Pourquoi les français nous gagnent?


Ils nous gagnent parce qu’ils nous empêchent de nous construire économiquement, intellectuellement, linguistiquement. On s'habille, mange du matin, midi et au soir français, on parle la langue de Molière.

C'est pourquoi les français se moque de nous éperdument et se permettre d'aller bombarder ne résidence Africaine en plein jour..

Aucun manuel en Mitsogho , Masangou,Apindji,Punu sont utilise à l’école primaire, pourtant ce ne sont pas les textes, histoires et devinettes qui manquent...Frère bajag refusons ce nouveau esclave du néocolonialisme français.

Les pays qui se sont développés , tous ce sont développés en s'appuyant dans leurs cultures . Le cas du Japon, la Chine , Brésil, Indian et la Corée...En Afrique: Botswana, Afrique du Sud et Angola etc....

Extrait d'un article Ikokou au Congo

Abstract:

Among the Punu of Congo-Brazzaville ikoku dancing is perceived through the concept of joy. In line with the privileging of the emotional experience, this article intends to consider the dance as an emotive institution – that is, a socially organized activity that creates culturally meaningful forms of emotion within which an understanding of self, as well as social identities and relations, are shaped. In ikoku, a succession of dance sessions, embarked on with shame-banishing pride and performed individually or as a couple, awakens a shared joy. Through the dance patterns and idiom, this joyful dancing is connected to the fecundating sexual encounter and to the activity of fishing, linking the dance world to the life-bearing water spirit world. The joining of sexual differentiation and maternal containment that in this way is enacted and deeply experienced by the participants – if the event succeeds in awakening joy – supports basic structures of Punu rural society characterized by the tension between conjugal relations based on a patri-virilocal principle and matriclanic belonging. The emphasis that our analysis places on the dance form itself, and on the shared joy in dawning fertility it evokes, also proves to be fruitful in understanding how ikoku dancing persists in changing contexts – and even in urban ones.

Résumé:

Chez les Punu du Congo-Brazzaville, la dance ikoku est perçue à travers le concept de joie. Cadrant avec le privilège d'expérience émotionnelle qu'offre la danse, cet article entend considérer la danse comme une institution émotionnante, autrement dit une activité socialement organisée qui crée des formes d'émotions culturellement significatives dans lesquelles se modèlent une compréhension du soi, ainsi que des identités et des relations sociales. Dans l'ikoku, on s'adonne seul ou en couple, sans complexe, à des séances de danse successives qui éveillent une joie partagée. À travers les schémas et l'idiome de la danse, cette danse joyeuse est liée à la relation sexuelle fécondante et à l'activité de pêche, reliant le monde de la danse au monde des esprits de l'eau porteuse de vie. L'alliage de différenciation sexuelle et de confinement maternel que les participants interprètent et ressentent profondément ce faisant, à condition que l'événement parvienne à éveiller la joie, soutient les structures de base de la société rurale punu caractérisée par la tension entre relations conjugales basées sur un principe patrivirilocal et appartenance matriclanique. L'accent mis par l'analyse sur la forme de danse elle-même, et sur la joie partagée de la fertilité naissante qu'elle évoque, s'avère également utile pour comprendre la persistance de la danse ikoku dans des contextes changeants, même urbains.

Film France Afrique fait par les Gabonais.

Vous comprendrez que les bajags ce sont toujours battus pour l'indépendance de notre pays.Les bajags n'ont jamais été complexé par les blanc.
Nous sommes battus pour l’indépendance du Gabon, nous avons lutté contre l'armée impérialiste française en février 1964, Hommage aux combattants de la liberté, qu'il soient bajag ou pas sous la direction du lieutenant Jean Jacques Mombo.




L'histoire de Ndendé

Ndendé (sud), 16 juin (GABONEWS) – Arrivée à Ndendé dimanche soir, la caravane la Provinciale du cinquantenaire (équipe 4, centre-sud), conduite par le chef de délégation du groupe 2, Edgard Dziembi Doukaga a sillonné pendant deux jours l’ensemble de cette localité pour rencontrer les témoins de l’histoire et de l’évolution de Ndendé dont la présence des colons Français remonte à 1913 a déclaré le préfet du département de la Dola, Delphin Mouity Yembit, lundi dernier dans le bâtiment abritant ses bureaux.

Dès l’année 1913, Ndendé a été érigé en Poste de contrôle administratif (PCA) et dirigé par Bernard Lacombe, commandant d’un détachement militaire français. Il fut ainsi le premier administrateur de cette localité.

De 1913 à 1960, 47 ans durant, Ndendé à fonctionné comme Poste de contrôle administratif avec une vingtaine de personnes qui se sont succédée, a-t-on appris du préfet.

C’est en 1960 que la localité sera transformée en District, c'est-à-dire en sous-préfecture. Cette sous-préfecture va avoir pour premier patron, monsieur Olélé Martial. C’est lui qui aura eu l’honneur de présider la célébration de l’indépendance du Gabon à Ndendé en 1960. De 1960 à 1976, la localité aura eu à sa tête 18 sous préfets.

Seize ans plus tard, Ndendé va passer de sous-préfecture à préfecture avec, en 1976 Jean-Joseph Nzamba Nzamba. Et de 1976 à 2010, une dizaine de préfet ont dirigé cette ville carrefour notamment l’actuel préfet, arrivé le 16 janvier 2005.

Situé à 76 km de Mouila, sa capitale provinciale, également sa limite du nord, et à 48 km du Congo, sa limite sud, Ndendé est habitée par deux ethnies principales notamment les Nzebi et les Punu. Toutefois, a précisé le préfet, la ville accueille d’autres composantes ethniques ainsi que de nombreuses autres nationalités dont les Congolais, les Camerounais, les Béninois etc.

La superficie du département est 3065 km2 et subdivisée en deux cantons: le nord sur l’axe Ndendé/Mouila avec six regroupements de village de près de six ans habitants. Le second canton est celui du sud comprenant les axes routiers Ndendé/Tchibanga, Ndendé/Congo et Ndendé/Lébamba. Ce canton contient sept regroupements de village pour une population de 1097 habitants.

A ce jour, Ndendé fonctionne avec plusieurs administrations dont la Documentation, la Gendarmerie, la Poste, le Trésor, la santé, l’Education, l’Agriculture, le service Social, les Eaux et Forêt, les Travaux publics, la SEEG, les collectivités locales ainsi que quelques opérateurs économiques, expliqué Delphin Mouity Yembit.

Ndendé présente des potentialités touristiques telles que l’a démontré le préfet en évoquant une forte présence des lacs et de nombreuses grottes situés dans les villages du département. Aussi, a-t-il ajouté, la localité est arrosée par d’importants cours d’eau dont la Dola qui donne son nom au département.

« Malheureusement, malgré l’histoire riche de cette localité dont l’un des fils en la personne de feu Paul-Marie Yembit a été un compagnon fidèle et Vice-Président de la République du feu Président Léon Mba, reste une ville « oubliée » par les plus hautes autorités », ont déclaré de manière unanime les notables, visiblement déçus du sort de leur localité.

GN/LDN/DCD/10

Le projet de la nouvelle région.

Le projet du développement de la nouvelle région passe aussi par la renaissance de notre culture. Cette renaissance ne peut se faire sans industries, sans hommes de génies, sans artistes, sans artisans,sans routes, sans agriculture,sans musés et sans grandes écoles et universités. La mise en place d'un festival de Jazz, soûl et de blues. C'est aussi le sanctuaire de la cuisine raffinée et de l'architecture contemporaine mixée avec le traditionnel.... La création d'un centre d'excellence pour l'éducation, la recherche, d'un pôle agricole et touristique.

Les guerriers bajags

Rappelez vous de:

Mbombet-A-Nyanguè chef des tsogo, révolte 1903
Kassa Maviri le chef des Boukoulou déporté à Bangui 1906,
Binga batu le chef des Banda pointes mort en 1910,
Mavurulu Ma Nziengui le chef de la révolte de Mocabe mort en 1913,
Mueli Mukagny, révolte de Mocabe.
Manduku-ma -Mukagny,révolte de Mocabe.
Ntsiengui-Mfudu, révolte de Mocabe révolte de Mocabe.
Nza Mbadinga révolte de Mocabe .
Mwéné Mikoundou chef Baloumbou de la subdivision de Mayoumba mort en 1906,
Mwéné Tchidounga le chef aveugle de Bilanga,
Makaka Milongo le chef de terre de Moukongou.

Le sport

Vendredi, 13 Mai 2011 1

Match amical entre la Ngounié et la Nyanga, 5-1 à Mouila.

Les joueuses de G4 plus fortes que leurs adversaires de G5

Au lendemain des 48e et 49e congrès de la Fédération gabonaise de football (Fégafoot), un match de football féminin a eu lieu dimanche 1er mai dernier au stade municipal de Mouila entre l’équipe féminine de la Ngounié (G4) et celle de la Nyanga (G5). Certes, cette rencontre, disputée devant notamment le président de la Fégafoot, Placide Engandzas, et le secrétaire général de l’Uniffac, Codjo Rawambia, était de niveau technique passable dans l’ensemble. Mais quelques joueuses, particulièrement Précilia Mboumba Nziengui de la Ngounié, se sont distinguées.


Mboumba Nziengui, au-dessus du lot au plan technique et physique, a planté trois buts de toute beauté aux 5e, 8e et 48e minutes. Sous la pression adverse, S. Ikapi de la Nyanga marque contre son camp (13e), mais Maganga sauve l’honneur de la Nyanga (45e). Lequel honneur, malheureusement, est souillé aussi par Nancy Mougola (45e). Score final : 5 buts à 1 en faveur de la Ngounié. Les capitaines Claude Bakita (Ngounié) et Fatima Moubouengou (Nyanga) ont reçu des mains du président de la Fégafoot, des ballons et des enveloppes.

Les équipes :
Ngounié : G. Koumba, L. Manfoumbi (Moupiga), C. Komba, Bouanga, Bingoumba (C. Mikolo), O. Nziengui, M. Soully (C. Ndonda), E. Mouyeghe (E. Maganga), P. Mboumba Nziengui, N. Mougola, C. Bakita (cap). Entr. : Dolivet.
Nyanga : A. Eyi, C. Mbadinga, J. Mengué (D. Massounga), C. Akeintte, D. Maroundou, V. Mounogou, O. Bignagni, F. Moubouengou (cap), S. Ikapi, R. Manomba (D. Ibondou), L. Maganga. Entr. : Ismaël OOssende.

Arbitre : Nziengui Iwangou, assisté de Raphaël Bibalou et Alain Mboutsou. 4e arbitre : Guy Serge Nguimbi. Commissaire : Morvan Pambou Bouassa.

Le SG de l'Uniffac, Léopold Rawambia (extrême droite), a assisté à la partie.

L'équipe de la Ngounié.

L'équipe de la Nyanga.

Quand une école ferme c'est un village qui meurt..

Une école ferme ses portes faute d’élève à 17 km de Mouila


IDOUMI, 17 km de Mouila (AGP)- Une école primaire est restée depuis la rentrée des classes (mi-septembre) les portes fermées faute d’élèves à enseigner à Idoumi , un village situé à 17 km de Mouila, capitale provinciale de la Ngounié (sud).


Depuis le mois de septembre, cette école publique construite il y a un peu plus d’un an et géré par le conseil départemental de la Douya-Onoye, n’a reçu aucun élève.

En 2010, l’unique instituteur affecté dans cet établissement s’était contenté de faire cours à ses enfants, les habitants du village ayant préféré les écoles des localités environnantes.

Dans ce village, où la population est plutôt vieillissante, la plupart des fonctionnaires affectés n’y résident pas. Ce qui a poussé les villageois à installer leurs progénitures dans les localités où elles peuvent bénéficier des services sociaux de façon régulière.

la reine de malongo

Autrefois il y a eu guerre entre le royaume Tékés et Kongo, pour la possession des mines de cuivres de Mindouli et probablement ceux du Boko Songho. L'Azinco aurait d’ailleurs attaqué ceux du Kongo au 14es date de sa fondation.

Les Tékés et Villi très tôt nouent des traites avec les Tékés qui leurs donnent accès aux produits de Pombo, aux mines de Mindouli et de Boko Songho. Les Bayaka et Kongo vont s'installer dans cette région au 16es, ce peuple se réclamant de Kongo Dia Ntokhila entre 1560 et 15665.

On assiste en 1570 aux premières invasions bajags qui auront pour conséquence de contraindre le roi Manikongo de faire appel aux portugais. Le royaume Kongo est ravagé par des hordes de guerriers connus sous les noms Jaga et que l'on dit venir de l’est au delà la rivière du Kuango un affluent du Kassai. Les Jaga prennent la capitale de San Salvador. Le Manikongo est obligé de se réfugier dans une île de l’estuaire et d'appeler l'aide du roi Portugual qui lui dépêche Francesco de Gouveiia à la tête de plusieurs centaines de Soldats. Les jagas seront pourchassés à travers le nord du Pays et certains d'entre eux seraient ont trouvé refuge dans la plaine du Niari Kouilou.

Selon Pigafetta le peuple Jaga vit comme des arabes et antiques nomades, faisant des incursions dans dans le royaume du Congo et se mettant à le piller, ils habiteraient aux environs du premier lac d’Égypte dans la province de l'Empire de Mounemugui.

Au 17es Le marché de Bukmeale ou Bokkémeale est fondé, Dapper dit que ce marché est tenu par les jaga qui chassent l’éléphant et fournissent l'ivoire qu'exporte le loango. C'est aussi chez les jaga de Bukkmeale que le Maloango qui n'entretient pas d’armée régulière va chercher les mercenaires quand besoin se fesait sentir.

Dupré soutient à la suite de Philippe Martin qu'en 1620 les vili de loango s'unissent au Yaka de Sibiti, pour monter à la demande de Manikongo une expédition contre les vungu(Bungu). cela recoupe une autre tradition que les Bajag ravagèrent les vungu(bungu) et après les Kongo. Âpres le sac de San Valdor en 1570 , les bajags se réfugient dans la vallee du Niari Kouilou encore tumultueux et incontrôlés ils font regener la terreur de 1575 a 1600 et se fixent peu a peu.

Les Jaga concluent une alliance entre Vili et Téké et fondent le marché Bukkémeale 1686.
L'alliance prend une forme commerciale, stratégique et militaire. Le Marché de Bukkemeale devient l’intermédiaire obligé des Téké Tyo du Pombo, par le relais des Téké Lali et des Vili du loango, il permet aussi d’écouler leurs propres productions d'ivoires .


En 1824 l'alliance entre Vili et Jaga assure à nouveaux la paix dans la vallée du Niari kouilou. qui n’hésite pas d'ouvrir au bajag l’accès aux mines de cuivres. De 16440 à 1660 les grandes voies de commerces sont à leurs apogées et le trafic s'intensifie à Bukkémeale ou les Jaga substituèrent la traites à celles d’ivoires.

Voir le Marché des valeurs Nyangou dikase.

Sources:
Dapper
Pigafetta
Annie Merlet

Le crédo du Bajag

Si impossible n'est pas camerounais, couardise n'est pas bajag.

Couardise: couardise, nom féminin
Sens Timidité, lâcheté, poltronnerie. Synonyme lâcheté

Les autres dans leurs mythes ont livré la fille au monstre pour conclure un traité de paix, tandis que les Mubwange nous enseigne , que nous les bajag, nous sommes allés récupérer notre sœur sœur chez le monstre dibur kassa, voici pourquoi le bajag est tenace, déterminé et courageux.

Nous avons dis non aux Blancs pour une autonomie au référendum de 1958.

Faire tout comme un BAJAG...

Le pur bajag est celui qui se distingue par sa façon d'être , de penser et de faire, il est un homme confident, il peut par moment se montrer belliqueux, si on le provoque.

Il parle toujours posément et articulé il aime discuter c'est un ibulu I miytsundu, il ne fait confiance qu'a lui même . Il ne se plaint jamais de travailler, mais il aime la justice. Il aime le bricolage. Il a toujours deux ou trois plantations, il a toujours des solutions de secours. Il n'a pas peur de l'eau froide. Son verbe préférer c'est"fixer" c'est un solutionneur.
Son art la petite forge et la sculpture. Son sport préféré c'est le ndel.

Il sait déguster un tsari sarmenteuse et piquante. Il est ok avec un taro grillé au cendre avec un café au lait Nestlé.

Généralement le bajag s'habille simple, parfois avec un fedora ou un chapeau ten gallons, Il brosse sa bouche avec les racines..

Sa philosophie c'est le muteti depuis que son ancêtre avait dirigé le plus grand marché régional de Bukkmeal il ne se passe pas du commerce. Si impossible n'est pas camerounais, découragement n'est pas bajag..

Il est aussi eco-friendly, il ne gaspille rien mais recycle tout, il respecte la nature.
Il aime collectionner les objets antiques car pour lui ce qui est rare est luxueux. Il collectionne les vieux chapeaux, voitures, radios, douk douk, photos et symboles du terroir.

Dans son je-m’en-foutisme il est très sophistiqué. Il porte toujours son douk douk même quand il s'agit d'aller dans les grandes fêtes ou il ne passe pas inaperçue avec son style barbier, ses jeans serrés à la peaux, ses boots clinquantes et ses vestes ou blousons en cuirs. C'est pourquoi les filles le trouvent de drôle de coco, même si son charme et son style séduisent.

Retour aux sources.

"Isalu ndawu, diambu dibumi, ivasi tsombu"
Traduction: Le travail c'est la maison, l’événement c'est un grand dédommagement, le tribut c'est la dot.
Sens: Quand un homme réussit à bâtir une maison, a dédommager forte une famille , à payer une bonne dote, il est reconnut dans la société traditionnelle comme étant un homme digne. Ces trois critères de bases étaient les indices fondamentaux des classements des hommes. Ces triptyques fait partie de l’échelle des valeurs de la société traditionnelle. Parfois, le fait de remplir l'un de ces critères permet de se faire respecter dans cette société.

Les produits de la campagne


Paysan est un art de vivre..Changer de manière de faire c'est aussi se lancer dans des nouveaux produits agricoles.

Camembert
de la Nyangou
Fromages de chèvres de la Nyangou
Beurre
Andouillettes
Saucisses
jambons
Champignons
Poires
Pommes
Oranges
Cerises
Carottes
Huile d'olives
Poules
Lapins
porcs
Chevres
Moutons

Listes des légumes

Ail AIL — (Allium sativum). — Famille des Liliacées. Nom provençal : Aiet ou Ai. Plante bulbeuse et vivace. Originaire de la Sicile.
Arroche blonde ARROCHE BLONDE ou BELLE DAME BLONDE — (Atriplex hortensis). — Famille des Chénopodées. Originaire de Tartarie.
Artichaut ARTICHAUT. — (Cynara Scolymus). — Famille des Composées. Noms provençaux : Cachofle, artichaut. Plante vivace. Originaire du Midi de l'Europe.
Asperge ASPERGE. — (Asparagus officinalis). — Famille des Liliacées. Noms provençaux : Espargo, asperjo. Indigène, vivace.
Aubergine AUBERGINE — (Mélongène). — Solanum melongena. Famille des Solanées. Nom provençal : Merinjano. Annuelle. Originaire de l'Amérique Méridionale.
Basilic BASILIC. — (Ocinum basilicum). — Famille des Labiés. Noms provençaux : Basèli, balicot, coulobre. Annuel. Originaire de l'Inde.
Betterave BETTERAVE. — (Beta vulgaris). — Famille des Chénopodées. Noms provençaux : Bletto-rabo, blet, nisèto.
Bourrache BOURRACHE. — Famille des Borraginées. Plante annuelle, haute de 50 cent. à feuilles rugueuses et charnues et à fleurs bleues en grappes.
Capriers CAPRIERS. — (Capparis spinosa). — Famille des Capparidées. Nom provençal : Tapenié ; le fruit : Tapèno. Plante vivace. Originaire de la France méditerranéenne.
Cardon CARDON. — (Cynara cardunculus). — Famille des Composées. Nom provençal : Cardoun. Bisannuel. Originaire de l'Ile de Candie.
Carotte CAROTTE. — (Daucus Carota}. — Famille des Ombellifères. Noms provençaux : Pastenargo, garroto. Indigène. Bisannuelle.
Cerfeuil CERFEUIL. — (Scandix cerefolium). — Famille des Ombellifères. Noms provençaux : Juvertin, cerfuei. Annuel. Indigène.
Cerfeuil tubéreux CERFEUIL TUBÉREUX. — (Chaerophyllum bulbosum). — Peu cultivé dans le Midi et rend très peu.
Champignon cultivé CHAMPIGNON CULTIVÉ. — (Agaricus esculentus). — Famille des Cryptogames. Noms provençaux : Berigoulo, pignen. Indigène.
Chicorée sauvage CHICORÉE SAUVAGE OU AMÈRE. — (Chicorium Intybus)., Famille des Composées. Indigène. Vivace.
Chicorée-endive CHICORÉE-ENDIVE. — Frisée et Scarole. — (Cichorium endivia). — Famille des Composées. Noms provençaux : Cicôri, endivo. Indigène. Annuelle.
Chou CHOU. — (Brassica oleracea). — Famille des Crucifères. Nom provençal : Caulet. Bisannuel. Indigène.
Chou-chinois CHOU-CHINOIS (Pé-Tsai). —— (Brassica sinensis}. — Famille des Crucifères. Originaire de la Chine.
Chou-fleur CHOU-FLEUR. — ( Brassica Botrytis). — Nom provençal ; Caulet-flori.
Chou-navet CHOU-NAVET (en terre). — Production en automne.
Chou-rave CHOU-RAVE (sur terre). — Production en automne.
Ciboule CIBOULE. — (Allium fistulosum}. — Famille des Liliacées. Nom provençal : Ceboulo. Bisannuelle. Originaire de Sibérie.
Ciboulette CIBOULETTE. — (Allium Schoenoprasum). — Famille des Liliacées. Vivace.
Concombre, cornichon CONCOMBRE et CORNICHON. — (Cucumis sativus).— Annuel. Famille des Cucurbitacées. Nom provençal : Coucoumbre. Originaire de l'Inde.
Courge COURGE. — (Cucurbita). — Famille des Cucurbitacées. Nom provençal : Coucourdo. Annuelle. Originaire de l'Inde.
Courgette COURGETTE à farcir, en provençal : Souchette.
Cresson alénois CRESSON ALÉNOIS (Menu de Paris). — (Lepidium sativum). — Nom provençal : Creissoun. Annuel. Famille des Crucifères. Originaire de Perse.
Cresson de fontaine CRESSON DE FONTAINE. — (Nasturtium officinale).— Famille des Crucifères. Indigène et vivace.
Cresson de terre CRESSON DE TERRE (Cressonnette). — Cresson de jardin (Erysimum precox). — Famille des Crucifères. Indigène et vivace.
Céleri CELERI. — (Apium graveolens). - Famille des Ombellifères. Nom provençal : àpi. Bisannuel. Originaire de l'Europe.
Céleri-rave CÉLERI-RAVE. - Cette plante se sème de février en mai et se repique en supprimant le pivot de la racine à 50 cent., en rayons espacés de 1 mètre.
Echalote ÉCHALOTE. —. (Allium ascolonicum). — Noms provençaux : Escalugno, eschaloto. Famille des Liliacées. Vivace. Originaire de Syrie.
Epinard EPINARD. — (Spinacia oleracea). — Nom provençal : Espinarc. Famille des Chénopodées. Annuel. Originaire de l'Asie septentrionale.
Estragon ESTRAGON. — (Artemisia dracunculus). — Famille des Composées. Nom provençal : Tragoun. Vivace et aromatique. Originaire de Sibérie.
Fenouil de Florence FENOUIL DE FLORENCE (Finochi). — (Foeniculum dulce). — Originaire d'Italie. Annuel.
Fenouil doux FENOUIL DOUX. — (Foeniculum anethum). — Famille des Ombellifères. Noms provençaux : Fenoun, fenoui. Annuel. Originaire du Midi de l'Europe.
Fraisier FRAISIER. — (Fragaria Vesca). — Famille des Rosacées, Nom provençal : Fraguié ; le fruit : Frago. Vivace.
Fève FEVE. — (Faba vulgaris). — Famille des Légumineuses-Papilionacées. Nom provençal : Favo. Annuelle Originaire de Perse.
Gombo GOMBO. — (Kelmie comestible).—(Hibiscus esculentus}. Famille des Malvacées. Annuel. Originaire de l'Amérique méridionale.
Haricot HARICOT. -— (Phaseolus vulgaris). — Famille des Légumineuses-Papilionacées. Nom provençal : Faiòu. Originaire des Indes Orientales. Annuel.
Laitue LAITUE POMMÉE et LAITUE ROMAINE. — (Lactuca sativa). — Nom provençal : Lachugo. Famille des Composées. Annuelle. Originaire de l'Asie.
Lentille LENTILLE. — (Ervum Lens). — Famille des Légumineuses. Nom provençal : Lentiho. Indigène et annuelle.
Marjolaine, origan MARJOLAINE (Origan). — (Origanum majorana). — Famille des Labiées. Nom provençal : Majourano. Indigène et vivace.
Melon MELON. — (Cucumis mélo). — Famille des Cucurbitacées. Nom provençal : Meloun. Originaire de l'Asie. Annuel.
Mâche MÂCHE (Doucette). — (Valeriana locusta). — Famille des Valérianées. Nom provençal : Lachugueto. Indigène. Annuelle .
Navet NAVET. — (Brassica napus et rapa}. — Famille des Crucifères. Nom provençal : Navèu. Indigène. Bisannuel.
Oignon OIGNON. — (Allium cepa). — Nom provençal : Cebo. Famille des Liliacées. Bisannuel.
Oseille OSEILLE. — (Rumex acetosa). — Famille des Polygonées. Nom provençal : Eigreto. Indigène et vivace.
Panais PANAIS. — (Pasticana sativa). — Famille des Ombellifères. Noms provençaux : Pasténargo, panen. Indigène. Bisannuel.
Pastèque PASTÈQUE (Melon d'eau). — (Cucurbita citrullus).— Noms provençaux : Pastèco, citro. Famille des Cucurbitacées. Originaire de l'Inde. Annuelle.
Patate douce PATATE DOUCE. — (Convolvulus Batatas}. — Famille des Convolvulacées. Nom provençal : Patato. Originaire de l'Inde. Vivace.
Persil PERSIL. — (Apium petroselivum). — Noms provençaux : Bonis-èrbo, Juvert. Famille des Ombellifères. Originaire de la Sardaigne. Bisannuel.
Pissenlit PISSENLIT (Dent de lion). — (Leontodon taraxacum}.— Famille des Composées. Noms provençaux : Mourre, pourcin}. Indigène et vivace.
Poireau POIREAU ou PORREAU. — (Alium porrum). — Famille des Liliacées. Nom provençal : Pòrri. Bisannuel. Originaire de la Suisse.
Poirée, blette POIRÉE ou BLETTE. — (Beta vulgaris}. — Famille des Chénopodées. Noms provençaux : bledo, costo de bledo. Bisannuelle. Originaire de l'Europe.
Pois POIS. — (Pisum sativum). — Famille des Légumineuses-Papilionacées. Nom provençal : Cese ou Pese. Pois galayard se dit pour le pois gourmand ou mangetout. Originaire de l'Europe méridionale. Annuel.
Pois chiche POIS CHICHE (Pois pointu, Garvance). — (Cicer arietinum). — Noms provençaux : Cese, pese pounchud. Famille des Papilionacées. Annuel. Originaire d'Italie.
Poivron, piment POIVRON et PIMENT. — (Capsicum annuum). — Famille des Solanées. Nom provençal : Pebroun. Annuel. Originaire de l'Inde et de l'Amérique méridionale.
Pomme de terre POMME DE TERRE (Parmentière). — (Solanum tuberosum). — Famille des Solanées. Noms provençaux : Tartifle trufo. Originaire de l'Amérique méridionale. Introduite en France vers 1560.
Pourpier POURPIER A SALADE. — (Portulaca oleracea). — Famille des Portulacées. Nom provençal : Bourtoulaigo. Indigène et annuel.
Radis RADIS. — (Raphanus sativus). — Famille des Crucifères. Nom provençal: Rais-fort, arifort. Originaire de la Chine. Annuel.
Raifort RAIFORT SAUVAGE. — (Cochlearia armaracia). — Famille des Crucifères. Indigène et vivace.
Roquette ROQUETTE. — (Brassica eruca). — Fam. des Crucifères. Nom provençal : Rouqueto. Annuelle et indigène.
Salsifis blanc SALSIFIS BLANC. — (Tragopogon porrifolius}. —Famille des Composées. Noms provençaux : Sarsifi, barbabou. Indigène et bisannuel.
Sarriette SARRIETTE. — (Saturea). — Petite plante aromatique et indigène. Variété annuelle et vivace. Nom provençal : Pèbre d'ai.
Scolyme d'Espagne SCOLYME D'ESPAGNE. — (Scolymus hispanensis).— Famille des Composées. Plante bisannuelle.
Scorsonère SCORSONÈRE ou SALSIFIS NOIR. — (Scorzonera hispanica}. — Famille des Composées. Originaire d Espagne. Vivace,
Soja SOJA. — (Soja hispida).— Famille des Légumineuses. Pois de Chine. Originaire de la Chine. Annuel.
Stachys, crosne STACHYS ou CROSNE DU JAPON. — (Stachys tuberifera).
Thym THYM. — (Thymus vulgaris). — Famille des labiées. Noms provençaux : Ferigoulo, badasso. Indigène et vivace.
Tomate TOMATE ou POMME D'AMOUR. — (Solanum Lycopersicum). — Famille des Solanées. Nom provençal : Poumo d'amour. Originaire de l'Amérique Méridionale. Annuelle.
Topinambour TOPINAMBOUR. — (Helianthus tuberosa). — Famille des Composées. Noms provençaux : Patanoun, giganto. Vivace. Originaire du Brésil.
Tétragone cornue TÉTRAGONE CORNUE ou ÉPINARD DE LA NOUVELLE-ZÉLANDE. — (Tetragonia expansa). — Famille des Mesembryanthénées. Annuelle. Originaire de la Nouvelle-Zélande.


Arbres à Fruits
Abricotiers ABRICOTIER. — (Armeniaca vulgaris). — Famille des Rosacées. Nom provençal : Aubricoutié ; le fruit : aubricot. Originaire de l'Arménie ou de la Chine.
Amandiers AMANDIER — (Amygdalus communis). — Famille des Rosacées. Noms provençaux : Amélié, amendié ; le fruit, amelo, amendo. Originaire du Midi de la France.
Arbousiers ARBOUSIER COMMUN. — (Arbustus unedo), appelé aussi Arbre à fraises. — Famille des Ericacées. — Originaire du Midi de la France.
Azeroliers AZEROLIER. — (Cratagus azerolus). — Famille des Rosacées. Arbrisseau rustique. Originaire de l'Orient.
Cassissiers GROSEILLIER A GRAPPES et CASSISSIER. — (Ribes rubrum). — Famille des Grossulariées.
Cerisiers CERISIER. — (Cerasus). — Famille des Rosacées. — Noms provençaux : Cereisié, grafiounié ; le fruit : Cerieso, grafioun. Originaire de l'Europe.
Châtaigniers CHÂTAIGNIER. — (Castanea vesca). Famille des Cupulifères. Noms provençaux : Castagnié, peloussié ; le fruit : castagno. Indigène.
Cognassiers COGNASSIER. — (Çydonia vulgaris). — Nom provençal : Condounié ; le fruit : Coudoun. Famille des Rosacées. Originaire de l'Asie.
Figuiers FIGUIER. — (Ficus Carica). — Nom provençal : Figuiero ; le fruit : Figo. Famille des Morées. Originaire de l'Orient.
Framboisiers FRAMBOISIER. — (Rubus idoeus). — Famille des Rosacées. Noms provençaux : Amourèu, frambousié ; le fruit : Ambrous, fragousto, framboueso.
Grenadiers GRENADIER. — (Punica GranaTum). — FamILLE des Granatées. Noms provençaux : Mióugranié, granadié ; le fruit : Mióugrano. Originaire d'Afrique.
Groseilliers épineux GROSEILLIER ÉPINEUX ou GROSEILLIER À MAQUEREAU. — (Ribesuva crispa}. — Famille des Grossulariées. Nom provençal : Grouselié ; le fruit : Grousello. Originaire de Californie.
Jujubiers cultivés JUJUBIER CULTIVÉ. — (Rhamnus ziziphus). —Famille des Rhamnées. Noms provençaux : Ginjourlié, chichourlié ; le fruit : Ginjourlo, chichourlo. Originaire de l'Orient.
Mûriers noirs MURIER A FRUIT NOIR. — (Morus nigra). — Famille des Morées. Noms provençaux : Amourié, aubre d'or ; le fruit : Amouro. Originaire de la Perse.
Noisetiers NOISETIER. — (Coryllus avellana). — Famille des Cupulifères. Nom provençal : Avelanié ; le fruit : Avelano. Indigène.
Noyers NOYER. — (Juglans regia). — Famille des Juglandées. Nom provençal : Nóuguié ; le fruit : Nose. Originaire de la Perse.
Néfliers NÉFLIER. — (Mespilus germanica). — Famille des Rosacées. Nom provençal : Nespié ; le fruit : Nèspo.
Néfliers du Japon NÉFLIER DU JAPON. — (Eriobotrya japonica).
Oliviers OLIVIER. — (Olea europea). — Famille des Oléinées. Nom provençal : óulivié ; le fruit ; óulivo. Originaire de l'Orient ou des régions méditerranéennes.
Orangers ORANGER. — (Citrus aurantium). — Famille des Aurantiacées. Nom provençal : Arangié ; le fruit : Arange, maioco.
Poiriers Taille POIRIER. — (Pyrus communis). — Famille des Rosacées. Nom provençal : Periero ; le fruit : Pero. Originaire de l'Asie septentrionale.
Pommiers POMMIER. — (Malus communis). — Famille des Rosacées. Nom provençal : Poumié ; le fruit : Poum, poumo. Originaire de l'Europe
Pruniers PRUNIER. — (Prunus domestica). — Famille des Rosacées. Nom provençal : Prunièro ; le fruit : Pruno. Originaire de l'Asie.
Pêchers PÊCHER. — (Persica vulgaris). — Famille des Rosacées. Nom provençal : Pesseguié ; le fruit : Pessègue, pesco. Originaire de l'Asie.
Sorbiers domestiques SORBIER DOMESTIQUE. — (Sorbus domestica). — Famille des Rosacées. Noms provençaux : Sourbié, esperbié ; le fruit : Sorbo, esperbo.

Comment réinventer le Sud?

Pour cela il faut un nouveau langage,une nouvelle pensée et nouvelle manière de vivre. Il faut arrêter de parler négativement, ou avoir des mauvaises pensées et adopter un nouveau style de vie.

Il faut augmenter la qualité des services d' hôtelleries et développer les spécialités de cuisine du terroir.

Les critères pour obtenir nos 5 étoiles en matières de restaurations et d’hôtelleries sont:
  • Décoration: Architecture traditionnelle superbes et contemporaine. Fournitures antiques et contemporains.
  • Connections internet dans les chambres et WI-FI dans les hôtels.
  • Spas.
  • Lieux de retraites en pleines natures.
  • Gastronomie: nous devons avoir la meilleure cuisine du Gabon, les meilleurs chefs..

Changer des cultures passe aussi par la culture des nouvelles plantes comme Tomates, carottes, olives, oranges, pommes, pommes de terres, oignions. Élevage de petits bétails pour production de charcuteries et fromages.

Les ménages du Sud Ouest doivent s'équiper en ordinateurs. Les fils de la Ngounié et la Nyanga vivant en dehors de la région doivent régulièrement passer les vacances dan la Ngounié et Nyanga.
Je répète changer de langage, de pensées et de culture(manière de vivre).

L'ectricité de la Nyanga et la Ngounié: Solutions.

La Ngounié et la Nyanga a une capacité 5.5 MW ce réseau hydroélectrique est le moins dense. Deux réseaux MT 20kv alimentent Ndende et Lebamba, ht 63KV. Le RIC de la vallée de la Louetsi est d'environs 18.14 GWh soit seulement 2% de la production nationale.

Tandis que Port-Gentil tourne avec deux centrales thermiques turbines à Gaz de 50 MW, et une centrale diesel de 9MW. La puissance installée a été porté à 6.23 MW pour la centrale hydraulique de Bongolo et 2.7 MW à la centrale thermique de Mouilla. La solution serait de rechercher un nouveau investissement dans un nouvel ouvrage qui pourrait être Hydraulique ou gazier. Il existe pourtant des gisements gaziers aux larges de Ndindi et de Mayumba qui peuvent couvrir toute la région.

Des études en 1965 et 1966 ont étés pourtant menées pour accroître cette capacité dans le but de développer des industries minières et forestières et valorise les richesses du massifs du Mayombe.

Les études de 1965 et 1966 donnaient Sindara 150 MW en puissance installé, et en Productible garantie 770 GWh,Ouyama 26,3: et en Productible garantie 200GWh ,Irungu 2MW;et en Productible garantie 11GWh.

Les travaux étaient prévus pour une durée de 5 ans et s'acheveraient en 1971, donc aujourd'hui on ne parlerait plus des coupures d’électricités dans la région. Le sud devenant la même un pôle économique important,avec son port en eau profonde, mais avec l’arrivée du président Albert Bongo tous les projets se verront soient annulés ou simplement détournés en faveur de sa province.

La province de la Ngounié et la Nyanga accusent par la même un retard de 40 ans due à la mauvaise volonté politique.

Pour paraître à l"immédiat il faut installer des centrales thermiques fonctionnant au gaz naturel c'est pratique et moins onéreux avec une capacité d'au moins 24 MV pour chaque ville. Cette réflexion répond au fait que Mayumba et Ndindi produit des Gaz naturels et que ce n'est pas une contrainte pour trouver ses matières et le prix du Gaz n'est pas élevé comme le fioul et le Gazole.

Dernière recommandation donner ce projet aux chinois cela reviendrait moins onéreux. En plus ils sont très avancés dans ce domaine. Cela ne remets pas en cause les autres chantiers d’électricité de la région car il faut au moins 500 MV pour faire tourner les entreprises dans la région et le port en en eau profonde de Mayumba.

Comment résoudre le problème des coupures de courants dans la Nyanga et la Ngounié?

Mouila, 2 novembre (GABONEWS) – Les habitants de la commune de Mouila, chef lieu de la province de la Ngounié (sud du pays), ne savent plus à quel saint se vouer devant les délestages intempestifs de la Société d’ Energie et d’Eau du Gabon (SEEG) et appellent les autorités compétentes à agir au plus vite.

Au-delà du constat effectué par notre rédaction, les habitants de la commune de Mouila sont unanimes à dire que cette situation perdure depuis des mois et qu’ils ne maîtrisent pas le plan des délestages suite à un déficit de communication de la SEEG.

« Nous sommes dépassés. Tout Mouila n’est éclairé au même moment que lorsque le Chef de l’Etat séjourne ici ou passe par notre ville », s’est lamentée, Yvette Moussavou.

Cette situation cause également un préjudice aux élèves qui ne dorment plus suffisamment : « Je suis obligé de me réveiller chaque jour vers 3 ou 4h du matin dans l’espoir que le courant revienne pour étudier », a témoigné Gwen Ignaga, élève en classe de seconde au lycée technique de Mouila.

A Mouila, les délestages n’épargnent personnes : commerces, structures hôtelières, feux tricolores sont également soumis au caprice de la SEEG.

A cela s’ajoute l’absence d’éclairage dans plusieurs quartiers y compris le centre ville où les lampadaires ne sont que décoratifs. La nuit tombée, la ville de Mouila est plongée dans le noir et les noctambules ne se déplacent qu’à l’aide des phares des véhicules, notamment des taxis.

Excédées, les populations invitent le gouvernement à trouver une solution rapide afin de régler ce problème qui n’a que trop duré.

Le dernier Conseil des ministres délocalisé de Mouila dans le cadre de la tournée républicaine du chef de l’Etat dans la province de la Ngounié, avait vu le lancement des travaux d’un barrage électrique sur les chutes de l’Impératrice Eugénie afin de pallier aux carrences en électricité de la province.

GN/YKM/FB/11

La solution aux problemes de l'Electricité dans la Ngounié et la Nyanga

Ngounie Nyanga avec une capacité 5.5 MW ce réseau hydroélectrique est le moins dense. Deux réseaux MT 20kv alimente Ndende et lebamba, ht 63KV..1966, 1962
Le RIC de la vallée de la Nyanga est d'environs 18.14 GWh pour 2000 soit 2%. Turbines a Gaz 163.5 GWh 15%


Port-gentil tournent avec deux Centrales thermiques, Turbines a Gaz de 50 MW, et une centrale diesel de 9MW.

La puissance installées a été porté à 6.23 MW pour la centrale hydraulique de Bongolo et 2.7 MW à la centrale thermique de Mouila. alors que Mouila a besoin de 3.8 MW. la solution serait de rechercher un nouveau investissement dans un nouvel ouvrage qui pourrait être Hydraulique ou gazier. Il existe pourtant des gisements pétroliers aux larges de Ndindi et de Mayoumba.


Des études avaient étés pour autant menées pour accroître cette capacité dans le but de développer des industries minières et forestières et les richesses du massifs du Mayombe.

pour produire plus de courant Sindara 150 MW études faites en 1966, puissance installe, Productible garantie 770 GWh,Ouyama 26,3: 200GWh MW 1962,Irungu 2MW;11GWh, projet Gazier Mayumba et Ndindi

Acheter et faire installer ces centrales par les chinois cela coûterais moins chère.

News du bled

A tchibanga il n'y a qu'un seul cyber et internet est quelque fois lent à cause des pluies incessantes ici. Au lycée il n'y a pas internet. Les populations cultivent, le manioc, la banane, ils ont commencé avec le cacao et le café mais ça c'est surtout à Moabi, à Tchibanga ils font aussi le riz à part le café et cacao, certains font la tomate, laitue (choux, salade) poivron, celerie, ciboulettes etc... mais les plantations ne sont pas très grandes même ceux d'ananas cela ne couvre pas l'autosuffisance au niveau de la ville ou province...ils font aussi dans la culture du palmier à l'huile à Moabi et vers Mongo... je crois qu'il faut encourager les jeunes et ou les populations à ses regrouper en coopératives en groupe de 10 ou +20 personnes pour avoir des hectares. Source: Olga depuis facebook.
2 Novembre 2011

Photo du jour


Ilena

Le budget de nos localités Locales.

MOUILA (AGP)- Le projet de budget de l’exercice 2010-2011 de la mairie de Mouila, chef-lieu de la province de la Ngounié (sud), a été arrêté à la somme de 361.160. 461 FCFA, par le conseil municipal. Le nouveau budget est en légère baisse par rapport à celui du précédent exercice qui était de 366.685.266 FCFA. Le maire de la commune de Mouila, Christian Kombila Kombila, a expliqué que cette légère baisse est due à la faiblesse des recouvrements des taxes Lors de l’exercice 2008-2009, le conseil municipal a recouvré les taxes pour 229, 099 millions de FCFA et engagé des dépenses de 224,502 millions de FCFA, contre 227,771 millions initialement prévus, a indiqué M. Kombila Lombila. La commune de Mouila est la plus importante de la province de la Ngounié au sud du Gabon qui compte près d’une dizaine d’autres petites communes.


Gabon: Le budget de la Mairie de Tchibanga se chiffre à 197.810.116 francs CFA exercice 2008-2009

Ces budgets comparés à celui de Port-Gentil 4,8 milliards de FCFA, sont très dérisoires et quant on sait que la masse salariale englobe une bonne partie de ces budgets.