Autour du thème de l’inquiétude et de la mort.
Pour ma part comme pour beaucoup d’autres personnes, l’écriture est un mélange de l’imaginaire et du vécu de l’auteur. C’est pourquoi on trouve des produits courants comme les cotis, les boissons modernes ( djino, regab, etc) à côté des provisions venant du terroir.
Pour ma part comme pour beaucoup d’autres personnes, l’écriture est un mélange de l’imaginaire et du vécu de l’auteur. C’est pourquoi on trouve des produits courants comme les cotis, les boissons modernes ( djino, regab, etc) à côté des provisions venant du terroir.
En ville, le vin de palme est une boisson rare. C’est
pourquoi les membres du retrait de deuil veulent en boire à bas prix
lors de ce court séjour au village.
Les églises catholique et protestante sont implantées
dans les centres urbains ou d’autres regroupements plus importants que
le village. Les responsables ont leurs raisons non liées au degré
d’animisme des villageois.
Les églises éveillées installent parfois de petites
cellules de prière dans les villages et qui ne sont pas comparables à de
véritables églises.
Le mwiri est à la fois un mythe et une société
secrète des hommes..Les femmes ont les leurs comme le nyembé ou ndjémbé,
le lyssimbou, le mougoulou, etc. Le mwiri a été prévu ici parce-que ce
retrait de deuil fait suite à la mort d’un homme qui etait initié à ce
rite. Le choix d’un homme est tout simplement un hasard.
L’épopée Mumbwang est maîtrisée à la fois par les hommes que par les femmes. Le choix d’une femme est ici hasardeux.
Après avoir mangé, les convives laissent leurs assiettes sur les tables où les hôtesses ont plus de facilité pour les ramasser.
La société actuelle est métissée culturellement, c’est pourquoi ce retrait de deuil a des formes traditionnelles et modernes.La veuve peut rester dans la famille de son mari décédé même si elle n’a pas eu d’enfant.
La présence des enfants est tout simplement un facteur qui resserrent un peu plus les liens entre celle-ci et sa belle famille.
Les questions qui ont suscitées ces réponses seront
mises en ligne le plus tôt possible. Mais si vous voulez mieux les
comprendre, il suffit de lire » échos du chemin de NZA MATEKI.
Source: La plume et les mots
"Celui qui voyage se fait un devoir de prêter ses sens, par des lettres, à ceux qui sont restés à la maison, afin de leur donner l'occasion d'apprécier les sons, le couleurs, les parfums, les formes, les mouvements, etc. de tous les milieux traversés. / Dimbroko était l'un des navires qui assuraient la liaison entre Lambaréné et Port-Gentil à une époque reculée. / Le rite des jumeaux est souvent entouré de mystères comme on le voit dans le mwiri qui demeure encore un mythe de nos jours.[...]" (Résumé de l'éditeur).
Source : Mukanda
Nza-Mateki. Échos du chemin : nouvelles. Libreville : Éd. Raponda-Walker, coll. Fictions, 2007, 77 p., 22 cm – ISBN 2-912776-69-4.
"Celui qui voyage se fait un devoir de prêter ses sens, par des lettres, à ceux qui sont restés à la maison, afin de leur donner l'occasion d'apprécier les sons, le couleurs, les parfums, les formes, les mouvements, etc. de tous les milieux traversés. / Dimbroko était l'un des navires qui assuraient la liaison entre Lambaréné et Port-Gentil à une époque reculée. / Le rite des jumeaux est souvent entouré de mystères comme on le voit dans le mwiri qui demeure encore un mythe de nos jours.[...]" (Résumé de l'éditeur).
Source : Mukanda
Éditeur | Fondation Raponda-Walker (FRW) |
Nza-Mateki. Échos du chemin : nouvelles. Libreville : Éd. Raponda-Walker, coll. Fictions, 2007, 77 p., 22 cm – ISBN 2-912776-69-4.
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