les constructions ,le droit de planter, de pécher et chasser. Ces droits ne concernent pas le droit de posséder la terre mais de l'utiliser, le clan royal peut aussi décider de déléguer ses droits aux lignages ou aux chefs du village. Les Bényi ou étrangers devaient donner une offrande (pahu) à la famille royale.
Le clan Ukonge dont le symbole est la perdrix représente la position de la "première femme". Le bayengi dont le totem est le perroquet, représente la "seconde femme". Le badumbi dont le totem est le colibri, représente le "jeune frère". Il est important de souligner que "l'aigle pêcheur" est le totem des Bumueli.
Le clan royal avait le pouvoir de garantir les droits individuels ou temporaires, sur la terre tel que les constructions ,le droit de planter, de pécher et chasser. Ces droits ne concernent pas le droit de posséder la terre mais de l'utiliser, le clan royal peut aussi décider de déléguer ses droits aux lignages ou aux chefs du village. Les Bényi ou étrangers devaient donner une offrande (pahu) à la famille royale.
La main aux sept (7) étoiles
"LI KAND LI KOKO LI SIMB : MBOT SAMBWALI"
"La paume de la main tient les sept étoiles"
Cette devise revêt à la fois une signification
Cosmogonique
et
Politique
. pour la cosmogonie, l'on songe à la nature puissante, éternelle, impérissable des étoiles(Mbot:), à la nature divine de la royauté, à l'appel de l'infini, et pour la signification politique aux sept (7) provinces(sing.Tchizungu) qui composaient le Royaume de Loango (SI MA LOANGU).
D'une façon symbolique le Roi est représenté par la paume de la main aux sept étoiles et le bras qui dirige celle-ci est incarné par les vingt sept clans Kongo.
Aussi ces étoiles représentent symboliquement la face du souverain à savoir :
- Deux étoiles représentent les yeux du souverain qui veille sur son territoire.
- Deux étoiles représentent les oreilles du souverain qui écoute toutes les plaintes de son peuple.
- Deux étoiles représentent les deux narines du souverain très sensible aux problèmes de son peuple.
- Enfin une étoile représente la bouche du souverain qui lui permet de rendre justice. C'est l'unique voix qui doit se faire entendre dans tout le pays (le Royaume).
L’arrivée des européens
1844: Le gouverneur portugais Ramon Rovirosa signe une convention d'installation à Tchissade (actuel SOCOMA - plage de Mayumba) avec le chef de terre Jim Ngoma
1847: Arrivée des premiers commerçants portugais sédentaires à Mayumba. Centre qui revêtira une importance à cause de la traite des Noirs
1853: Arrivée des commerçants hollandais, venus relever leurs homologues portugais•
1886: Départ des commerçants hollandais
1887: Installation d'un gouverneur français, M. Hermann, à Nkounda, permet à Mayumba de fermer ses portes aux marchands d'esclaves
1888: mission catholique du fernan vaz
L'exploration
Âpres il y a eu les missions d'explorations portugaises , puis françaises, episode terrible est celle du chailu qui emmena la variole qui extermina beaucoup de gens.
Les missions d'exploration étaient juste un alibi pour les futures occupations par ces colonies.
Les préludes à la révolution.
Le payement des taxes , les travaux forcées, les exactions des travailleurs etragers et tirailleurs Sénégalais conduisit à la révolution.
L'administration coloniale
La route, le commerce et la politique de corruptions des ethnies doublée de la politique de diviser pour mieux régner, comme c'est fut le cas des Mitsogho contre les Punu, qui sont frères.
Il y avait le fort, la mission, l’école. Le district était dirige par un commandant missionnaire.
La Ngounié, depuis longtemps productrice importante d’ivoire et de caoutchouc, exploitée depuis trois ans par la Société Ogooué-Ngounié de Gazenguel, n’échappe pas aux tourments.
La Métropole place ensuite à la tête de la Colonie un homme capable de rétablir son autorité, en la personne d’Emile Gentil, explorateur et collaborateur de Brazza, auréolé de sa victoire sur Rabah, gouverneur au Chari. Il entre en fonction le 18 mars 1903. Le 19 mars 1903, dès le lendemain de sa nomination, Gentil adresse une circulaire inspirée de son prédécesseur aux agents et administrateurs. Il y annonce leur prochaine évaluation sur la base des résultats qu’ils obtiendront dans la perception de l’impôt ( 933 ). Grâce aux compagnies obtenues par Grodet, il dispose d’un contingent suffisant pour détacher une cinquantaine de tirailleurs
Appliquant la loi au plus près, Gentil n’entend pas laisser impunis les villages qui ne s’acquittent pas de l’impôt. Il prend le 29 juillet 1903 un arrêté qui prévoit des peines allant d’une simple amende de vingt francs jusqu’à quinze jours d’emprisonnement. La milice procède aux premières arrestations et marque ainsi la fin d’une période transitoire de laxisme ( 935 ). L’impopularité de Gentil grandit à tel point qu’une pétition est adressée au Ministre des Colonies, signée par “ Tous les Gabonais en général ”, qui réclament le retour de Grodet ( 936 ). Impassible, le Commissaire Général poursuit son “ œuvre ”. Il décrète l’interdiction et la vente d’armes sophistiquées ( 937 ). Seuls les vieux fusils à silex avant 1842, à pierre ou à capsules sont autorisés, pour ne pas entraver la chasse indigène. Maladroite, la mesure encourage la contrebande qui s’organise en particulier depuis la frontière nord.
L’intransigeance de Gentil cache mal ses difficultés dans l’administration de la Colonie. Les concessions s’opposent toujours au commerce libre mais leur stratégie évolue. Leur santé économique étant fragile, elles cherchent des rentrées d’argent par tous les moyens. Dans un premier temps, elles feignent d’ignorer la présence des maisons étrangères sur leur territoire pour ensuite les condamner et obtenir des dédommagements. L’astuce ne fait pas long feu. En février 1904, la compagnie John Holt obtient la relaxe dans un procès qui l’oppose à la Société de l’Ogooué-Ngounié. Elle est autorisée à poursuivre son activité sur le territoire de la société ( 938 ). Le jugement fait jurisprudence et conduit l’administration à interdire ce type de procès financier ( 939 ). En fait, il tient compte de la place que retrouve le commerce libre dans l’économie de la Colonie. Plus souple et fort d’une longue expérience ainsi que de rapports plus anciens avec les producteurs, le commerce libre parvient plus facilement à organiser son activité que les sociétés concessionnaires dont l’immensité des territoires nécessite des moyens considérables. En 1903, l’ensemble des sociétés concessionnaires, mises à part la S.H.O. et la Compagnie Kouilou-Niari (C.P.K.N.), réalisent 1.9 millions de francs d’échanges, contre 2.3 millions pour la S.H.O. et la C.P.K.N. exclusivement, et 3.7 millions pour le commerce libre (Hatton et Cookson, Holt, Woermann, principalement). Les chiffres tendent cependant à s’équilibrer pour l’année 1904. Ils portent respectivement à 2 millions, 2.6 millions et 3.2 millions l’activité des différents exploitants ( 940 ).
Les Tsogo se révoltent contre l’administration et les concessions. Ils cherchent à empêcher l’établissement de postes militaires sur leurs terres. Une campagne de répression est menée à partir de mai 1904 par le capitaine Colonna de Leca. Mais, faute d’engagement des insurgés, elle ne permet pas de soumettre la région ( 943 ).
Les évènements du sud ne sont que le résultat des abus des sociétés concessionnaires et de la politique agressive menée par Gentil, en particulier pour l’impôt. Les miliciens sénégalais commettent des actes sanglants sur tout le territoire, auxquels répond la résistance de plus en plus organisée des villages ( 944 ). La démesure des moyens mis en œuvre pour la perception et la répression exercée sur les réfractaires sont à la mesure de l’intransigeance de Gentil. Mais il a pour lui l’obsession de la supériorité militaire et l’entêtement de l’incompétence ( 945 ). Le 19 juillet 1904 il signe une circulaire annonçant l’augmentation de l’impôt qui doit passer de 3 à 5 francs par personne au 1er janvier 1905 ( 946 ).
La révolution
Depuis plus de cinq ans existaient une guerre larvée entre Punu et Mitshogo prônée par la politique française de diviser pour mieux régner . L’autorité coloniale avait essayée de jouer les cartes des uns et des autres jusqu'aux moment ou redoutant quelques soulèvement Mitshogo après la paix de 1907.
Les opérations qui devaient aboutir à la reddition du chef influent Mavurulu préparés de longue date consistaient à amener les populations par la dissuasion et par les bon sentiments au calme, en cas d’échec par l'emploi de la méthode forte, afin d'arriver à la pacification complète et garantir les résultats obtenus, par une occupation effective du territoire jusqu'au retour de certains "rebelles".
Les premiers signes de mécontentements vinrent de la région de la Ngounié 1904 :les Mitshogo s’étaient soulevés contres les tentatives d'occuper leurs territoires.
Les hostilités contre Mavurulu leader punu, débuteront en mai1907 et s’achèveront en 1912. Dans le sud du Gabon dans la région de Moabi au nord et au sud et la haute Ngounie à l'est et les tandu montagne à l'ouest. Leur chef Mavurulu dont le quartier général était basé à Kumeramba Murundi et à Mokabe a fait plusieurs attaques aux Europeens.
Le capitaine Conrad à la tête de 200 hommes arrivaient à Mokab en Juillet 1906 ayant successivement échoués trois fois ils e retiraient à Tchjbanga pensant qu'ils allaient coupés la route de moabi station depuis Tchibamga.
Ne pouvant pas venir à bout d'une armée disciplinée et déterminée, dirigée par son légendaire leader Mavurulu ma Nziengui surnommée Nyonda ma Kita. Les français lancerons une énième campagne en1909 renforcés par un bataillon de Sicre et par une troupe sénégalaise.
Le 1er Juillet 1909 le chef de bataillon de Sycre à la tête d'une colonne de 310 et de 14 grades marchèrent sur Moabi, les populations révoltées rompues à la technique de guérilla évitèrent constamment le combat puis attaquait de sang froid sous les ordres du capitaines COLLONA LE LECA. LA deuxième compagnie avait pour but de briser cette révolte.
En novembre capitaine Le Meillour qui s'était distingué dans la guerre avec les Mitsogho voyagaient de Moabi à Doussala pensant atteindre Kumeremba et Murundi plus tard. Mais à la fin du mois son progrès a été stoppé 11 fois par les attaques successives punu.
Les principaux hommes ou encore chef de guerre de Mavouroulou Na Nzolou Nyonde Makita, étaient Mueli Mukagny, Manduku-ma -Mukagny, Ntsiengui-Mfudu, Nza Mbadinga, Kas Maviri.
L'ardeur combative des populations secoua sérieusement le morale des adversaires.Mais l'objectif des Français étaient sérieusement de s'emparer de l’âme de la révolte le chef Mavurulou celui-ci déjoua leurs plans, les français s’emparèrent des compagnons de Mavurulu , des principaux chefs et leurs familles et menaçaient de les tuer si Mavurulu ne se rendaient pas.. Les français occupèrent militairement la région et une compagnie resta à Sindara jusqu'en 1910.
Makita, privé de ses principaux collaborateurs, Mavurulu pria de déposer les armes contre la libération de leurs prisonniers et la promesse qu'aucun de leurs chefs ni de leurs familles soient exécutes.En 1911 le chef Mavurulu qui s’était réfugié à Gnanga vers Lembamba , se rendit de lui même aux autorités pour mettre fin aux menaces françaises d’exécuter ses chefs et membre de leurs familles. .Il est mort à Ndendé en 1911. en 1912 cette région appelée alors Offoué Ngounié fut remise à une autorité civile.
Il y a un tremblement de deux terre, deux famines et ensuite il y a eu la raclees que les mitsogho et les ounu administraient aux francais, puis a suivi notre indepenance.
Dès juillet 1958, une troisième force politique tente de s’imposer au Gabon : le Parti de l’Unité nationale gabonaise (PUNGA) mené par Rene Paul de souzatte et Jean-Jacques Boucavel . Après avoir appelé au « non “ lors du référendum de 1958[34], le PUNGA organise plusieurs manifestations, soutenues par l’UDSG, afin d'obtenir l’indépendance et la tenue de nouvelles élections législatives . En mars 1960, sachant que l’indépendance est déjà donnée par la France, Mba fait interdire par le Conseil des ministres le PUNGA puisque son objectif avoué est atteint .
1905: Les administrateurs français, MM. Dumonet et Antonin, venus de Mayumba, s'installent près de la mission catholique de Massanga, qui deviendra plus tard Tchibanga. A cette même époque, M. Jules Pierre-Marie Bernard, en qualité de chef de subdivision, s'installe à Tchibanga qui fait partie de la circonscription du Kouilou-Nyanga ayant pour chef-lieu Loango-(Congo).
1906: La guerre de Mocabe (révolte des tribus Bavéla et Badumbi contre les exactions des miliciens français) entraîne le rattachement de la Nyanga au Gabon, et son chef-lieu est fixé à Nyanga-Vembe
1906: Le chef de circonscription, M. Marchessou, transfère le chef-lieu à Tchibanga
1934: La circonscription administrative de la Ngounié-Nyanga devient le département de la Ngounié-Nyanga, avec pour chef-lieu Mouila et pour subdivisions Tchibanga et Mayumba
•1940: La Nyanga est rattachée de nouveau au Congo, puis une nouvelle fois au Gabon, au cours de la même année, à la faveur de la participation du Gabon à la seconde guerre mondiale
•1948: Le département devient la région de la Nyanga avec pour chef-lieu Mayurnba ,1950: Le chef-lieu est transféré à Tchibanga1959: Nouvelle organisation, la Nyanga est composée des districts de Tchibanga, Moabi et Mayumba
Les différents héros:
Nyonda,
Mbombe,
Mueli Mukagny,
Manduku-ma -Mukagny,
Ntsiengui-Mfudu,
Nza Mbadinga,
Kas Maviri.
Bouloungui Nazaire
Simbu
Mutu malongou Que restent ils aujourd'hui de l’héritage coloniale
Il y a certaines routes, hoptal maison d'habitation mais aussi eglises, la langue, la cuisine. Il n'ya vait pas une volonte de developpement chez le colon, mais plutot une volonte d'exploitation des richesses nationales.
Bibliographie
Recherche préhistorique au Gabon par Michel Locko
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bspf_0249-7638_1988_num_85_7_9346
Southern Gabon
Monique Mafoumbi
http://documents.univ-lille3.fr/files/pub/www/recherche/theses/CADET_XAVIER/html/these_body.html
C.A.O.M., A.E.F., Gabon 4D(1) 2, dossier Sindara, Mayoumba et suivants. N. Meteghe N’Nah, L’implantation coloniale….
No comments :
Post a Comment