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Feb 24, 2011
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I'm a developer designer -UX, Human Activist, entrepreneur, Blogger, writer, and business mentor. Founder of Gabonatura. I love culture, and environmental justice. Promote education in Africa.
Feb 22, 2011
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Feb 21, 2011
Gervais Mboumba fait-il dans l'intoxication?
Dans un monde comme le nôtre placé au carrefour de la modernité universelle et du bien-être social communautaire et individuel, les citoyens doivent absolument et impérativement se développer et s’épanouir tant sur le plan matériel, moral, intellectuel et social.
Tous les peuples du monde aspirant à la dignité humaine comme valeur intrinsèque qui s’accompagne au développement des mentalités pour accéder au stade de la civilisation universelle, ne doivent leur évolution positive et leur développement intégral que si toutes les conditions d’une vie meilleure sont bien réunies dont une grande partie doit être assurée par la présence des structures implantées et améliorées par l’État et le gouvernement sur le plan sanitaire, scolaire, technologique agricultural, routier et administratif.
Les Peuples Punu-Nzebi-Vumbu sont des grands travailleurs. Cependant si l’on parle de développement des peuples au plan mondial en invitant les États à plus de responsabilité et de clarté dans la gestion multiforme de leurs populations, il me semble que dans les projets de développement au Congo Brazzaville, malheureusement, des peuples comme ceux composés des Punu-Nzebi-Vumbu vivent encore dans un dénuement total depuis près de 50 ans.
Le pouvoir tribal de monsieur sassou Nguesso, ne leur inspirant pas confiance, tant l’argent qui est dilapidé à d’autres fins, ne sert qu’à autre chose, les peuples PUNU-Nzebi-Vumbu demeure à ce jour, un peuple relégué dans une sorte d’oubli. Quel est donc ce péché que des vaillants peuples Punu-Nzebi-Vumbu ont commis pour vivre une telle réalité indicible? Savez-vous par exemple que la quasi-totalité des produits de première nécessité sont achetés grâce à la position frontalière avec le pays frères du Gabon?
Pour ceux qui ne connaisse pas ce peuple effacé sciemment par tous les gestionnaires du Congo qui sont arrivés au pouvoir par coup d’État, après avoir assassiné leurs vaillants fils et vaillantes filles du fait d’avoir dit non à un pouvoir obtenu par les armes au Congo Brazzaville par monsieur sassou Nguesso, les peuples Punu-Nzebi-Vumbu du Congo Brazzaville sont géographiquement localisés au sud de la région du Niari et de la Lékoumou. Ils sont travailleurs, brillants à l’école et vivant dans la forêt sur les hauteurs de Divenié, Mbinda, Mayoko, Mossendjo et dans une infime partie de la région voisine de la Lékoumou. D’autres sont sur l’axe Dolisie-Ngongo village et rivière, débouchant sur Doussala la localité du Gabon, sur une étendue de plaine.
Leur jeunesse si brillante à l’école ne trouve pas facilement du travail après des longues études scolaires et universitaires faites au Congo-Brazzaville et ailleurs dans les pays occidentaux. Ceux qui sont sur place, bien qu’étant des grands diplômés, ils n’accèdent jamais au poste de commandement dans les administrations publiques et au gouvernement. Occupés parfois par des gens sans niveau requis. Il est important de signaler que Pascal Lissouba, un généticien mondialement admiré par le général De Gaulle, ancien premier ministre du président Massamba-Débat en 1963, et qui deviendra premier président élu en république du Congo Brazzaville, à la suite de la démocratisation de la vie publique en Afrique et au Congo Brazzaville, ce dernier sort du même peuple dont l’ethnie est le Nzebi.
Il sied de rappeler que dans ces trois communautés Punu-Nzebi-Vumbu, plus de 50% de sa jeunesse après, ou avant le diplôme de baccalauréat, préfèrent s’exiler au Gabon pour les mêmes raisons d’ostracisme, parce qu’ils n’ont pas de temps à perdre puisque dans leur propre pays le Congo Brazzaville, ils sont bien maltraités par des originaires d’autres ethnie occupant tous les postes dans l’administration congolaise sinon les portes de l’administration leur sont hermétiquement fermées.
N’entend-on pas souvent des provocations du genre : «vous êtes des gabonais, allez chez vous». Comme le disait un homme politique fumant au nom de Ndala-Graille, un célèbre et cynique personnage dont le tribalisme est une idéologie première pleine-la tête.
Comment être taxé de gabonais, comme s’il y’avait des mouvements migratoires, du Gabon vers le Congo Brazzaville, alors que tous les historiens du monde savent que plusieurs mouvement migratoire en plusieurs siècles sont partis depuis le Royaume kongo, dont la base fut l’actuel Angola et une partie de Cabinda, le sud du Congo démocratique actuelle et le Congo Brazzaville.
Ainsi, depuis 1977-1979 jusqu’en 1990 et 1997, années de règne de Sassou Nguesso au pouvoir au Congo Brazzaville, nombreux sont des jeunes issus de cette communauté composée des Punu-Nzebi-Vumbu ont préféré aller en exil volontaire au Gabon, avant même que les guerres qui ont secoué le pays ne commencent.
Si vous allez sur l’axe Divenié, l’axe Mbinda, vous serez étonné de voir combien, l’État a abandonné les routes depuis 1964 où aucune pelle ne se soit encore passée dessus. Dans ces régions où vivent les Punu-Nzebi,-Vumbu, on est vite frappé par une extrême pauvreté. Mêmes les édifices, symboles de l’État se meurent de décrépitudes. Il n’y a pas de routes goudronnées, pas de pont moderne avec une structure durable. Il existe un chemin de fer, mais que Bongo et sassou et la Comilog, ont rendu impraticable. Ces peuples produisent des denrées alimentaires très abondamment riches, tout en manquant des moyens de déplacement. Puisqu’il n’y a pas de route.
S’il faut revenir sur le cas de l’administration, je dirais qu’en dehors de l’enseignement primaire et le métier d’infirmier, les cadres Punu-Nzebi-Vumbu ne peuvent pas accéder à un poste de commandement élevé dans des ministères et dans certaines administrations. Dans l’armée, tous les officiers supérieurs Punu-Nzebi-Vumbu: de nombreux colonels, de nombreux commandants et sous-lieutenants, ont été assassinés par Sassou Nguesso, d’autres ne travaillent plus depuis 1997. Ceux qui exerçaient le métier de journalisme deviennent des éternels chômeurs et sont repartis dans les villages faire l’agriculture ou alors d’autres sont toujours traqués.
Comment alors accéder au bonheur lorsqu’au plus haut sommet de l’État, ceux qui dirigent s’appliquent à la politique d’ostracisme?
Que les ONG internationales essaient d’aller enquêter sur place. C’est ahurissant de croire qu’en 2011, au 21e siècle et au troisième millénaire, des peuples sans soutien, soient maltraitées sinon ostracisés par un monstre imposé aux congolais par la France.
Nous invitons les organisations des droits de l’homme dans le monde de venir enquêter.
L’histoire des peuples Punu-Nzebi-Vumbu, relève d’une intolérance sociale criante sur laquelle l’ONU et les organisations de défense des droits des peuples devraient se pencher. Car, tous ces régimes, tel celui de sassou Nguesso au Congo, sont des cas qui méritent enquête.
Il y’a également un grave problème relevant d’un grand crime punissable. C’est que la forêt qui constitue le poumon du monde, la destruction de la forêt savamment orchestrée par Sassou et ses entreprises d’exploitation du bois, sèment la désolation dans l’écosystème quand on sait que la coupe même des petites essences provoque la désertification. Sassou préfère donner des permis d’abatage des bois industriel sans tenir compte des normes en vigueur dans l’exploitation du bois.
Installé comme roi du Congo par la France colonialiste. Les autorités françaises doivent-ils continuer à se frotter les mains pour leur pion collé de force au peuple Congolais?
Il y’aura un jour où les peuples Punu-Nzebi-Vumbu vont se soulever et ils feront entendre leurs voix. Trop c’est trop!
Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme
Tous les peuples du monde aspirant à la dignité humaine comme valeur intrinsèque qui s’accompagne au développement des mentalités pour accéder au stade de la civilisation universelle, ne doivent leur évolution positive et leur développement intégral que si toutes les conditions d’une vie meilleure sont bien réunies dont une grande partie doit être assurée par la présence des structures implantées et améliorées par l’État et le gouvernement sur le plan sanitaire, scolaire, technologique agricultural, routier et administratif.
Les Peuples Punu-Nzebi-Vumbu sont des grands travailleurs. Cependant si l’on parle de développement des peuples au plan mondial en invitant les États à plus de responsabilité et de clarté dans la gestion multiforme de leurs populations, il me semble que dans les projets de développement au Congo Brazzaville, malheureusement, des peuples comme ceux composés des Punu-Nzebi-Vumbu vivent encore dans un dénuement total depuis près de 50 ans.
Le pouvoir tribal de monsieur sassou Nguesso, ne leur inspirant pas confiance, tant l’argent qui est dilapidé à d’autres fins, ne sert qu’à autre chose, les peuples PUNU-Nzebi-Vumbu demeure à ce jour, un peuple relégué dans une sorte d’oubli. Quel est donc ce péché que des vaillants peuples Punu-Nzebi-Vumbu ont commis pour vivre une telle réalité indicible? Savez-vous par exemple que la quasi-totalité des produits de première nécessité sont achetés grâce à la position frontalière avec le pays frères du Gabon?
Pour ceux qui ne connaisse pas ce peuple effacé sciemment par tous les gestionnaires du Congo qui sont arrivés au pouvoir par coup d’État, après avoir assassiné leurs vaillants fils et vaillantes filles du fait d’avoir dit non à un pouvoir obtenu par les armes au Congo Brazzaville par monsieur sassou Nguesso, les peuples Punu-Nzebi-Vumbu du Congo Brazzaville sont géographiquement localisés au sud de la région du Niari et de la Lékoumou. Ils sont travailleurs, brillants à l’école et vivant dans la forêt sur les hauteurs de Divenié, Mbinda, Mayoko, Mossendjo et dans une infime partie de la région voisine de la Lékoumou. D’autres sont sur l’axe Dolisie-Ngongo village et rivière, débouchant sur Doussala la localité du Gabon, sur une étendue de plaine.
Leur jeunesse si brillante à l’école ne trouve pas facilement du travail après des longues études scolaires et universitaires faites au Congo-Brazzaville et ailleurs dans les pays occidentaux. Ceux qui sont sur place, bien qu’étant des grands diplômés, ils n’accèdent jamais au poste de commandement dans les administrations publiques et au gouvernement. Occupés parfois par des gens sans niveau requis. Il est important de signaler que Pascal Lissouba, un généticien mondialement admiré par le général De Gaulle, ancien premier ministre du président Massamba-Débat en 1963, et qui deviendra premier président élu en république du Congo Brazzaville, à la suite de la démocratisation de la vie publique en Afrique et au Congo Brazzaville, ce dernier sort du même peuple dont l’ethnie est le Nzebi.
Il sied de rappeler que dans ces trois communautés Punu-Nzebi-Vumbu, plus de 50% de sa jeunesse après, ou avant le diplôme de baccalauréat, préfèrent s’exiler au Gabon pour les mêmes raisons d’ostracisme, parce qu’ils n’ont pas de temps à perdre puisque dans leur propre pays le Congo Brazzaville, ils sont bien maltraités par des originaires d’autres ethnie occupant tous les postes dans l’administration congolaise sinon les portes de l’administration leur sont hermétiquement fermées.
N’entend-on pas souvent des provocations du genre : «vous êtes des gabonais, allez chez vous». Comme le disait un homme politique fumant au nom de Ndala-Graille, un célèbre et cynique personnage dont le tribalisme est une idéologie première pleine-la tête.
Comment être taxé de gabonais, comme s’il y’avait des mouvements migratoires, du Gabon vers le Congo Brazzaville, alors que tous les historiens du monde savent que plusieurs mouvement migratoire en plusieurs siècles sont partis depuis le Royaume kongo, dont la base fut l’actuel Angola et une partie de Cabinda, le sud du Congo démocratique actuelle et le Congo Brazzaville.
Ainsi, depuis 1977-1979 jusqu’en 1990 et 1997, années de règne de Sassou Nguesso au pouvoir au Congo Brazzaville, nombreux sont des jeunes issus de cette communauté composée des Punu-Nzebi-Vumbu ont préféré aller en exil volontaire au Gabon, avant même que les guerres qui ont secoué le pays ne commencent.
Si vous allez sur l’axe Divenié, l’axe Mbinda, vous serez étonné de voir combien, l’État a abandonné les routes depuis 1964 où aucune pelle ne se soit encore passée dessus. Dans ces régions où vivent les Punu-Nzebi,-Vumbu, on est vite frappé par une extrême pauvreté. Mêmes les édifices, symboles de l’État se meurent de décrépitudes. Il n’y a pas de routes goudronnées, pas de pont moderne avec une structure durable. Il existe un chemin de fer, mais que Bongo et sassou et la Comilog, ont rendu impraticable. Ces peuples produisent des denrées alimentaires très abondamment riches, tout en manquant des moyens de déplacement. Puisqu’il n’y a pas de route.
S’il faut revenir sur le cas de l’administration, je dirais qu’en dehors de l’enseignement primaire et le métier d’infirmier, les cadres Punu-Nzebi-Vumbu ne peuvent pas accéder à un poste de commandement élevé dans des ministères et dans certaines administrations. Dans l’armée, tous les officiers supérieurs Punu-Nzebi-Vumbu: de nombreux colonels, de nombreux commandants et sous-lieutenants, ont été assassinés par Sassou Nguesso, d’autres ne travaillent plus depuis 1997. Ceux qui exerçaient le métier de journalisme deviennent des éternels chômeurs et sont repartis dans les villages faire l’agriculture ou alors d’autres sont toujours traqués.
Comment alors accéder au bonheur lorsqu’au plus haut sommet de l’État, ceux qui dirigent s’appliquent à la politique d’ostracisme?
Que les ONG internationales essaient d’aller enquêter sur place. C’est ahurissant de croire qu’en 2011, au 21e siècle et au troisième millénaire, des peuples sans soutien, soient maltraitées sinon ostracisés par un monstre imposé aux congolais par la France.
Nous invitons les organisations des droits de l’homme dans le monde de venir enquêter.
L’histoire des peuples Punu-Nzebi-Vumbu, relève d’une intolérance sociale criante sur laquelle l’ONU et les organisations de défense des droits des peuples devraient se pencher. Car, tous ces régimes, tel celui de sassou Nguesso au Congo, sont des cas qui méritent enquête.
Il y’a également un grave problème relevant d’un grand crime punissable. C’est que la forêt qui constitue le poumon du monde, la destruction de la forêt savamment orchestrée par Sassou et ses entreprises d’exploitation du bois, sèment la désolation dans l’écosystème quand on sait que la coupe même des petites essences provoque la désertification. Sassou préfère donner des permis d’abatage des bois industriel sans tenir compte des normes en vigueur dans l’exploitation du bois.
Installé comme roi du Congo par la France colonialiste. Les autorités françaises doivent-ils continuer à se frotter les mains pour leur pion collé de force au peuple Congolais?
Il y’aura un jour où les peuples Punu-Nzebi-Vumbu vont se soulever et ils feront entendre leurs voix. Trop c’est trop!
Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme
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Feb 15, 2011
Politique / A Tchibanga, le maire présente les attentes de la ville et de la province de la Nyanga au président Ali Bongo
Politique / A Tchibanga, le maire présente les attentes de la ville et de la province de la Nyanga au président Ali Bongo
25 janvier (GABONEWS) - Le Maire de la ville de Tchibanga, Jérôme Kwenzi Mikala, a présenté ce mardi au chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, les attentes de la population de localité qui accueille le troisième Conseil des ministres délocalisé qui se tient dans la province de la Nyanga (Sud), après Port-Gentil (Ogooué Maritime) et Oyem (Woleu-Ntem).
Dans son mot, l’édile de Tchibanga a présenté au chef de l’Etat les préoccupations, ainsi que les attentes de la population de la province de la Nyanga; une province dite agricole où l’agriculture et autre projet de développement devront être relancés en vue de dynamiser l’économie de cette localité.
Le maire de Tchibanga, Jérôme Kwenzi Mikala a ainsi déclaré que « les voies et moyens de lutter contre les déséquilibres en matière de développement doivent être trouvés afin d’acquérir une stabilité, une prospérité pour tous ».
« Les attentes de la population sont grandes mais je ne citerais que quelques-unes à savoir: l’extension du réseau d’eau et d’électricité pour que chaque habitant puisse en bénéficier, l’aménagement des voiries urbaines et des routes départementales afin que les habitants de Tchibanga puissent aller d’un quartier à un autre sans problèmes et que les habitants pussent circuler sans risques et puissent écouler sur le marché les produits de leur plantation; la construction des maisons socioéconomique et faire en sorte que les fonctionnaires ne refusent plus de rejoindre leur poste, la construction et l’équipement d’un hôtel de ville digne d’une capitale provinciale, la réhabilitation de radio 5 Massanga pour lui permettre de mieux assurer ses missions d’informations ».
Le vœu des populations de Tchibanga c’est aussi, a-t-il poursuivit « de voir se réaliser les projets retenus dans le cadre des fêtes tournantes. Il s’agit notamment, des travaux du palais présidentiel dont les travaux sont interrompus depuis un bon moment. Il est souhaitable que les travaux reprennent et aillent à leur terme ».
Dans le même sillage, les élus locaux de leurs côtés souhaitent voir la décentralisation devenir effective dans un avenir proche afin de rendre les collectivités locales attrayantes.
Le maire n’a pas manqué d’évoquer le problème de la sécurité. En effet, selon ce dernier « le contingent de gendarmes et de policiers affectés à Tchibanga, chef-lieu d’une province frontalière est largement insuffisant et leur condition de travail méritent une attention particulière », a-t-il indiqué.
A la lumière de toutes ses attentes, le maire Kwenzi Mikala a tenu à faire du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, citoyen d’honneur de la ville de Tchibanga et lui a offert au nom du conseil municipal de cette ville, une parcelle de terre d’un hectare et demi soit avec tous les papiers y afférents.
Le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba est accompagné de la première Dame, Sylvia Bongo Ondimba, ainsi que du gouvernement Paul Biyoghé Mba II.
25 janvier (GABONEWS) - Le Maire de la ville de Tchibanga, Jérôme Kwenzi Mikala, a présenté ce mardi au chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, les attentes de la population de localité qui accueille le troisième Conseil des ministres délocalisé qui se tient dans la province de la Nyanga (Sud), après Port-Gentil (Ogooué Maritime) et Oyem (Woleu-Ntem).
Dans son mot, l’édile de Tchibanga a présenté au chef de l’Etat les préoccupations, ainsi que les attentes de la population de la province de la Nyanga; une province dite agricole où l’agriculture et autre projet de développement devront être relancés en vue de dynamiser l’économie de cette localité.
Le maire de Tchibanga, Jérôme Kwenzi Mikala a ainsi déclaré que « les voies et moyens de lutter contre les déséquilibres en matière de développement doivent être trouvés afin d’acquérir une stabilité, une prospérité pour tous ».
« Les attentes de la population sont grandes mais je ne citerais que quelques-unes à savoir: l’extension du réseau d’eau et d’électricité pour que chaque habitant puisse en bénéficier, l’aménagement des voiries urbaines et des routes départementales afin que les habitants de Tchibanga puissent aller d’un quartier à un autre sans problèmes et que les habitants pussent circuler sans risques et puissent écouler sur le marché les produits de leur plantation; la construction des maisons socioéconomique et faire en sorte que les fonctionnaires ne refusent plus de rejoindre leur poste, la construction et l’équipement d’un hôtel de ville digne d’une capitale provinciale, la réhabilitation de radio 5 Massanga pour lui permettre de mieux assurer ses missions d’informations ».
Le vœu des populations de Tchibanga c’est aussi, a-t-il poursuivit « de voir se réaliser les projets retenus dans le cadre des fêtes tournantes. Il s’agit notamment, des travaux du palais présidentiel dont les travaux sont interrompus depuis un bon moment. Il est souhaitable que les travaux reprennent et aillent à leur terme ».
Dans le même sillage, les élus locaux de leurs côtés souhaitent voir la décentralisation devenir effective dans un avenir proche afin de rendre les collectivités locales attrayantes.
Le maire n’a pas manqué d’évoquer le problème de la sécurité. En effet, selon ce dernier « le contingent de gendarmes et de policiers affectés à Tchibanga, chef-lieu d’une province frontalière est largement insuffisant et leur condition de travail méritent une attention particulière », a-t-il indiqué.
A la lumière de toutes ses attentes, le maire Kwenzi Mikala a tenu à faire du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, citoyen d’honneur de la ville de Tchibanga et lui a offert au nom du conseil municipal de cette ville, une parcelle de terre d’un hectare et demi soit avec tous les papiers y afférents.
Le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba est accompagné de la première Dame, Sylvia Bongo Ondimba, ainsi que du gouvernement Paul Biyoghé Mba II.
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