MABIK MA KOMBILE explique que lorsque le tribun dit Diom nènu l’assistance repond Ka. Ka désigne l’ancêtre kagulil l’ancêtre qu'on pleure, kag le grand père et Ka exprimerait "ainsi soit il", "ce qui nous donne la force", "ce qui constitue notre force".
Dans la mythologie Egyptienne le Ka est le double ou la personnalité abstraite d'un homme et d'une femme. Le Ka pouvait se séparer ou s'unir au corps à volonté et pouvait se déplacer librement d'un endroit à l'autre. Le ka d'un mort devait être préservé pour que son corps devienne éternel. Des offrandes funéraires, telles que de la viande, des gâteaux et des onguents, étaient faites aux KA, et lorsque la nourriture n'était pas disponible, des offrandes étaient peintes sur les murs, accompagnées de la récitation de prières spécifiques. Le tombeau des premiers Égyptiens avait des chambres spéciales dans lesquelles le ka était vénéré et recevait des offrandes, et le sacerdoce comprenait un groupe appelé "prêtres du ka" qui accomplissait un service en l'honneur du ka. Selon une version du mythe de la création qui apparaît dans le texte de la pyramide, après que le dieu du soleil ait craché Shu et Tefnout, il les a entourés de ses bras afin que son "Ka puisse être en eux". Le Ka est étroitement associé au BA, l'âme.
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