Miss Ngounié a remporté l'élection de miss Gabon


Marie Noëlle Ada a été sacrée Miss Gabon 2012 ce jeudi au terme d’une soirée mémorable à la Cité de la Démocratie. Elle devance Mlles Channa Divouvi et Cherolle Boubeya, 1ère et 2ème dauphines.

Agée de 21 ans et originaire de la province de la Ngounié, l’ambassadrice gabonaise de la beauté 2012 était avant son sacre miss Ngounié. Elle a déclaré, à cette occasion, vouloir devenir présentatrice de télévision ; elle ambitionnerait même d’ « être la Oprah Winfrey du Gabon ».

Celle qu’il convient désormais d’appeler « la plus belle fille du Gabon » a été déclarée grande gagnante de la soirée devant une assistance nombreuse par un jury exigeant composé de personnalités influentes notamment Samuel Eto’o, Daniel Cousin (capitaine des Panthères), Honorine Dossou Naki ou Arnold Djoud, entre autres.
Source gabonews.

L'homme punu 2011

Le concours de l'homme punu ne met pas en avant les critères politiques, mais plutôt les critères de compétences en faveur de l intérêt public. Ce n'est pas non plus un concours de popularité.
Beaucoup d'hommes et des femmes punu cette année avaient été nos favoris. Mais après une longue délibération l'homme punu de l’année est Séraphin Moundounga.

Il a été choisi l'homme punu de l’année pour les résultats obtenus au sein du département de l’éducation nationale, il a su impulser les reformes nécessaires pour que le niveau de notre éducation change, dans un département miné par le clanisme, les grèves intempestifs, la fraude à grande échelle.

Il a su mobiliser le gouvernement pour répondre a certaines doléances des enseignements dudit département.

Âpres d’énormes travail les résultats du Bac qui étaient autour de 4% sont remontes à En effet , alors qu'en 2010 le taux de réussite au baccalauréat n'était que de 06,01% d'admis d'office(952 sur 16068 candidats), la session du baccalauréat en 2011 a enregistré une nette amélioration, passant à 13.91% du taux d'admission au premier tour, soit 2546 admis d'office sur 18572 candidats.

Au niveau de l'admissibilité , on est passé de 30,18% en 2010(4581 admissibles sur 16068 inscrits), à 38,11% en 2011 ( 6975 admissibles sur 18572 inscrits).

Plus intéressant, le taux de candidats ajournés dès le premier tour a considérablement diminué, passant de 63,80% en 2010 à 47,97% en 2011. Cela peut présager la possibilité d'atteindre un taux global d'admission au baccalauréat 2011 approchant 50% après le second tour, si toutefois les candidats admissibles abordent ladite phase avec le moins possible de stress et beaucoup de sérénité.

Monsieur Moudounga a su se montrer ferme et conciliant avec les partenaires de notre appareil éducatif, nous sommes conscients que le chemin qui reste à faire est encore long, mais nous apprécions l'entame de son travail.

Il a su assainir les mœurs au sein de ce département.

Il a fait adopter à l'assemblée un ensemble de lois portant sur la reforme de notre éducation.

Moudounga Séraphin est élu par Dungandzi l'homme punu de l'année 2011.

Académie culinaire de la Nyangou propose pour le réveillon 2012

Côte de Bœuf Dessosé aux trois poivres

Soupe au Pistou

Potage Germiny
Vélouté de Potirons de Cèpes au Genevière, Coulis d'Airelle Epicé.
Soupe à la jambe de bois.
Huîtres de la Banio frites à la villeroi

Poissons
Yara Saumoné aux poireaux sauvages
Aïoli de Morue
Goujons à la Cascamèche
Escalope de yara à l'oseille
Filet de sole aux Nouilles Fraiches
Foies gras
Les petits paté de Pezenas

Oiseau et volailles
Ortolans à la Robert Porte
Poulet Celestine
Poulet Lathuile
Poulet Marengo

Viande
Côte de Bœuf Dessosé aux trois poivres
Navarin Printanier
Gigot à la sept heures
Jambon en Saupiquet
Bouef Nynois
Poêlée fusil chasse.(Mechoui de couscous d'Agneau)


Légumes
Timbale de macaroni financière
Pommes soufflées
Les gnochi de la Mémé Forté

Desserts
Tartes Tartins
Mélon de Shéhérazade
Beignets d'Ananas
Pamplemousse Rose Confits

Passer le réveillion 2011 dans le Sud Ouest Gabon



Où dormir à TCHIBANGA?

FOYER DES SŒURS DU ROSAIRE Hôtels, hébergement,
catégories : Hôtels, hébergement
À côté de l’église
TCHIBANGA
Gabon
Tél : 06 61 35 37
Informations pratiques :
Chambres et dortoirs disponibles à partir de juin jusqu’à septembre. 5 000 FCFA.


COMPLEXE HOTELIER MODIBOTIE Hôtels, hébergement, TCHIBANGA
catégories : Hôtels, hébergement
Quartier Ibanga B.P. 185
TCHIBANGA
Gabon
Tél : 07 54 83 76
Informations pratiques :
Au carrefour en face du ministère des TP et des Grandes Endémies. Complexe hôtelier de bon standing : 20 chambres avec TV et climatisation, dont 1 suite (120 000 FCFA) composée d’un salon, d’une grande chambre, d’une salle d’eau et d’une ... voir + salle de bains, 5 chambres VIP à 41 000 FCFA, 24 chambres simples dont 1 avec baignoire à 26 000 FCFA.


Où dormir FOUGAMOU?
Hôtel Ngounié
Gabon
Tél : 07 54 43 99
A l’entrée de Fougamou au bord de la Ngounié. Il y a 10 chambres standard 20 500 FCFA, 4 chambres lits king size 25 500 FCFA et une suite présidentielle 80 000 FCFA. Toutes les chambres sont climatisées, TV, salle d’eau, W.-C. Petit déjeuner ... voir + 3 500 FCFA. Pour la restauration, prévenir le matin pour déjeuner ou dîner. Au menu, gibiers ou plats européens pour environ 10 000 FCFA.

MOTEL BEAU RIVAGE Hôtels, hébergement, TCHIBANGA
catégories : Hôtels, hébergement
Quartier Minzanzela au carrefour Saint-Joseph, à gauche, piste non goudronnée.

Gabon
Tél : 07 99 55 21
18 chambres. 3 ventilées 8 000 FCFA, 15 climatisées 15 000 FCFA. Prix négociables pour les groupes.


Le principal défi de Fougamou provient de la chaîne de montagnes Koumounabouali, un mile plus loin: il est devenu le lieu du dernier repos de quelques pilotes de brousse qui, par inadvertance se sont retrouvés dans des conditions IMC. Pour cette raison, les débarquements sont généralement effectués au sud, et les décollages vers le nord.
Il n'y a pas d'arrimage et l'endroit est accessible. Aucun plan de vol, pas de frais.

La ville est située à 5 km au nord. Taxis vous coûtera pour environ 1.500 francs CFA. (étranger).

Fougamou est une ville de 5000 habitants située sur la rive de la rivière Ngounié, au pied des montagnes Koumounabouali. Une demi oublié ville voies de Lambaréné à Mouila, Fougamou économie repose sur quelques silhouettes de bois tropicaux qui opèrent dans la région. Asphaltage de la route de Lambaréné devrait être achevé en 2010: ce sera mis Fougamou à moins de 5 heures de Libreville en voiture.

Hôtel (10mn de l'aéroport)
hôtel de la Ngounié et le restaurant, construit à la fin des années 1990.

Auberge de Samba-Magotsi (10mn de l'aéroport)
Centre-ville propre et confortable. Environ 15.000 francs CFA par nuit.

Mission de la Sainte-Famille (à 10mn de l'aéroport)
Propreté des chambres équipées de ventilateur. des tarifs abordables.

Où manger?
Brochettes, poulet grillé et la nourriture africaine disponible en plusieurs «maquis» de la ville. Les hôtels mentionnés ci-dessus sont aussi des restaurants.

Quoi visiter?
Lorsque la rivière Ngounié Fougamou atteint, il se tourne du calme à l'état sauvage. Les Chutes de l'Impératrice ('impératrice Falls »), près de la ville, valent une visite. Ils ont été découverts par l'explorateur Paul 19e siècle Béloni Chaillu du nom et de l'impératrice Eugénie, l'épouse de l'empereur Napoléon III. Les gens du pays croient un esprit vit dans la rivière et a créé les chutes d'eau pour empêcher les humains de la franchir.

MOUILA - VILLE (FOGM / MJL)

Comment est l’aéroport de Mouila?

l'aéroport de Mouila à une piste en dur, en bon état. Le parking peut facilement accueillir quatre avions de transport régional. L'aéroport a un opérateur AFIS et est ouvert de 0800 à 1600 LT, qui sont ses heures de travail; extensions au coucher du soleil peut être demandée par écrit avant midi au bureau de l'aéroport de Libreville. Gardez à l'esprit l'opérateur AFIS est mal formé, non surveillée, et ses radios sont souvent en panne: ne pas trop compter sur lui ...

Un bâtiment terminal belle datant de 2003 est sous la responsabilité de l'exploitant AFIS qui l'ouvrira pour vous si vous en avez besoin. Il s'agit essentiellement d'un terminal passagers réguliers, mais il y a aussi une petite salle VIP qui a un des canapés AC. L'aéroport est normalement accessible; s'ils passent la nuit, c'est une bonne idée de demander à l'opérateur AFIS pour un veilleur de nuit. Aucun dépôt de plan de vol doit quitter Mouila, bien que les plans de vol normalement circulaire sont déposés à Libreville pour les vols retour. Les frais d'atterrissage pour Mouila sera facturé par le bureau de l'aéroport de Libreville.

La ville est située à environ 2 km au sud de l'aéroport, le trajet en taxi de 5 minutes sur la belle route pavée peut être négocié pour environ 1500 francs CFA.

Avec environ 16.000 habitants, Mouila est la capitale de la province endormie Ngounié du Gabon. Il se trouve dans une épaisse forêt sur les rives du fleuve Ngounié. La zone a été découvert en 1858 par l'explorateur français Paul du Chaillu du, qui a donné son nom à la proximité des montagnes.

Gendarmerie (police militaire): + (241) 86 11 50
Hôpital: + (241) 86 11 46 (Lambaréné à proximité des installations a beaucoup mieux, si)
Pharmacies (Mukemi): + (241) 86 13 96; (Socoma): + (241) 86 13 88
Aucune banque.

Où dormir à Mouila?

Hôtel Mukab (5mn de l'aéroport)

C'est le nouvel hôtel de Mouila, ouvert en 2009 par un ancien homme politique gabonais dans une de ses villas. La résidence offre une douzaine de chambres, toutes très propres et joliment meublées, réparties autour d'un jardin exotique. Télévision par satellite et la climatisation. Vous pouvez boire un verre sur la terrasse du bar et le restaurant sert de la nourriture décente. Dans l'ensemble, le meilleur choix à Mouila pour le moment. (2010)

Hôtel le Lac Bleu (10mn de l'aéroport)
PO Box 34 - Mouila
Tél: + (241) 86 10 96
Les vestiges pathétiques de l'ancien Novotel Mouila est là. Rien n'a été maintenue, mais certaines chambres ont encore à l'air conditionnair. La propreté est aléatoire. Le restaurant sert la nourriture de base, selon que le cuisinier est allé au marché ce jour-là ou non. Night club. Prix de chambre commencent à partir de 18.000 francs CFA par nuit. (2009)

Où manger?
Restaurant la Métisse..

Il n'y a pas beaucoup à faire à Mouila, vraiment. Le seul élément digne de mention est le Lac Bleu ("Blue Lake") à environ un kilomètre de la ville, qui a une couleur bleue très rare.
Source d'infos le margouillat

Dix idées pour le réveillon de fin d'Année




Le sanglier
Les bananes douces

Le follon

Poissons frais aux légumes
Poisson au chocolat
Le sanglier
Boulette des taros

Le style punu 2012 Africa Boogaloo

Il était une fois Mackjoss et Ama Touré qui allaient latinizer le monde,
avec leurs musiques, la mode Afro cubaine est de retour sus le nom Africa Boogaloo, mode blanc et noir, motifs petits poix ou pieds de porcs. La mode Afro-cubaine c'est l'esprit de la créativité, penser avec nos cervelles et créer avec nos mains, refuser la dépendance économique occidentale, avoir un esprit d'entrepreneuriat



Amara Touré et Mackjoss



Amara Touré : Originally from Guinea, he was a member of the Tropical Jazz orchestra in Dakar in the early 1960s and was involved in the formation of the Star Band. Subsequently he was in the line-up of Dexter Johnson's Superstar de Dakar which can be heard on the magnificent Dakar Sound CD's DKS 016 and DKS 017. According to the liner notes he can be heard singing the lead vocal on St. Louis Sierra (DKS 017).
Apparently he ended up in Gabon in the 1970s. He teamed up with orchestre Massako "des F.T.N. du Gabon" (the army?) of Mackjoss (real name Mackaya Jean-Paul), one of the key figures in the Gabonese music scene from the 1960s on to the 1980s, and also a man with a taste for Afro-Cuban music (he is reported to have played with Sonora Matancera in Burkina Faso in the 1980s).

Projet 2012 TV massanga et Molvinois sur le Web

Mon message aux députés de la majorité présidentielle

Vous aviez fait votre campagne sur la base que si on ne vous votait pas il n'y aura aucune réalisation.

Maintenant chers députés on attend:
La route Mayoumba Tchibanga
Le port de Mayoumba en eau profonde
Les exploitations agricoles
La réalisation de l'université de Mouila
L’école des mines de Tchibanga
L’école de polices de Mayoumba
L'ENA à fougamou
L’électrification de la région

Si rien est fait je ferais une mauvaise propagande jours par jours contre vous.

Rappel
Ngounié
Au titre de ces mesures figurent le renforcement des capacités opérationnelles de l’Administration par l’octroi des véhicules comme dans d’autres provinces, les travaux d’adduction d’eau potable à Ngouassa (Fougamou) et Massika, la construction d’une microcentrale de 8 MW à Dibwangui pour renforcer la capacité de la production de la vallée de la Louetsi et suppléer l’ouvrage de Bongolo en déficit .
EAU ET ELECTRICITE DANS TOUTE LA PROVINCE
Il y a aussi, la construction d’une microcentrale hydroélectrique de 450 KW sur la rivière Bibaka à Malinga, la ligne de transport d’énergie électrique associée en vue de sécuriser l’alimentation en électricité de cette localité et des villages environnants. Elle permettra surtout de substituer la production thermique par une production hydraulique plus respectueuse de l’environnement.
A Mbigou, la réhabilitation de la microcentrale va de ce fait apporter la puissance installée de 340 à 500 KW.
LE RESEAU ROUTIER
« Tout au long de ma tournée dans la province, j’ai pu apprécier les efforts importants consentis par l’Etat en vue de donner à la Ngounié un réseau routier carrossable en toute saison », a dit le Chef de l’Etat en précisant toutefois que « cet effort va se poursuivre dans le but de connecter davantage la Ngounié aux autres provinces du Gabon, notamment l’Ogooué Lolo et la Nyanga ainsi qu’une connexion vers le Congo dans le cadre de la route transafricaine (Route Ndendé-Mouila, Ndendé-Doussala, Ndendé-Tchibanga, Mbigou-Popa) ».
AGRICULTURE
Selon le Président de la République, la création d’une palmeraie dans la région de la Ngounié, résultat d’un partenariat entre l’Etat gabonais et une entreprise vise à valoriser les immenses étendues de plaine de cette région. Le développement des palmeraies s’inscrit dans le cadre de la mise en place d’un « corridor », partant de Mayumba et devant rejoindre la voie du chemin de fer Transgabonais.
Le Chef de l’Etat a indiqué que les travaux qui vont démarrer avant la fin de cette année sont une première réponse au chômage des jeunes.
Convaincu, le Chef de l’Etat a estimé que la multiplication des projets de cette envergure permettra de rentabiliser les investissements lourds de l’Etat dans le domaine des infrastructures dans la province.
Aussi, a-t-il décidé de la réouverture à Ndendé de l’Ecole Nationale Vétérinaire, du lancement des études pour la création d’un port sec dans la même localité ainsi que de la réouverture du Bureau des Douanes de Doussala dans le département de la Dola, proche du Congo voisin.
Le présent Conseil des Ministres délocalisé de Mouila intervient après Franceville, Lambaréné, Koulamoutou, Tchibanga, Makokou, Oyem et Port-Gentil.
La tournée républicaine dans la province de la Ngounié a permis au Chef de l’Etat de toucher du doigt les réalités profondes de la région qu’il a jugé identiques à celle des autres provinces visitées.
Nyanga
S’AGISSANT PLUS PARTICULIEREMENT DE LA PROVINCE DE LA NYANGA
A l’issue du périple du Président de la République Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA dans les différents départements, les projets ci-après seront réalisés dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des populations :
1. Les programmes de lotissements de deux sites :
- l’un à Pola d’une superficie de 23 hectares, avec 231 parcelles attendues et
- l’autre à Minkouelengui pour une superficie de 20 hectares, avec 216 parcelles attendues ;
2. Le lancement des études d’aménagement en béton bitumineux de l’axe Mabanda-Moulengui-Bindza ;
3. Le lancement des études du barrage Iroungou sur la Moughalaba ;
4. Le programme de renforcement d’hydraulique villageoise ;
5. Conformément à l’accord signé entre le Gouvernement et Olam International, la création d’une palmeraie industrielle devant faire du Gabon, à terme, un des acteurs importants sur le marché mondial des produits oléagineux.
Le projet comporte un volet des plantations villageoises qui vise à promouvoir l’émergence d’une classe d’entrepreneurs locaux.
Il intègre par ailleurs la réhabilitation des unités de production et d’exploitation des palmeraies existantes dans la province ;
6. Le rétablissement de la couverture radio et télévision sur l’ensemble de la province, pour permettre dans l’immédiat de suivre la CAN 2012 et d’être lié au reste du monde ;
7. Le renforcement des capacités opérationnelles de l’administration par l’octroi de 24 véhicules aux préfets et sous-préfets, aux Forces de Défense et de Sécurité ;
8. En ce qui concerne les fêtes tournantes 2002 et 2008, tous les chantiers qui ont connu un début d’exécution seront poursuivis et achevés.

Les projets prévus, mais non encore lancés seront quant à eux inscrits dans le programme de développement du Gouvernement et réalisés dans ce cadre.
Tous ces investissements contribuent au développement intégré de la Nyanga et des provinces environnantes.
Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres a loué l’initiative de Madame Sylvia BONGO ONDIMBA, Première Dame du Gabon, qui a lancé en partenariat avec l’établissement de micro-finance LOXIA EMF, filiale de la BGFI Banque, le Fonds AKASSI, mécanisme de microcrédit.
Ce Fonds a pour objectif de permettre aux personnes économiquement faibles de créer ou de développer des activités génératrices de revenus, en leur facilitant l’accès au crédit et à l’épargne.

Le programme de la Nyanga et la Ngounié

  1. Le commerce(muteti), créer un environnement d'affaires propices.
  2. Éducation, l'ouverture des écoles et universités( Université de Mouila)
  3. Énergie, contrôler nos ressources énergétiques.

La nouvelle économie

La nouvelle économie est base sur l’agriculture, l'artisanat et le digital, nos avons besoin de développer notre agriculture L'artisanat embauche plus de 20 0000 personnes en Tunisie , essentiellement groupe dans la fabrication des tapis. Nous devons mettre en place les métiers comme:
- la maroquinerie,
-bijoutiers,
- les métiers des bouches tels que charcuteries, 
-fabriques des jambons ,
- saucisses , couture,
- fabrication des textiles, 
-sculptures, 
-objets de décorations, 
-menuiserie,
- ébénisteries, 
-merceries, 
-ferronneries, 
-cosmétiques, 
-décorations etc...

DIFFÉRENTES APPROCHES DE LA SANZA

Les lamellophones

* Introduction
* Description de l'instrument
* Différentes approches de l'instrument
* Ailleurs
* La mbira, instrument de musique du peuple shona
* Discographie



1. AFRIQUE NOIRE



Il semble que le piano à pouces soit joué un peu partout en Afrique noire. Du point de vue discographique, c’est d’abord par le biais d’enregistrements ethniques réalisés pour la plupart par des collecteurs que nous pouvons nous faire une idée de l’ampleur du phénomène. D’un autre côté, certains artistes africains ont puisé dans leurs traditions et ont intégré les lamellophones au sein d’une musique plus actuelle.

A. MUSIQUES TRADITIONNELLES ETHNIQUES



Difficile de parler des lamellophones dans les traditions africaines sans évoquer la place qu’ils jouent dans la société de chaque peuple. Chaque peuple aborde l’instrument selon des points de vue sociologique et ethno-musicologique spécifiques. Nous allons examiner deux premiers exemples pour clarifier ces pratiques différentes avant d’observer en détail un autre cas représentatif. Il y sera question du lamellophone le plus sophistiqué: la mbira, emblème du Zimbabwe.

Exemple 1 : Les chants à penser accompagnés par la sanza chez les Gbáyá.

L’ethnie Gbáyá a pour territoire la moitié de la partie occidentale de la République centrafricaine et une portion de la partie orientale du Cameroun. En pays Gbáyá, tout le monde chante, danse et peut jouer d’un instrument de musique. Certains atteignent la virtuosité qui est certes appréciée, mais n’est jamais mise pour autant en avant. Personne ne s’autorisera à juger la qualité d’un chanteur, même si celui-ci chante plus ou moins faux.
Dans la tradition Gbáyá, il existe divers types de chants (gima) qui sont liés à autant d’activités: berceuses, chants de divertissements, chants de chasse, chants de deuil… Ici, il est question des chants à penser. Il s’agit d’un répertoire d’hommes où mélodie vocale et mélodie instrumentale sont conçues comme bien distinctes, même si elles sont liées. Ce répertoire est chanté seul ou en petits groupes. Cela nécessite une instrumentation qui fait appel en premier lieu à la sanza.
Pour une exécution en groupe, les musiciens ajoutent une seconde sanza beaucoup plus grosse et plus grave que la première. Un hochet et des bâtons entrechoqués complètent l’instrumentation.
La musique développée dépend étroitement d’une situation de jeu, et reste par là même difficile à définir. En effet, le jeu de l’instrument influence la réflexion du musicien ou d’un autre participant. Le chanteur trouve dans la mélodie de sanza et dans l’ambiance du moment un thème de réflexion qui le pousse à chanter, improvisant des paroles et des syllabes sans signification.
Le terme gima ta mon, chant à penser, s’applique au genre dans son ensemble, qu’il soit instrumental ou chanté, puisque c’est la mélodie jouée qui inspire et entraîne le chant. On trouve dans ce répertoire des chants ou musiques de route (mango) qui accompagnent la marche, des chants qui parlent d’amour et de solitude, des musiques de danse… Les chants à penser sont des musiques intimistes très calmes et d’une grande musicalité.

Exemple 2 : Les lamellophones en République démocratique du Congo (ex-Zaïre)

En République démocratique du Congo, dont la population appartient en majorité au groupe bantou, il est difficile de faire le point sur la question des likembés ou sanzas, vu le nombre de populations différentes.
Principalement, il existe des traces claires sous forme d’enregistrements discographiques de lamellophones chez les Nande, les Shi, les Mangbetu, les Pygmées Bambuti, et les Pygmées Efe. En général, c’est uniquement à l’époque où ils vivent dans les villages, à l’orée de la forêt, que les pygmées jouent du likembé. Le reste du temps, la vie nomade leur impose de se charger le moins possible et les seuls instruments qu’ils utilisent sont des instruments éphémères comme des arcs musicaux qu’ils fabriquent sur place et abandonnent lorsqu’ils changent de campement.
Peu d’objets ethnographiques peuvent être ravalés à un rang aussi bas et jouent un rôle aussi peu occultant que la sanza en République démocratique du Congo. Elle ne semble participer à aucune cérémonie secrète, ne tient que très rarement un rôle dans une parade. C’est au contraire l’instrument de plein jour, l’instrument de solitude. Aucun rôle sociologique marquant n’est tenu par elle, si ce n’est sa participation à certaines danses, aux fêtes pour donner le rythme, en voyage pour soutenir la marche, la nuit pour que les sentinelles restent en éveil. La sanza a donc un rôle modeste, elle n’a pas les honneurs rendus aux instruments bruyants et puissants, mais elle reste confinée dans son rôle de producteur de musique intime qui a trait plus à un divertissement, à un passe-temps. Cet instrument est tombé en défaveur dans les danses depuis assez longtemps au profit de la guitare.


B. MUSIQUES TRADITIONNELLES ACTUALISÉES


Certains artistes africains ont voulu mettre à l’honneur les lamellophones et les faire sortir de leurs carcans traditionnels. Le premier exemple en date est celui d’Antoine Moundanda, figure importante de la musique zaïro-congolaise urbaine qui, au début des années 50, a formé le groupe Likembé Géant. Ils utilisaient trois likembés géants et jouaient de la rumba congolaise, des polkas et de la musique traditionnelle. On peut citer l’exemple bien plus récent de l’Ougandais Geoffrey Oryema, déniché par l’équipe du label Real World de Peter Gabriel, qui a impressionné beaucoup de gens lors de ses nombreux concerts en s’accompagnant au lukémé, piano à pouces issu de sa tradition.
Outre ces deux artistes, ne pas oublier Francis Bebey et Hukwe Zawose, deux personnalités importantes de la culture africaine qui méritent une attention particulière. En effet, on peut les considérer comme des passeurs qui, à travers leurs albums, leurs concerts et parfois même leurs écrits, ont fait découvrir à un plus grand nombre cette percussion intimiste qui fut longtemps ignorée, occultée par les percussions africaines plus puissantes.
Enfin, il faut souligner la démarche originale de Konono N°1, un groupe congolais qui tourne beaucoup en Europe.


1. Francis BEBEY (1929 – 28 mai 2001)


Écrivain, compositeur, romancier, guitariste, journaliste, philosophe, musicologue, ciseleur de textes et fin musicien, le Camerounais Francis Bebey fut l’un des pionniers de la world music. Il a été l’un des premiers à faire monter sur scène la sanza qui est, selon lui, l’une des plus jolies inventions musicales des Bantous qui connaissent cet instrument depuis la nuit des temps. La sanza, instrument du marcheur, du conteur, était faite pour Francis Bebey. Tout au long de sa marche autour du monde, il en jouait merveilleusement et (ra-)contait avec elle les légendes de la création du monde. Dans le conte intitulé Africa Sanza, il affirme que, grâce à une sanza, «Nyambé» (Dieu) a pu éviter la mort par ennui et créer l’univers.
Francis Bebey a étudié différentes traditions musicales africaines et les a mélangées. Au sein de ses enregistrements, il inclut souvent des lamellophones. Il ira même jusqu’à leur consacrer plusieurs albums entiers. La particularité de ces enregistrements, c’est que Bebey mélange les rythmes et les sonorités du piano à pouces avec d’autres instruments ethniques tels que la flûte pygmée et diverses percussions mais aussi, et surtout, avec des instruments actuels comme le synthé ou la basse électrique: une fusion qui respecte les traditions dans lesquelles il a grandi.


2. Hukwe ZAWOSE (1938 – 30 décembre 2003)


Hukwe Zawose fut l’ambassadeur musical de la Tanzanie par excellence : éducateur, fabricant d’instruments, fervent défenseur de la culture de son pays, et surtout chanteur charismatique et musicien hors pair qui a permis au monde entier de découvrir la musique de son peuple: les Wagogo, originaires de la région aride de Dodoma en Tanzanie centrale.
Après s’être produit pendant près de vingt ans dans le monde entier, Hukwe ne s’adressait encore qu’à un public averti d’aficionados de world music. Jusqu’au jour où Peter Gabriel décide qu’il est grand temps pour cet artiste d’élargir son public.
Gabriel avait déjà édité Chibite (1996), premier opus international de Hukwe Zawose. Sa musique y était encore très proche des traditions des Wagogo et mettait en valeur le son stupéfiant des lamellophones chilimba et ilimba. L’ilimba de Zawose est particulier en ce sens qu’il y a inclus entre soixante-six et septante-deux clés accordées dans une tonalité juste, dont beaucoup de celles-ci sont utilisées en tant que résonance sympathique.
En 2000, Peter Gabriel propose alors au producteur et instrumentiste canadien Michael Brook de collaborer avec Hukwe Zawose pour réaliser un projet consacré à la musique tanzanienne traditionnelle et au talent unique de cet artiste, avec des arrangements et des sons accessibles à un plus large public. Assembly, le fruit de cette collaboration, mêle savamment la poésie et la finesse des mélodies wagogo avec un funk futuriste, résultant de l’association entre une formation traditionnelle et les technologies numériques.


3. Les likembés de KONONO N°1


À Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, on constate un phénomène particulier: celui des «Musiques urbaines». Des orchestres s’y sont formés pour animer chaque événement ou fête familiale. Lorsqu’un deuil survient dans une famille par exemple, l’orchestre doit être là pour «faire le prestige de la tribu» et il jouera sur les lieux avant l’enterrement et après. Plus il jouera (une semaine parfois), plus le prestige sera grand.
La plupart de ces orchestres utilisent principalement des likembés, le tout accompagné par une section rythmique plus moderne. Ces likembés sont trafiqués, c’est-à-dire qu’on leur a adapté des micros «déments» afin de leur donner des sonorités saturées.
Konono N°1 existe depuis près de vingt-cinq ans. Ce groupe est certainement celui qui a le mieux porté cette révolution de la musique urbaine. Empruntant largement aux musiques de transe bazombo, le groupe va pour la première fois se faire entendre des ancêtres à l’aide de micros faits maison avec des pièces mécaniques de voiture, des aimants de récupération et des fils de cuivre, s’aidant à l’occasion d’un lance-voix (une sorte de mégaphone). C’est là le secret de la «toute puissance», celle qui relie ces trois petits instruments (un aigu, un médium, un grave) aux six haut-parleurs de 175 watts connectés en série. L’électrification de fortune a provoqué une mutation radicale du son, introduisant des distorsions peu à peu intégrées. Malgré sa puissance dansante capable de conquérir le moindre dancefloor gavé de sonorités électroniques, Konono N°1 reste un groupe traditionnel.
Un jour, cette étrange et puissante mixture sonore a dépassé les frontières de Kin la Belle grâce à un enregistrement amateur diffusé par la radio zaïroise. Bernard Treuton, réalisateur à Radio France, l’entend. Cet amoureux du son décide d’enregistrer ce drôle d’orchestre. Quelques années plus tard, un producteur belge passionné de musique congolaise, Vincent Kémis, entend son émission et décide de retrouver Konono N°1 pour les enregistrer à son tour. Depuis, Konono N°1 tourne un peu partout en Europe, et surtout en Belgique.

L'histoire de la sanza

Chez les Gbayas de Centrafrique, "on ne 'fait' pas de sanza, on s'en sert." L'instrument ne suscite aucun respect, ou égard particulier. C'est plutôt un passe-temps, ou un exercice de dextérité. Les "chants à penser", sont accompagnés par un son ténu, qui ne surpasse en aucun cas le volume des paroles. Ces chants d'amour murmurés et très personnels (collection Ocora/Radio France), s'adressent souvent comme à distance à la femme absente, éloignée ou indifférente, et la sanza n'est là que pour en souligner l'ambiance intimiste. (Chants à penser Gbaya, par Vincent Dehoux.).



timbre du Zimbabwe

Sanza Gabonaise

Au Gabon, la sanza peut être jouée seule, ou en petits ensembles de deux ou trois instruments. Les techniques employées sont également très variées, et débordent de petites astuces comme celle du tremollo/ vibrato, exécutée en bouchant et débouchant rythmiquement l'ouverture de son avec le doigt, créant ainsi des oppositions de timbre.
Cependant, l'importance des paroles et des refrains y reste capitale, et la musique de sanza se conçoit en rapport à elles.
Le hochet l'accompagne souvent, à l'instar du pluriarc, lors des danses de cérémonies rituelles, ou dans le cadre de son utilisation thérapeutique par le guérisseur, qui la considère comme un médicament de l'âme et du corps (Congo Brazzaville).
Réf: (Deux études sur la musique du Gabon, par Pierre Sallée).


La légende de Nyambé décrit le mythe de la création à partir des sonorités magiques de la sanza:


"In the beginning was nothing, neither light or darkness..."
Au début il n'était rien, pas même la lumière ou la nuit. Et Nyambé le créateur, s'ennuyait à pleurer. Alors il se fit une sanza.
Il joua alors d'une lame, et de ce son le soleil se leva.
Une autre donna naissance à l'homme, une autre à la femme.
Une autre encore à leurs enfants; et il en fût ainsi pour toutes choses qui peuvent aujourd' hui s'apercevoir à l'horizon.

Sanza Gabonaise

Le déclin de notre musique sanza?


Depuis des décennies on assiste au déclin de notre musique, prenons l'exemple du sanza qui a disparu de nos répertoires musicaux. Espérons qu'Annie Flore, les troupes artistiques, chorales chrétiennes mettent cet instrument traditionnel en valeur, très peux de punu savent de nos jours jouer cet instrument. Dungandzi se donne l'ambition de valoriser le sanza. Les personnes qui chantent dans cette vidéo sont Mboumba Patrice et Léontine.

News de Mossendjo

Mossendjo (département du Niari). Des talents artistiques qui meurent définitivement


Mardi 2 Août 2011 - 13:50


Mbouanda, la danse sur échasse pratiquée dans le département du Niari
Chants, comptines, contes…Habitée par près de six communautés ethniques, Mossendjo, dans le département du Niari, regorge d’énormes richesses culturelles. Mais, faute de support, ces potentialités sont en train de disparaître totalement. Ce, en défaveur des générations futures.

Un coup de massue pour les Bahulu Ba Niari (ancêtres du Niari, en langue punu). Un vide qu’on ne comblera jamais, quels que soient les miracles.
En début juillet de cette année, ce célèbre ensemble traditionnel de la commune de Mossendjo a perdu deux de ses membres talentueux. Il s’agit de Roger Nzambilanou, dit «Jeannot» et de Joseph Ipémosso, surnommé «Opémo», respectivement batteur accompagnateur de tamtam et chanteur. A Kanga, Popo, Koumou-Tsanga, Tsimba, Simba, Ngoua II, Marala, Pémo, Boungoto, Massanga et bien d’autres villages environnants, tout le monde semble accablé par la tristesse. Il en est de même dans les grandes villes congolaises où résident les ressortissants de Mossendjo et du district de Moutamba. «Comment me remettre de cette plaie que Opémo vient de laisser dans mon cœur? Lui qui aura contribué au rayonnement du groupe, dans les années 80?», s’interrogeait, le 3 juillet dernier, Ader Boussouhou, ancien président des Bahulu Ba Niari section Pointe-Noire. Gaétan Ibingou-Kouassi, un autre membre résidant dans la capitale économique, se demandait, le 4 juillet, entre deux larmes: «Ecoutera-t-on encore la voix aigue de Opémo? ».Tout au long de son histoire, Mossendjo a connu des griots, des compositeurs de chants traditionnels, des conteurs…Mais, aujourd’hui, aucune moindre trace de leurs œuvres n’est visible sur tous les documents. Vigouré, Makapa (I et II), Ipatsou, Ekengué, Ndol, Sirop, Sander et bien d’autres valeurs des Bahulu Ba Niari sont morts avec leurs talents. A l’heure où la jeunesse congolaise, en général, et mossendjoise, en particulier, est obnubilée par les produits culturels exotiques comme le «Coupé Décalé» ivoirien, le substrat culturel légué par les aïeux est en passe d’être dévoyé. Il faut surtout craindre qu’il disparaisse définitivement.

Ce phénomène est loin d’être la particularité des Bahulu Ba Niari. Les Bana Mwambé des Tsanguis, Mvoudi des Ndassa ou les Bambatsi Ba Congo des Kugnis n’ont pas, eux aussi, leurs œuvres sur supports. Si un artiste ne meurt jamais, comme cela a été universellement démontré, à Mossendjo, les artistes quittent cette terre, en emportant leurs œuvres dans les linceuls. Tout simplement, parce que leurs œuvres ne sont pas fixées sur des supports fiables, aux fins de leur conservation. «Si Makjos ou Didier Mombo (musiciens traditionnels Punu du Gabon, Ndlr), nous écouterons même cent ans après leurs chansons. Car elles se trouvent sur des CD, des cassettes et déposés dans différents centres de documentation. Ce qui ne sera pas le cas de nos artistes », soulignait, le 4 juillet, Lydiane Ndinga, ressortissante de Mossendjo, basée à Pointe-Noire. Il sera donc, à l’avenir, difficile de reconstituer le passé de ces ensembles musicaux, qui, à l’évidence, ont une part importante à apporter à la culture africaine. Il revient, donc, aux Mossendjois, notamment les cadres, de faire feu de tout bois pour que soient enregistrées les chansons traditionnelles de leur contrée. Comme les Bembés l’ont fait, à travers le groupe Kiburkiri. De même, les Vilis, dont les chants ont déjà traversé les frontières nationales, pour avoir enregistré les œuvres du groupe Bana B’Siane. De là à réaliser que les nouvelles technologies peuvent ou doivent favoriser l’éclosion de la tradition orale.

John NDINGA-NGOMA (La Semaine Africaine)

Coiffes punu hommes 2012

La Ngando
La chou chou Lazare
Les bipunu
L'Afro
La mohwak
Court chéveux
James Dean
La CI de Mouila
La Brian Halley
nyale tsi mbire
Cheveux court Murphy
Court cheveux Mario Balotelli
La crocodile Mario Balotelli

La divenda di maguena Mario Balotelli

Miss Nyanga



A-t-on des députés dans la Ngounié?

Comment peut on construire un barrage dans la Ngounié au chute Impératrice pour que l’Électricité aille servir Lambaréné et Libreville.

Quand on sait que la Ngounié est en proie à de nombreux délestages....

A-t-on réellement des députés dans la Ngounié?

Pourquoi les français nous gagnent?


Ils nous gagnent parce qu’ils nous empêchent de nous construire économiquement, intellectuellement, linguistiquement. On s'habille, mange du matin, midi et au soir français, on parle la langue de Molière.

C'est pourquoi les français se moque de nous éperdument et se permettre d'aller bombarder ne résidence Africaine en plein jour..

Aucun manuel en Mitsogho , Masangou,Apindji,Punu sont utilise à l’école primaire, pourtant ce ne sont pas les textes, histoires et devinettes qui manquent...Frère bajag refusons ce nouveau esclave du néocolonialisme français.

Les pays qui se sont développés , tous ce sont développés en s'appuyant dans leurs cultures . Le cas du Japon, la Chine , Brésil, Indian et la Corée...En Afrique: Botswana, Afrique du Sud et Angola etc....