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Dec 27, 2012
Le Nouveau Nyangou commence par VOUS?
I'm a developer designer -UX, Human Activist, entrepreneur, Blogger, writer, and business mentor. Founder of Gabonatura. I love culture, and environmental justice. Promote education in Africa.
Dec 11, 2012
Il est temps de faire équipe..
"Dilongi aghé basi ponzi." Trop parler ne sert à rien, il faut proposer, se regrouper en association et commencer à investir dans les secteurs prioritaires comme l'agriculture, l'éducation, l'art, la pêche , le tourisme , l'eau et l’électricité etc...Ces projets demandent qu'on se regroupe, comme le proverbe dit "Mulembu môsi agésusi yinzi''. Je cherche des entrepreneurs ambitieux et partenaires..contacter moi dans mon émail...Notre culture ne peut subsister que si nous avons les moyens financiers de la préserver..
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La pratique de la poterie chez les punu...
l'artisanatDans les temps anciens, les femmes Punu étaient bien connus pour leurs potéries, rendant chaudrons et des cruches d'eau en terre cuite décorée de motifs géométriques, ils commercent avec les Lumbu ou Tsogo; selon Deschamps (1962: 28) Ils ont également fait des "pots, cruches, jares et des vases » d'après M. Koumba Manfoumbi (1987: 230)", cruches, pots et chaudrons avec une couche spéciale blanc ou rouge argile qu'ils récupéraient "dans des lieux spéciaux dans la savane appelée mbilu (Koumba-Manfoumbi 1987: 230 ). L'argile a été tamisée pour enlever impuretés et de petits cailloux puis mélangée à l'eau pour faire une pâte assez fluide prêt pour la modélisation. Les pots finis ont été mises à sécher près d'un feu de joie. Elles étaient parfois peints et décorés avant leur utilisation.
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Di Kongu...Poterie punu
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modélisation
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poterie punu
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Sauvegarder la poterie..
L’art de la poterie en terre cuite est pratiqué dans la communauté du sud-ouest gabon. Les femmes qui font de la
poterie utilisent de la terre glaise, du grès altéré, de l’oxyde de fer,
de l’eau, du bois et de l’herbe pour faire des
pots de formes, motifs et styles divers qui rappellent les croyances et
les pratiques traditionnelles de la communauté. Les pots servent à
stocker la bière, aller
chercher l’eau, faire la cuisine, pour le culte des ancêtres et les
rituels traditionnels des guérisseurs.Après avoir été
recueillis, le grès altéré et l’argile sont pilés au mortier, puis
broyés et tamisés, et les poudres ainsi obtenues sont mélangées avec de
l’eau pour faire de la terre glaise. Les pots sont modelés en forme
arrondie, conique ou ovale, depuis la base en terminant par un bord
circulaire, et sont lissés avec une palette en bois. Une fois décorés,
ils sont placés dans un four à mine. Le savoir-faire de la poterie en
terre cuite se transmet aux filles et aux petites-filles par
l’observation et la pratique. Toutefois, la pratique risque de
disparaître en raison du nombre décroissant de maîtres-potières, des
prix bas des produits finis et de l’usage de plus en plus répandu des
récipients occidentaux. La pratique nécessite une sauvegarde urgente en raison du très faible
nombre de praticiens et de leur âge avancé, du manque d’intérêt pour
l’apprentissage des savoir-faire et des connaissances parmi les jeunes,
de de la concurrence induite par la production et l’utilisation
d’ustensiles fabriqués de manière industrielle et du faible rendement
économique de la poterie en terre cuite ;
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jares punu.
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la poterie gabonaise
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poterie punu
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potérie punu
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vase
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Dec 5, 2012
Language de la poterie punu
isa Language code: B43 Language: punu Translation: petite marmite
isanga Language code: B43 Language: punu Translation: cruche, gargoulette
-bumba; -bumbiga Language code: B43 Language: punu Translation: façonner ; embrasser // façonner un objet avec de l'argile(statuette, marmite, jarre, ...)
dwengu/nyengu Language code: B43 Language: punu Translation: marmite en terre cuite
ilambulu Language code: B43 Language: punu Translation: tout instrument de cuisine servant à faire cuire (casserole, poêle, marmite ...)
ipela/bipela Language code: B43 Language: punu Translation: assiette, plat.
itengi/bitengi Language code: B43 Language: punu Translation: tesson de bouteille, de marmite, de vase, etc... / carapace de tortue / valve de cocquillage / masque en bois qu'appliquent sur le visage les protagonistes des fétiches mukudji et ikwara pour leurs danses rituelles.
kôngu/bakôngu Language code: B43 Language: punu Translation: jarre, cruche en terre cuite.
mukoka/mikoka Language code: B43 Language: punu Translation: marmite en fonte, casserole en fer, aluminium.
pembi Language code: B43 Language: punu Translation: terre blanche argileuse.
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poterie punu
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Nov 14, 2012
Preparons nous allez implanter ce genre d'atelier dans le sud..
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Oct 30, 2012
Les origines punu
Ce peuple très important occupe, au Gabon, la plus grande partie des quatre districts de Mouila, Ndendé, Moabi et Tchibanga; on le trouve, au Congo, dans les districts de Divénié et de Mossendjo ainsi que près de Kibangou, au nord de la boucle du Niari.
Parentés
1) d'origine ou d'alliance matrimoniales: avec les peuples de Divénié (Kougni, Tsangui, Bouissi) et les Loumbou.
2) linguistique : avec les Loumbou, Eshira, Voungou, Sangou, et avec les voisins appartenant au groupe linguistique Bacongo ; Vili, Kougni, Yombé. Pas d'interprètes entre eux.
Origines et histoire
Venus du sud (tous d'accord) ; du Congo en traversant le Niari (tradition de Mouila); du Niari, de Loango et de Mossendjo (tradition Ndendé), de Bibaka aux sources de la Nyanga (trad. Tchibanga). Guidés par les Pygmées (Babongo) qui « faisaient la boussole» vers « le bon pays», ils ont suivi les savanes de la Ngounié. Ne connaissaient pas le taro et vivaient d'ignames et de bananes. La tradition de Ndendé est celle qui remonte le plus loin: Minga et sa femme, Buanga sont les ancêtres des Bapounou. Leurs descendants habitèrent Niali, sur la Nyanga; à Kouango, au bord de la Ngounié, eut lieu la séparation. Le clan dominant, les Bou-Mouélé, passa la rivière. Les BouDiala restèrent en deçà, pour conserver leur indépendance.
La tradition de Mouila célèbre les Boumouélé. Ce clan descend d'une femme, Simbou, et de son fils Mouélé,
fameux magicien. Celui-ci, pour traverser la Ngounié, se frotte a la cheville de terre blanche et put envoyer de l'autre côté de la rivière sa jambe sur laquelle passa toute le peuple.
Son neveu, Nzamba Simbou, fit aussi de nombreux miracles . Le pays avait déjà son aspect actuel: savanes et bouquets forestiers. Seuls s'y trouvaient des Babongo (pygmées) et des Bavoungou (il y a contestation sur ce point). Les Eshira, race mélangée, sont arrivés après. Les différents clans s'installèrent
dans la plaine. C'est plus tard que les Bapounou s' étendiren t dans la région montagneuse et boisée de l'ouest (Mayombe des Bapounou) et dans la partie nord de la savane de Tchibanga (en réalité Ibanga : en haut) où ils ne trouvèrent que des Babongo. Les militaires français, venus par Nyanga, occupèrent
Tchibanga; d'autres venus par le nord, occupèrent la Ngounié. Le principal événement notable fut la révolte de Moukabou, dans la région de Moabi, avant 1914, où se signala le Sénégalais Boubakar et Mavurulu Nyonda Makita..
Chronologie
Tradition Ndendé : il y aurait eu dix générations depuis l'établissement des Boudiala dans le pays.
Tradition Mouila : il y aurait eu neuf générations depuis Simbou.
Guerres
Les conflits se sont produits fréquemment entre les clans, notamment entre Boudiala et Boumouélé, voire même entre familles, pour des questions de femmes (enlèvement, adultère) ou des meurtres (surtout des empoisonnements dont les voisins étaient rendus responsables). Les intermariages, amenant des alliances de clans et de familles, étendaient les hostilités.
Le chef de la famille outragée envoyait des messages à ses alliés. On demandait à l'ennemi une compensation pour l'outrage (un esclave ou une terre). En cas de refus on se préparait à. la guerre : les guerriers recevaient des cicatrices sur le corps pour se reconnaître, puis on priait les ancêtres après avoir placé, dans une marmite, de la terre blanche, des herbes et de l'eau. On se servait de lances, de longs gourdins de bois, de matchettes, de haches. L'attaque du village ennemi avait lieu au petit jour.Société Famille matrilinéaire, mais patrilocale. Quand le père meurt, les enfants retournent à la famille maternelle dont le chef est l'oncle (Katsi). Depuis dix ans il y a une évolution dans le système paternel. La dot est payée au père qui partage avec l'oncle maternel. Le lévirat et le sororat étaient obligatoires, ainsi que l'exogamie de clan.
Les clans étaient nombreux; les clans Simbou et Boumouélé semblent avoir eu un rôle prépondérant (certains le contestent). Le chef de clan ou « roi » (moundoumba) réglait les palabres en tenant, comme chasse-mouches, une queue de bume ou une palme, qui avait alors un caractère sacré; ilétait assisté d'un orateur, pris parmi ses parent.s. Quand le roi mourait, sa famille (y compris les femmes) choisissait
le successeur. Des conseils de chefs de clans pouvaientrégler les palabres entre eux ou les affaires d'intérêt
commun. Chaque clan, bien que dispersé, avait ses territoires, sur lesquels d'autres pouvaient s'installer avec son autorisation, généralement obtenue par des alliances matrimoniales.
Parentés
1) d'origine ou d'alliance matrimoniales: avec les peuples de Divénié (Kougni, Tsangui, Bouissi) et les Loumbou.
2) linguistique : avec les Loumbou, Eshira, Voungou, Sangou, et avec les voisins appartenant au groupe linguistique Bacongo ; Vili, Kougni, Yombé. Pas d'interprètes entre eux.
Origines et histoire
Venus du sud (tous d'accord) ; du Congo en traversant le Niari (tradition de Mouila); du Niari, de Loango et de Mossendjo (tradition Ndendé), de Bibaka aux sources de la Nyanga (trad. Tchibanga). Guidés par les Pygmées (Babongo) qui « faisaient la boussole» vers « le bon pays», ils ont suivi les savanes de la Ngounié. Ne connaissaient pas le taro et vivaient d'ignames et de bananes. La tradition de Ndendé est celle qui remonte le plus loin: Minga et sa femme, Buanga sont les ancêtres des Bapounou. Leurs descendants habitèrent Niali, sur la Nyanga; à Kouango, au bord de la Ngounié, eut lieu la séparation. Le clan dominant, les Bou-Mouélé, passa la rivière. Les BouDiala restèrent en deçà, pour conserver leur indépendance.
La tradition de Mouila célèbre les Boumouélé. Ce clan descend d'une femme, Simbou, et de son fils Mouélé,
fameux magicien. Celui-ci, pour traverser la Ngounié, se frotte a la cheville de terre blanche et put envoyer de l'autre côté de la rivière sa jambe sur laquelle passa toute le peuple.
Son neveu, Nzamba Simbou, fit aussi de nombreux miracles . Le pays avait déjà son aspect actuel: savanes et bouquets forestiers. Seuls s'y trouvaient des Babongo (pygmées) et des Bavoungou (il y a contestation sur ce point). Les Eshira, race mélangée, sont arrivés après. Les différents clans s'installèrent
dans la plaine. C'est plus tard que les Bapounou s' étendiren t dans la région montagneuse et boisée de l'ouest (Mayombe des Bapounou) et dans la partie nord de la savane de Tchibanga (en réalité Ibanga : en haut) où ils ne trouvèrent que des Babongo. Les militaires français, venus par Nyanga, occupèrent
Tchibanga; d'autres venus par le nord, occupèrent la Ngounié. Le principal événement notable fut la révolte de Moukabou, dans la région de Moabi, avant 1914, où se signala le Sénégalais Boubakar et Mavurulu Nyonda Makita..
Chronologie
Tradition Ndendé : il y aurait eu dix générations depuis l'établissement des Boudiala dans le pays.
Tradition Mouila : il y aurait eu neuf générations depuis Simbou.
Guerres
Les conflits se sont produits fréquemment entre les clans, notamment entre Boudiala et Boumouélé, voire même entre familles, pour des questions de femmes (enlèvement, adultère) ou des meurtres (surtout des empoisonnements dont les voisins étaient rendus responsables). Les intermariages, amenant des alliances de clans et de familles, étendaient les hostilités.
Le chef de la famille outragée envoyait des messages à ses alliés. On demandait à l'ennemi une compensation pour l'outrage (un esclave ou une terre). En cas de refus on se préparait à. la guerre : les guerriers recevaient des cicatrices sur le corps pour se reconnaître, puis on priait les ancêtres après avoir placé, dans une marmite, de la terre blanche, des herbes et de l'eau. On se servait de lances, de longs gourdins de bois, de matchettes, de haches. L'attaque du village ennemi avait lieu au petit jour.Société Famille matrilinéaire, mais patrilocale. Quand le père meurt, les enfants retournent à la famille maternelle dont le chef est l'oncle (Katsi). Depuis dix ans il y a une évolution dans le système paternel. La dot est payée au père qui partage avec l'oncle maternel. Le lévirat et le sororat étaient obligatoires, ainsi que l'exogamie de clan.
Les clans étaient nombreux; les clans Simbou et Boumouélé semblent avoir eu un rôle prépondérant (certains le contestent). Le chef de clan ou « roi » (moundoumba) réglait les palabres en tenant, comme chasse-mouches, une queue de bume ou une palme, qui avait alors un caractère sacré; ilétait assisté d'un orateur, pris parmi ses parent.s. Quand le roi mourait, sa famille (y compris les femmes) choisissait
le successeur. Des conseils de chefs de clans pouvaientrégler les palabres entre eux ou les affaires d'intérêt
commun. Chaque clan, bien que dispersé, avait ses territoires, sur lesquels d'autres pouvaient s'installer avec son autorisation, généralement obtenue par des alliances matrimoniales.
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Oct 24, 2012
Meilleur documentaire punu 2012 Mackjoss réalisé par Dénise Boukandou
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Denise Boukandou.
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Mackjoss
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Makaya Mboumbe
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Oct 13, 2012
La poterie punu
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Oct 11, 2012
Comment faire un Ndengui?
Le tissage des carrés de raphia de la
N'GOUNIE semble se rattacher à cette
technique ... A l'époque de Du Chaillu,
les villages Mitsogho et Bapindji comportaient une grande quantité de maisons
communes contenant chacune 4 à 5
métiers devant lesquels les tisserands assis
fabriquaient leur toile...
Pour faire un Ndengui (un pagne) on
cousait ensemble plusieurs bongo ou dibongou ou
carré de toile raphia dont certains échan-
tillons sont tramés de fiches teintées à
la poudre de bois rouge ou par décoction
d'une graine colorante ou noircies par
rouissage ou décoction de feuilles et
même d'un métal ferrugineux ... Les cou-
leurs obtenues sont : deux sortes de rouge,
noir, violet, jaune d'or, que l'on combine
à la trame naturelle de la pétiole du palmier
raphia en motifs géométriques...
Ce tissu servait de pagne, on pouvait
également en faire des moustiquaires, il
servait également de valeur monétaire
Quelques vieux artisans de MBIGOU et
du Canton DIBOA avaient il y a peu detemps encore conservé cette technique.
Les punu étaient d'habiles artisans, les fibres étaient tirées d'une plante de la famille appelée Dyinimbe et séchées aux soleil puis les tisserands les passaient au métiers à tisser vertical et de construction compliqué.
Pour l'obtention des étoffes multicolores, les tisserands teintaient les fibres avant de les tisser. La couleur noire s'obtenait en faisant bouillir dans une grande marmite des espèces d'un cailloux noir vifs appelés Magogu que l'on ajoutait aux fruitx, feuilles et écorce d'un arbuste mumbucini alchorena cordifollia Mull. Arg.) auxquelles il fallait aussi adjoindre les écorces de noisetiers : mugumunu ( coulus edullis baill) le tout était pilé, mélangé à l'huile de palme et mis à bouillir dans une marmitte d'eau aux trois quart. Lorsque les fibres ont pris de la couleur on apportait la marmite et son contenu à la rivière. Là bas on procédait au lavage des fibres en frottant avec de la terre glaise avant de les rincer a grandes eaux. Enfin ils étaient mis à sécher au soleil avant de les tisser.
Hommes et femmes portent ces jupes brodées à des cérémonies rituelles importantes, y compris les funérailles ou mariages. Petits morceaux brodés étaient autrefois utilisés comme monnaie d'échange entre les personne.
La couleur rouge pour autant demandait moins d'effort de travail car elle était entretenue à partir des fruits de l'arbuste dénommé nguntcii-bamba (bixa-orellena L.) des noix de palmes mures crues et parfois un morceau de l'arbre de couleur rouge sang: isugu. le tout mis dans la marmite et bouillie l’opération de nettoyage était toujours la même sauf qu'on passait directement au rinçage sans enduire les fibres de terre glaise au préalable.
les tisserands passaient ensuite au tissage. La pièce d’étoffe tissée: dibongu; et l’assemblage de plusieurs d'entre elles donnaient ce qu'on appelait ngombu ; ndengui ou encore massieli. Pour arriver à ce stade l’opération duraient durant plusieurs jours.
Les étoffes ainsi produites servaient à la fabrication des vêtements du village ou a être échangées avec celles ethnies voisines.
Chaque localité se distinguait par le choix des couleurs et des motifs que par la qualité.
Et grâce aux echanges inter et intra-ethnique, le savoir faire passait ainsi d'une ethnie à une autre de nos jours , le mode vestimentaire à bien changé , les quelques ndengui qui existaient datant d'un siecle.
Les punu étaient d'habiles artisans, les fibres étaient tirées d'une plante de la famille appelée Dyinimbe et séchées aux soleil puis les tisserands les passaient au métiers à tisser vertical et de construction compliqué.
Pour l'obtention des étoffes multicolores, les tisserands teintaient les fibres avant de les tisser. La couleur noire s'obtenait en faisant bouillir dans une grande marmite des espèces d'un cailloux noir vifs appelés Magogu que l'on ajoutait aux fruitx, feuilles et écorce d'un arbuste mumbucini alchorena cordifollia Mull. Arg.) auxquelles il fallait aussi adjoindre les écorces de noisetiers : mugumunu ( coulus edullis baill) le tout était pilé, mélangé à l'huile de palme et mis à bouillir dans une marmitte d'eau aux trois quart. Lorsque les fibres ont pris de la couleur on apportait la marmite et son contenu à la rivière. Là bas on procédait au lavage des fibres en frottant avec de la terre glaise avant de les rincer a grandes eaux. Enfin ils étaient mis à sécher au soleil avant de les tisser.
Hommes et femmes portent ces jupes brodées à des cérémonies rituelles importantes, y compris les funérailles ou mariages. Petits morceaux brodés étaient autrefois utilisés comme monnaie d'échange entre les personne.
La couleur rouge pour autant demandait moins d'effort de travail car elle était entretenue à partir des fruits de l'arbuste dénommé nguntcii-bamba (bixa-orellena L.) des noix de palmes mures crues et parfois un morceau de l'arbre de couleur rouge sang: isugu. le tout mis dans la marmite et bouillie l’opération de nettoyage était toujours la même sauf qu'on passait directement au rinçage sans enduire les fibres de terre glaise au préalable.
les tisserands passaient ensuite au tissage. La pièce d’étoffe tissée: dibongu; et l’assemblage de plusieurs d'entre elles donnaient ce qu'on appelait ngombu ; ndengui ou encore massieli. Pour arriver à ce stade l’opération duraient durant plusieurs jours.
Les étoffes ainsi produites servaient à la fabrication des vêtements du village ou a être échangées avec celles ethnies voisines.
Chaque localité se distinguait par le choix des couleurs et des motifs que par la qualité.
Et grâce aux echanges inter et intra-ethnique, le savoir faire passait ainsi d'une ethnie à une autre de nos jours , le mode vestimentaire à bien changé , les quelques ndengui qui existaient datant d'un siecle.
Ici un exemple de Ndengui
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Oct 10, 2012
Comment construire une paire de Boots
Commencer par le haut et le talon.
le processus de sertissage est l'endroit où la pièce claque plat ou en cuir qui recouvre le pied est étiré et comprimé sur une planche à sertir. le résultat est une pièce moulée non plane ou 3D de cuir qui n'est plus la forme de la pièce de patron d'origine.
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Oct 9, 2012
Nyangou capitale de la mode ...
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Oct 8, 2012
Les derniers vraix punu.
Les derniers vraix punu sont ceux qui commémorent les savoir faire de leurs pères, ils portent le Ndengui. aiment la brousse, la famille même s'ils travaillent en ville. Leurs maisons sont décorées des vases, poteries, et nattes punu. On les appelle les irréductibles. Quand ils assistent aux obsèques d'un ancien ils portent autour des reins ou sur l’épaule le Ndengui, pour les plus riches ils le portent pendant les mariages à la coutume. Ils apprennent à leurs enfants le bukulu. Ils gardent précieusement leur héritage artistique bien qui sont ouvert à l'innovation et à la créativité. Ils écoutent ou jouent le sanza, ou le pluriac Nsambi, leurs femmes préparent dans les marmites en terre cuite, ils collectionnent les nattent et aiment aussi la vannerie. Ils ont l'amour de la vérité et du débat. Ils ont une passion pour la culture, la chasse et la pèche. Ils aiment parler en Yipunu. Ils sont très peux friands des produits occidentaux. . Ils aiment conserver l'eau dans leurs gourdes ou gargoulettes.Ce sont des innovateurs. Ils ont l'esprit du muteti le commerce.. Ces punu là ne sont plus nombreux. Si tu l'es pas tu peux le devenir.
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l'USAGE DU NDENGUI
A l'occasion de la mort d'un notable, pour simple parade, mariage à la coutume ou danse.
C’était de coutume pour les femmes d'exposer leurs jolies pagnes ou étoffes.. Les Ndengui aussi servaient comme monnaies d’échanges. Exemples des femmes de la cCite d'or arborant leurs pagnes traditionnels..
C’était de coutume pour les femmes d'exposer leurs jolies pagnes ou étoffes.. Les Ndengui aussi servaient comme monnaies d’échanges. Exemples des femmes de la cCite d'or arborant leurs pagnes traditionnels..
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Que sont devenues ses femmes?
Le Cercle des artisans de Mougoutsi succède à la F.A.M.O
(Internet Gabon 19/04/2004)
Le chef de l'Etat, Omar Bongo Ondimba, a remis à la présidente de cette association, Mme Bédienne Manomba, une enveloppe de 20 millions de FCFA.
Le Grand Prix du président de la République pour la Promotion des activités socio-économiques des femmes est revenu à l'association Cercle des artisans de Mougoutsi, qui a été à l'honneur cette année en remportant la 7e édition.
La présidente de ladite association, Bédienne Manomba, était manifestement envahie de fierté et d'un grand bien-être, samedi 17 avril dernier, à la cité de la Démocratie, en recevant des mains du chef de l'Etat, Omar Bongo Ondimba, une enveloppe à un montant de 20 millions de FCFA.
La somme récompensant la lauréate a d'ailleurs été revue à la hausse pour cette édition 2004. Celle-ci variait, en effet, les années précédentes, entre 7 et 10 millions de F.CFA.
Le Grand Prix du président de la République couronne, chaque année, à l'occasion de la journée nationale de la femme, ce, depuis son institutionnalisation en 1998, une activité socio-économique sélectionnée par un jury ad hoc.
Le ministère de la Famille, de la Protection de l'Enfance et de la Promotion de la femme ayant choisi comme thème cette année "L'art et l'artisanat", au regard de la politique de plein-emploi initiée par le chef de l'Etat, ce sont donc les femmes potières du département de Mougoutsi (Tchibanga) qui se sont distinguées en remplissant les critères d'attribution du prix, qui sont, selon le ministre Angélique Ngoma, la présentation, l'objectivité, la production, le rendement, l'utilisation et la gestion.
Le jury national dirigé par le ministre en charge de la Promotion de la Femme, a particulièrement été séduit par l'ensemble des éléments du dossier de l'association nynoise.
II faut dire que l'obtention de ce prix donne droit; également, à un voyage d'études à Dakar au Sénégal, dont le but est de permettre aux lauréates de s'imprégner des expériences de leurs sœurs étrangères, afin d'améliorer leurs connaissances dans leurs domaines d'activité. Un voyage offert, pour ce qui est du transport par la compagnie nationale Air-Gabon. Quant au séjour proprement dit, il est entièrement financé par le chef de l'Etat en personne.
Hormis le Grand prix proprement dit, le Grand Prix du président de la République comprend, également, neuf autres prix d'encouragement qui récompensent les femmes qui se sont, elles aussi distinguées, à travers le territoire. Une façon en tout cas d'encourager les femmes à s'impliquer davantage dans le processus du développement, à travers la création des groupements socio- économiques ou simplement, en contribuant à la revalorisation des ressources locales.
L'on sait que depuis un certain temps déjà, La politique du chef de l'Etat en faveur de la promotion des femmes a pris une nouvelle impulsion. Celle-ci se traduit par une volonté accrue d'aider la gent féminine à être plus autonome, ce que traduit avec éclat le Grand prix du président de la République. Lequel favorise l'implication des femmes dans la mise en oeuvre des politiques de production. Demeure que, récemment encore, le président Bongo Ondimba a revu à la hausse le nombre de femmes dans les cabinets ministériels..
LA DIMENSION TOURISTIQUE • Chaque année, un grand nombre de femmes concourent au Grand Prix du président de la République. Le thème de cette année "L'art et l'artisanat" a, tout autant que ceux des années précédentes, suscité l'engouement de cette composante sociale. Seulement, pour l'édition 2004, il y avait ceci de particulier qu'on n'y a introduit une dimension touristique. Car, l'art autant que l'artisanat sont des activités qui drainent suffisamment de touristes.
De même qu'au regard de la politique de plein-emploi initiée par le chef de l'Etat, l'art et artisanat constituent des activités créatrices d'emplois pour lutter contre le chômage vécu gravement depuis quelque temps déjà dans notre pays. C'est la raison pour laquelle le ministère du Tourisme a été associé à la cérémonie de remise du Grand Prix du président de la République cette année.
Cette distinction s'inscrit, non seulement dans le cadre de la revalorisation de la femme gabonaise en tant qu'acteur de développement, par rapport à l'entreprenariat féminin, mais d'abord et surtout, dans les stratégies globales du développement durable. L'industrie touristique étant pour un certain nombre de pays du continent africain la principale source d'entrée de devises, peut être aussi un atout de développement de notre pays. L'artisanat pouvant constituer à cet égard l'un des outils de sa valorisation.
Pour bien montrer l'importance que revêt le tourisme aujourd'hui, et surtout pour compter parmi les grands réceptacles de touristes du continent dans les années à venir, le ministère du Tourisme a envoyé en stage 103 étudiants, dont 43 femmes. Une preuve de plus que les femmes sont réellement présentes dans le processus de développement de notre pays.
La journée nationale de la femme qui s'est achevée en apothéose, samedi dernier à la cité de la Démocratie, avec la remise du Grand Prix du président de la République, a été marquée par la présence de l'épouse du chef de l'Etat, Mme Edith Lucie Bongo Ondimba, ainsi que celle de plusieurs personnalités politiques du pays et leurs épouses. Lesquelles ont assisté à une cérémonie bien synchronisée, au cours de laquelle ont alterné discours, sketches, défilé de mode avec la présentation de la nouvelle collection du jeune Quentin de Mongaryas. Angèle Assélé et Amandine assurant, quant à elles, la partie spectacle qui a manifestement enflammé la salle. Rendez-vous a été pris pour l'année prochaine. L'agriculture constituera le thème de la compétition pour 2005.
Les primées de 2004
Lauréate nationale
Association Cercle des artisans de Mougoutsi (Activité collective: Poterie: Tchibanga)
Présidente : Bedienne Manomba
Prix d'Encouragement
•ler Prix
Association Buinu Bu Bakuli (Activité collective: Tissage de nattes: Mayumba)
Présidente : Thérèse Mahinou, ép Panzou
• 2e Prix
Mme Marie Jeanne Sanga (Activités individuelles- Poterie et Peinture: Komo Mondah)
•3e Prix
Mme Marienne Dambassa (Activités individuelles-Tissage de nattes et vannerie fine: Koulamou
•4e Prix
Mme Diavou Moussavou (Activité individuelle Borderie: Port-Gentil)
• 5e Prix
Mme Marie Claire Mokoko Bouka (Activité individuelle: Broderie: Makokou)
• 6e Prix
Marie Léa AdOng Obiang (Activité individuelle: Tissage des nattes et corbeilles: Akam I à Oyem)
• 7e Prix
Mme Marie Augustine (Activité individuelle: Couturé: Mandji)
• 8e Prix
Mme Brigitte Angomo (Activité individuelle: Couture: Franceville)
•9e Prix
Mme Bryly Yvonne (Activité individuelle: Broderie: Lambaréné).
Les différentes lauréates
2000 : Jeanne Okoumba (Agriculture vivrière, Haut-Oooué)
2001 : Mme Ondeno née Ignambi Laurence (pêcherie/Ogooué-Maritime)
2002: Florence Mengoua Otsaga (élevage poules et porcs/Woleu-Ntem)
2003 : Lydie Claire Mayika (Agriculture/Haut-Ogooué)
2004 : Bédienne Manomba (Poterie/Nyanga)
Source : Journal l'Union Plus du 19/04/2004
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L'art de tricoter.
Le tricot a une longue et passionnante histoire. Sa technique remonte sans doute à la fin de l'époque néolithique et ce fut probablement une découverte des peuples nomades de l'Arabie, qui vivaient en marge des riches civilisations sédentaires du « croissant fertile » : Egypte, Assyrie, Babylone... L'extrême simplicité des moyens employés convenait bien du reste à ces tribus sans cesse en déplacement : pas de matériel encombrant, pas de « métiers» à transporter. La science immémoriale des nœuds coulants favorisa aussi sans doute l'apprentissage de cette nouvelle technique.
D'Arabie, le tricot se transmit ensuite vers l'Est jusqu'au Tibet et vers l'Ouest chez les peuples du Bassin méditerranéen d'où, par les marchands, il se répandit dans tout l'Occident. Cette longue histoire n'a pas laissé beaucoup de vestiges. Pourtant les archéologues ont trouvé en Égypte des socquettes de laine rouge qui furent sans doute tricotées au IV siècle et qui sont aujourd'hui exposées à Londres, au Victoria and Albert Muséum. Le point est du jersey torse...
Tricoter est devenu depuis lors une activité féminine traditionnelle sous toutes les latitudes. De coton, de soie, de laine, le vêtement en tricot fut à la mode jusqu'à la fin du XVIII siècle. A cette époque, sans doute sous l'effet de la concurrence du tissage, le tricot ne fut plus utilisé qu'en sous-vêtement.D'autres informations historiques sont données sur cet excellent site, avec un aperçu des différents types de vêtements tricotés.
C’est vers les années 20, que mademoiselle Chanel donna un nouvel essor au tricot vêtement. Dans les sixties’, il avait reconquis sa place pour redevenir beaucoup moins pratiqué de nos jours, au point que le nombre de filatures en Europe a été divisé par vingt-cinq dans les dix dernières années.
Aujourd’hui, en 2005, seul subsiste pratiquement le tricot industriel, probablement parce que le tricot à la main coûte beaucoup de temps et donc reviendrait trop cher à commercialiser. Pourtant toutes les tricoteuses savent à quel point une réalisation artisanale est plus belle, solide et confortable, outre le plaisir d’être l’auteur de sa réalisation. Enfin, il ne faut pas oublier que le tricot n'a jamais cessé d'être utilisé en décoration. Il apporte en effet, dans tous les styles d'intérieur, un élément incomparable de confort.
Aujourd’hui, un renouvellement de l’intérêt pour le tricot semble vouloir revenir. Certes, les derniers fabricants de machines à tricoter populaires sont en voie de disparition, et il faut vraiment fouiller le marché de l’occasion pour retrouver d’anciens modèles ou récupérer des pièces détachées. La technique manuelle reste, et il m’est venu à penser qu’il serait dommage de laisser perdre un savoir faire si ancien, aussi vieux que nos civilisations. Peut-être que notre effort pour partager nos connaissances sur ce site contribuera à maintenir une vieille tradition. C’est du moins notre vœu le plus cher.
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Sep 30, 2012
Le métier de bottier
Le bottier fabrique des chaussures « à la main », souvent avec des
matériaux de grande qualité. Découpe, montage, finition des pièces...
tout repose sur un travail d'assemblage passant par des opérations de
piquage, collage, rivetage, agrafage effectuées à la main. Le métier de
bottier est un véritable métier d'artiste... avec peu de débouchés.
Vie professionnelle
Dans la mode ou artisan
Le bottier travaille dans des ateliers de prototypes des maisons de
mode ou au sein de l'industrie de la chaussure. Il peut aussi exercer à
domicile en tant qu'artisan.
Peu de bottiers
Il reste environ une trentaine de bottiers en France. Depuis une
vingtaine d'années, le secteur industriel de la chaussure est marqué par
les cessations d'activité et les restructurations. Le haut de gamme est
également touché par la crise.
Une spécialisation possible
Le bottier peut aussi se spécialiser dans la chaussure orthopédique.
Il conçoit et fabrique des orthèses plantaires sur mesure. Les orthèses
sont destinées à corriger un défaut ou une faiblesse. Par exemple, une
semelle orthopédique pour redresser une voûte plantaire affaissée. Il
peut aussi s'occuper de la réparation et de l'entretien des chaussures.
Salaire du débutant
1280 euros brut par mois.
Conditions de travail
Un travail de longue haleine
Un bottier fabrique environ une quarantaine de paires de bottes et
chaussures par an. C'est un travail long et minutieux. Pour un modèle
homme, il faut compter de 35 à 40 h de travail, 3 essayages et une
centaine de manipulations.
Fragile et solide à la fois
Le cuir est un matériau à la fois très fragile et très solide. Il
faut beaucoup de force physique pour coudre, râper mais aussi beaucoup
de délicatesse. Le geste doit être maîtrisé et combiner une grande
souplesse alliée à une précision sans faille.
Le meilleur cuir
L'élégance et la durée de vie d'une chaussure dépendent de la qualité
des différents matériaux dans lesquels elle est réalisée. C'est
pourquoi l'artisan accorde une grande importance au choix du cuir.
Compétences
Un artiste avant tout
Le bottier est souvent un artiste, du moins un passionné qui adore
travailler le cuir. La fabrication d'une chaussure requiert une grande
dextérité, un esprit créatif et novateur. De plus, il doit entretenir de
bonnes relations avec sa clientèle à qui il vend un peu de rêve.
Une clientèle exigeante
Ses clients sont souvent des personnes qui occupent une place
importante dans la société : hommes politiques, hommes d'affaires, mais
aussi stars du cinéma... Exigeants, ils recherchent un produit unique,
confortable, solide et élégant.
Nature du travail
Plus de 100 opérations
La fabrication d'une chaussure comporte plus d'une centaine
d'opérations. La première étape est la réalisation de la forme,
c'est-à-dire la reproduction en bois du pied du client. Il dessine alors
sur le papier tous les éléments du modèle choisi par le client et
prépare le patron papier. Il sélectionne ensuite avec soin le cuir dans
lequel il fabriquera la chaussure.
D'abord la partie supérieure...
Il assemble ensuite la partie supérieure de la chaussure, la tige.
L'artisan découpe les différentes parties du cuir qui seront assemblées
entre elles. Il colle les éléments de peaux pour doubler la chaussure et
procède au piquage. Une fois les renforts et la doublure fixés, la tige
montée, il s'occupe des finitions du dessus de la chaussure.
... puis le dessous
Il peut maintenant commencer l'assemblage. Il découpe les différentes
parties du dessous, puis cloud les éléments du semelage. Avant la pose
du talon, il réalise un dernier polissage ainsi que les finitions
nécessaires. Puis il retire la forme. Il existe plusieurs types de
montage : le norvégien, le soudé, le cousu Goodyear...
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Qui sera le premier bajag bottier?
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Sep 27, 2012
Ce que nous pouvons créer dans la Nyangou.
Un magazine, une école de musique,une école de théâtre, une école de danse, les paniers, les nattes , les sacs, les couteaux, les sacs, les chapeaux, le Ndengui, le raphia et autre textiles, Les jus de fruits: mangues, avocat, ananas etc..., les thés,les cafés, chocolat,les épices, les fromages et autres charcuterie, la mayonnaise, la moutarde , tableaux, guitares acoustiques, confitures, meubles, couturiers, carottes, bananes, marmite en terre cuite,métallier, gourde,vases, céramiques,digital art,sacs,gants,portefeuilles, bijoux, chaussures, boots,meubles,sculpture, gravures, photographe, garagiste,potérie., vendeur en alimentation, volailler, éleveurs.
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Sep 26, 2012
Entrer dans l'histoire en ouvrant son atélier dans la Nyangou.
Nos parents étaient des grands artisans et sculpteurs. Il suffit juste de croire en toi même.
Petit sacs parfait pour les cellulaires
Petit couteau sculpté, le métier de coutellerie n'existe pas encore dans la Nyangou
Sac en cuir
Sac en raphia
Bracelet
Pagnes en coton
La Santiag
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