Masllege Ghoghutugh En
effet oui, Jean Manola. Si les griots tendent à se rarifier chez les
punu, les Evovi, mieux "Bivovi", quant à eux pillulent encore chez nous.
Ce sont eux qui animent les joutes verbales dans les cérémonies
funéraires ou de mariages, etc. Ils ont le don
de la parole, ils sont dotés d'une sagesse ainsi que d'une science
historique et épique certaines. Tous les juges coutumiers sont aussi des
Bivovi, et on en trouve dans chaque sous-clan. Mon père en était un,
mais j'avais jamais su comment il faisait. Il était quelque fois
sollicité dans d'autres contrées pour représenter son clan ou sa tribu.
Bonaventure Kassa Mihindou Ivovi
est un débatteur qui maîtrise un savoir traditionnel à même de donner
la réplique idoine à son vis-à-vis au nom du clan qui lui demande de
parler pour lui (proverbes, contes, généalogies des familles, relations
et autres faits transversaux entre les
clans en pourparlers, procédure codifiée de la palabre ainsi que la
sémantique qui va avec). Des bivovi, nous en avons encore d'excellents,
et de plus en plus jeunes, chez nous.
Bonaventure Kassa Mihindou Il
n'y a pas de secrets particuliers en cela, même si, toutefois, certains
ont recours à la feuille "tangimine" qui permettrait d'améliorer la
mémoire, afin de se souvenir de tout et d'éviter de radoter. L'expertise
de l'oralité a ses canons qui sont reconnus par les assemblées
d'auditeurs et de fins connaisseurs qui acquiessent à chaque énoncé. "u
djabe diawu", dit l'ivovi ; "U djabe di mbatsi", ŕépond l'assemblé.
Alain Roger Moussavou Bukulutu : Elévation spirituelle, grandeur spirituelle...
1. Alain Roger Musavu qui a choisi le vocable BUKULUTU dans le sens que la grandeur vient de la grande connaissance de soi, de son passe et de son Environnement social ou ecologique
2. D' accord avec Franck Mavioghe qui definit la grandeur de l' homme quant a sa quete de Noblesse, de fierte intime et statutaire ( BUNDUMBE) .
Tout cela se retrouve dans BUMUTU que nos parents bantu sud-africains appellent UBUNTU
Alain Roger Moussavou IRIMBE:
Quand un homme meurt, il est demandé à la veuve de donner au clan
maternel de son époux décédé, un tribut dénommé irimbe. Ce tribut sert à
pousser le mari; l'expression consacrée est " U sindil mulumi", ainsi,
la veuve enterre son époux.
Irimbe signifie que la veuve reconnaît que l'homme décédé était bien son mari. Elle dédouane ainsi sa progéniture, si elle existe. Elle sollicite la bénédiction de la famille du défunt sur les enfants...
Irimbe sert à dédommager la famille du défunt quand bien même la veuve n'est pas responsable de son décès...
IKUMBU: A la suite du décès de son épouse, il est démandé à l'homme de payer un tribut dénommé Ikumbu. Participent au paiement de ce tribut: les membres, les alliés, les enfants et les petits fils du clan de l'époux
Irimbe signifie que la veuve reconnaît que l'homme décédé était bien son mari. Elle dédouane ainsi sa progéniture, si elle existe. Elle sollicite la bénédiction de la famille du défunt sur les enfants...
Irimbe sert à dédommager la famille du défunt quand bien même la veuve n'est pas responsable de son décès...
IKUMBU: A la suite du décès de son épouse, il est démandé à l'homme de payer un tribut dénommé Ikumbu. Participent au paiement de ce tribut: les membres, les alliés, les enfants et les petits fils du clan de l'époux
Mavioga Franck Awou
mè Maviog mwane Maviog ma muteli na Ndo Mukaghe. Tate Mugambu. Mame
modji Boudiégui O Bisir bi ngossi. O yari yi tate, bakaghe bami Maviog
ma Bouk mwisse Djungu O Malolu na Manfou- ma- Nzambe modji Bagambu. O
yari yi mame, bakaghe bami Muka-Mbuti mwisse Dibure-Simbou O Tsumbu na
Bivi- bi- Ivang mwane Manfou- ma- Pambou mwisse Mouile Mangondou na
Ibing- yi- Mitoukou mwisse Mulandu Fuale.
Vous
revenez de Tchibanga, à un poste de contrôle sur la nationale 4 entre
Ndendé et Mouila, un gendarme Mupunu demande aux Punu qui sont dans le
bus de décliner leur identité en donnant les informations suivantes en
yipunu:
*Votre nom, le nom de votre père, le nom de votre mère, votre clan, le clan de votre père et le clan de votre grand père paternel.
Dans le bus se trouvent quelques dignitaires du groupe "PUNU CULTURE ET TRADITION", et le premier réagit comme suit:
* Mè dine diami Mussa Bignumb;
* Mè mwane Bignumb bi Mundungue;
* Ngudjami Mussunde Mussavu;
* Ifumbe yami Badumbi, Badumbi na dughandu du ghatughe, irumbu y kumu, iroghe i ma roghe mambe;
* Itadji yami Dibambe kadi, kotu mugnighe, bane mu niabi, diangue di ma bure mbéndi;
*Ikagha yami Budjale, Budjale bu djale matoghu dighumi na bane na nièmbe.
La synthèse donne: Mè la Mussu Bignumb, mwane Bignumb bi Mundungue na Mussunde Mussavu; mè mudumbi na dughandu; mè mwane dibambe kadi; ikaghe yami budjale. Voici la carte d'identité du Punu, à vous de présenter la votre. Linganuéé tuke vioghééé!!!!!!!
*Votre nom, le nom de votre père, le nom de votre mère, votre clan, le clan de votre père et le clan de votre grand père paternel.
Dans le bus se trouvent quelques dignitaires du groupe "PUNU CULTURE ET TRADITION", et le premier réagit comme suit:
* Mè dine diami Mussa Bignumb;
* Mè mwane Bignumb bi Mundungue;
* Ngudjami Mussunde Mussavu;
* Ifumbe yami Badumbi, Badumbi na dughandu du ghatughe, irumbu y kumu, iroghe i ma roghe mambe;
* Itadji yami Dibambe kadi, kotu mugnighe, bane mu niabi, diangue di ma bure mbéndi;
*Ikagha yami Budjale, Budjale bu djale matoghu dighumi na bane na nièmbe.
La synthèse donne: Mè la Mussu Bignumb, mwane Bignumb bi Mundungue na Mussunde Mussavu; mè mudumbi na dughandu; mè mwane dibambe kadi; ikaghe yami budjale. Voici la carte d'identité du Punu, à vous de présenter la votre. Linganuéé tuke vioghééé!!!!!!!
Raphael Mbadinga Tout
commence par une jeune fille de budjal de la Plaine ( entendez par la
de la Ngunie) qui se marie a un homme de Moabi ( Madjombi) du clan
Djungu Pasi. Djungu c' est ilabu, muboghe,
Cette nouvelle mariee se rendit a Moabi accompagnee de son jeune frere, donc un de budjal. Ce dernier grandit la-bas et se declara proprietaire terrien autour de l' arbre sacre (le moabi) en prouvant au Chef Bavela qu' il avait plante les lances sur les cimes de l' arbre.
Le chef Muvel ordonna a un pygmee de grimper le moabi; il descendit avec des lances effectivement. Son beau-frere ( Muise-djungu Pasi) n' ayant pas pense a un conflit foncier n' avait pas des preuves. Le verdict tomba en faveur du jeune muiss-budjal ou Musung en inzebi -Masango, mais tout le monde savait bien qu' il n' etait pas originaire de Moabi.
C' est ainsi qu'on dit de lui qu' il est desormais Mudumbi du Inang yi- Moabi.
Nb: avant de vous facher, demandez a tous les badumbi de Masange, Mayumb, et d' ailleurs leur origine svp.
Cette nouvelle mariee se rendit a Moabi accompagnee de son jeune frere, donc un de budjal. Ce dernier grandit la-bas et se declara proprietaire terrien autour de l' arbre sacre (le moabi) en prouvant au Chef Bavela qu' il avait plante les lances sur les cimes de l' arbre.
Le chef Muvel ordonna a un pygmee de grimper le moabi; il descendit avec des lances effectivement. Son beau-frere ( Muise-djungu Pasi) n' ayant pas pense a un conflit foncier n' avait pas des preuves. Le verdict tomba en faveur du jeune muiss-budjal ou Musung en inzebi -Masango, mais tout le monde savait bien qu' il n' etait pas originaire de Moabi.
C' est ainsi qu'on dit de lui qu' il est desormais Mudumbi du Inang yi- Moabi.
Nb: avant de vous facher, demandez a tous les badumbi de Masange, Mayumb, et d' ailleurs leur origine svp.
Placide Ibouanga Moussounda À
Mr Fredh Souleymane Foumbi! Votre questionnement à propos des origines
des Punu au sujet de la thèse de Mme Monique Koumba Manfoumbi m' amènent
à réagir. J'ai une preuve irrefutable dont le fil conducteur est
l'Artiste Gabonais Makaye Ma Mbumbe Christian
alias Mackjoss. Ses chansons sur nos origines m'ont conduit depuis de
nombreuses années à faire des recherches personnelles au Congo-Kinshasa
dès que suis arrivé en France. Je me suis resolu d'abord à étoffer à
parler le "Ingala" que je parlais et entendais déjá bien quand j'étais
enfant, en plus du "Mùnù Kutùbá" langue parlée sur la Côtière de l'Océan
Atlantique de Sette Cama, Mayumba (Gabon), Pointe-Noire, Dolisie
(Congo-Brazzaville) à Matadi, Moanda et Boma dans le Bas-Congo (Ex
Zaïre, actuellement Congo RD). De mes multiples fréquentations des
Congolais de la RDC, j'ai croisé des personnes parlant une langue
profondement apparentée au Punu. Cette langue est appelée le Bayaka, et
est parlée par la population de la Région de Bandundu. Je citerai parmi
mes rencontres l'Artiste célèbre Congolais Werrason que j'ai souvent
rencontré à Paris et qui m'a surnomé "Mwana Muyaka". Lui expliquant mes
recherches, ce dernier avec d'autres Congolais m'avaient confirmé que
les Artistes Tabu Ley aujourd'hui décédé, Stino Mubi, Stervos Niarkos
décédé en 1995, et beaucoup d'autres de l'orchestre Kiam sont issus des
Bayaka ( groupe ethnique RDcongolais très apparenté linguistiquement
aux Punu du Gabon et du Congo- Brazzaville). De mes autres recherches
diverses, j'ai été amené autour du Lac Tanganika près de la Région de
naissance de feu Laurent Désiré Kabila (Sud Maniéma) et les Régions du
Lomami et du Tanganika) où j'ai decouvert une ethnie dont la langue
parlée s'apparente linguistiquement également au Punu. D'ailleurs, j'ai
un projet de sějour en RDC pour la poursuite de mes recherches... J'y
reviendrai ultérieurement plus en profondeur là dessus... Car je suis
actuellement entre les Lacs Tanganika et Kivu, la Région du Katanga, la
Zambie et le Kénya dans le même objectif. Rassurez-vous Compatriotes
que nous aurons beaucoup à nous dire... Alors, pour moi, la thèse de
Mme Monique Koumba Manfoumbi va bien dans le sens de la réalité
historique des origines Punu, même s'il y aurait de nombreuses
incohérences et zones d'ombre...
Aussi, je conseilllerai à nombreux d'entre nous de visiter les travaux
de l'Abbé Mbumbe Buasse sur la question...
Raphael Mbadinga Ceux
qui me suivent savent que je ne plonge jamais dans la polemique entendu
que nous ne sommes pas en amphitheatre, nous essayons ici d' echanger
entre contemporains, pour resrauration de notre identite culturelle.
A Franck Mavioghe je confirme que certains africanistes ont eu tort de vouloir separer le punu du Ghisir, du musangu, du muvungu, muvarme, du mulumbu et meme du muvili, nzebi.
Cetains africanistes ont affirme que le mupunu n' a aucun lien avec les loangu. Ce qui a permis a certains vili, lumbu, ghisir et varme de s' assimiler facilement aux ngomiene lorsque des politiciens gabonais appuyes par des Conseillers etrangers ont eu peur de la puissance d' une Multi-Ethnie Merie ( regroupant la majorite des peuples de Nyangou).
Bref, je confirme que ka-Buange, ka- Nyangi-Ngoyi et ka-Ndinge, ka Ngoli, ka-Upasi sont nos ancetres communs.
A Franck Mavioghe je confirme que certains africanistes ont eu tort de vouloir separer le punu du Ghisir, du musangu, du muvungu, muvarme, du mulumbu et meme du muvili, nzebi.
Cetains africanistes ont affirme que le mupunu n' a aucun lien avec les loangu. Ce qui a permis a certains vili, lumbu, ghisir et varme de s' assimiler facilement aux ngomiene lorsque des politiciens gabonais appuyes par des Conseillers etrangers ont eu peur de la puissance d' une Multi-Ethnie Merie ( regroupant la majorite des peuples de Nyangou).
Bref, je confirme que ka-Buange, ka- Nyangi-Ngoyi et ka-Ndinge, ka Ngoli, ka-Upasi sont nos ancetres communs.
Raphael Mbadinga Un temoignage du Leadership des Badumbi que je puisse faire pwrsonnellement:
Le tres Puissant et charismatique chef des terres Maam-Bisielu-Bi-Hanze..Mes premieres annees d' existence 1960-70 ont ete bercees par l' autorite cantonale de Moabi.
Un des Sous-Prefets affecte chez nous avait tente de baisser l' autorite de.notre Chef de Canton en le giflant. La reaction de Maam--Sielu est loin de notre imagination contemporaine. Il a fait tomber de maniere ininterrompue la pluie et la tornade rien que sur la Residence et le Bureau du Sous-Prefet. La toiture volait en eclat, et quand il essayait d' entrer quelque part ailleurs, la pluie et la tornade s' abattaient sur les lieux. Lorsqu' il tentait de fuir dans sa voiture de service, la tornade et la pluie le poursuivaient partout. Le Sous-Prefet etait oblige de se prosterner a genoux devant le Chef de Canton.
2eme fait vecu:
Un Ingenieur Agronome ( fang du Nord) a viole malgre les consignes, les regles de la vie des etrangers a Moabi.
Il etait formellement interdit a tout etranger au clan Badumbi d' entrer dans le bois appele Miamba ( une foret interdite situee en plein centre de Moabi.
Mais le jeune Fonctionnaire fang defia les consignes du Chef de Canton.
Il entra dans le bois et y passa pres de 3 jours perdu alors que c' est un bosquet. Maam Sielu-Bi-Hanze reunit les fonctionnaires et leur annonca qu' il fera sortir le Jeune Ingenieur Agronome pour qu' il vienne temoigner.
Il sorti du bosquet avec la peau de l' abdomene ouverte et les intestins a la main. Apres avoir raconte sa mesaventure, il fut evacue a Libreville.........
C' est du vecu ..
Le tres Puissant et charismatique chef des terres Maam-Bisielu-Bi-Hanze..Mes premieres annees d' existence 1960-70 ont ete bercees par l' autorite cantonale de Moabi.
Un des Sous-Prefets affecte chez nous avait tente de baisser l' autorite de.notre Chef de Canton en le giflant. La reaction de Maam--Sielu est loin de notre imagination contemporaine. Il a fait tomber de maniere ininterrompue la pluie et la tornade rien que sur la Residence et le Bureau du Sous-Prefet. La toiture volait en eclat, et quand il essayait d' entrer quelque part ailleurs, la pluie et la tornade s' abattaient sur les lieux. Lorsqu' il tentait de fuir dans sa voiture de service, la tornade et la pluie le poursuivaient partout. Le Sous-Prefet etait oblige de se prosterner a genoux devant le Chef de Canton.
2eme fait vecu:
Un Ingenieur Agronome ( fang du Nord) a viole malgre les consignes, les regles de la vie des etrangers a Moabi.
Il etait formellement interdit a tout etranger au clan Badumbi d' entrer dans le bois appele Miamba ( une foret interdite situee en plein centre de Moabi.
Mais le jeune Fonctionnaire fang defia les consignes du Chef de Canton.
Il entra dans le bois et y passa pres de 3 jours perdu alors que c' est un bosquet. Maam Sielu-Bi-Hanze reunit les fonctionnaires et leur annonca qu' il fera sortir le Jeune Ingenieur Agronome pour qu' il vienne temoigner.
Il sorti du bosquet avec la peau de l' abdomene ouverte et les intestins a la main. Apres avoir raconte sa mesaventure, il fut evacue a Libreville.........
C' est du vecu ..
Fredh Souleymane Foumbi Merci
mon chèr Raphael Mbadinga.Tu réconnais la puissance des Badoumbi.Il n'y
a pas que Moabi,car le coeur du Badoumbi se trouve à kibangou.
Il y a un mois un de mes grand père détenteur d'un certain pouvoir que je ne me permetrais pas de dire nous a quitté.Son nom Mbouingui Basil frère cadet
du chef de terre du village Moukatsou.
J'ai déjà signalé que les badoumbi ont un sang royal et la preuve est le Roi Malouango(ne pas confondre aux chef coutumiers).Celui ou celle qui parle du ou des badoumbi doit le faire par le mystique et non dans les thèses quoique cela reste des pistes de solution.
Comme à Moabi se trouve une forêt appelée bwal' bou koulou à Moukatsou où j'ai passé 10mn âgé de 11 ans et ce que j'ai vu dans
cette forêt.....En définitif,je ne remais pas en cause vos thèses,vos recherches,qui sont des pistes de solutions
mais vous n'y êtez pas encore.On ne parle pas des badoumbi avec les yeux des yeux.mais avec les yeux des grands.Allez comprendre pourquoi les bakouni ne sont pas nombreux,pourquoi les badoumbi ne pas nombreux pourtant des fils du Roi et pourquoi les badoumbi sont dans les vili punu lumbu par défaut chez les dzébi et le guissir qui furent des esclaves????
Encore merci Raphaël Mbadinga,lorsque je te lis je perçois la source.Tu as certainement été de l'autre côté et peut être avec les gens de là-bas qui ton expliqué beaucoup...
Il y a un mois un de mes grand père détenteur d'un certain pouvoir que je ne me permetrais pas de dire nous a quitté.Son nom Mbouingui Basil frère cadet
du chef de terre du village Moukatsou.
J'ai déjà signalé que les badoumbi ont un sang royal et la preuve est le Roi Malouango(ne pas confondre aux chef coutumiers).Celui ou celle qui parle du ou des badoumbi doit le faire par le mystique et non dans les thèses quoique cela reste des pistes de solution.
Comme à Moabi se trouve une forêt appelée bwal' bou koulou à Moukatsou où j'ai passé 10mn âgé de 11 ans et ce que j'ai vu dans
cette forêt.....En définitif,je ne remais pas en cause vos thèses,vos recherches,qui sont des pistes de solutions
mais vous n'y êtez pas encore.On ne parle pas des badoumbi avec les yeux des yeux.mais avec les yeux des grands.Allez comprendre pourquoi les bakouni ne sont pas nombreux,pourquoi les badoumbi ne pas nombreux pourtant des fils du Roi et pourquoi les badoumbi sont dans les vili punu lumbu par défaut chez les dzébi et le guissir qui furent des esclaves????
Encore merci Raphaël Mbadinga,lorsque je te lis je perçois la source.Tu as certainement été de l'autre côté et peut être avec les gens de là-bas qui ton expliqué beaucoup...
Alain Roger Moussavou L'histoire
de la race noire nous enseigne que les Bapunu faisant partie des
enfants du Kongo (Bena Kongo) viendraient de l'ETHIOPIE où les enfants
du ciel étaient venus s'accoupler avec les enfants de la terre. De là,
sortiront nos ancêtres qui vont se
répandre en Nubie (EGYPTE), en Madiani, Kanana (actuel ISRAEL), en
Nzambu (INDE), etc. Ainsi, va commencer la grande migration vers le sud
par un rassemblement en ETHIOPIE des BENA KONGO sous la direction de
MBIR DJULU (Aigle Royal) qui ordonna la grande majorité des BENA KONGO
de quitter le Nord pour le coeur de l'Afrique (CONGO, GABON, ANGOLA...)
via le ZIMBABWE.
Après le ZIMBABWE, les BENA KONGO se rendirent dans le désert du Kalahari .Une partie des BENA KONGO iront vers le Sud où ils se mélangèrent aux Hottentots, Bushmen donnant naissance au Peuple ZULU d'AFRIQUE DU SUD...
Donc, l'on retrouve les Punu en Afrique du sud, au Botswana, au Mozambique, au Lesotho, en Tanzanie, au Zimbabwe, en Angola, en RDC, au Congo Brazza.....
Après le ZIMBABWE, les BENA KONGO se rendirent dans le désert du Kalahari .Une partie des BENA KONGO iront vers le Sud où ils se mélangèrent aux Hottentots, Bushmen donnant naissance au Peuple ZULU d'AFRIQUE DU SUD...
Donc, l'on retrouve les Punu en Afrique du sud, au Botswana, au Mozambique, au Lesotho, en Tanzanie, au Zimbabwe, en Angola, en RDC, au Congo Brazza.....
je=ni
tu=u ou wui(se lit ou. le ipunu on entend ou, on écrit u)
il/elle= a ou e( pour tous les genres et selon le style de celui qui parle)
nous=tu ou du o
tu=u ou wui(se lit ou. le ipunu on entend ou, on écrit u)
il/elle= a ou e( pour tous les genres et selon le style de celui qui parle)
nous=tu ou du o
u encore djetu( selon comme l'interlocuteur se sent plus ou
moins aiser à parler. Mais l'usage de "du" est un pronom de modestie.
quand quelqu'un veut se valoriser ou se vouvoier)
vous= du ou djou
ils/ elles= bé.
pour le verbe parler au présent, on dira:
Ni vossi
Wui vossi
E vossi
twi vossi
Dwi vossi
Bé vossi
vous= du ou djou
ils/ elles= bé.
pour le verbe parler au présent, on dira:
Ni vossi
Wui vossi
E vossi
twi vossi
Dwi vossi
Bé vossi
On
retrouve les Punu en Afrique du sud, au Botswana, au Mozambique, au
Lesotho, en Tanzanie, au Kenya, au Zimbabwe, en Angola, en RDC, au Congo
Brazza, au Gabon.
Bonne journée à tous !!!
Bonne journée à tous !!!
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